Chapitre 28

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Coucou tout le monde, j'espère que vous allez bien, avant de commencer, une petite question : J'ai pris un peu d'avance dans la rédaction des chapitres du coup je vous le demande tout de suite, est-ce que (et je sais que ça m'a été demandé pas mal de fois donc je me doute de la réponse) vous voulez un lemon ?

Je publie aujourd'hui parce que je suis occupée ce week-end. Bonne lecture !

"-Tssss. C'est la pire journée que j'ai depuis bien des années.

-Pourquoi est-ce que je dois travailler avec ce type. On aurait pu y aller qu'à deux.

Ils s'arrêtèrent tous deux devant la porte prêts à tourner la poignée.

-Ne marche pas à coté de moi.

-C'est pas plutôt toi qui me colle Chuya ?

-C'est pas vrai ? Vous êtes pire que des gosses ! Poussez-vous que je l'ouvre cette porte."

Ils arrivèrent près d'une trappe, Dazai gardant l'entrée.

"-Si ce n'était pas pour la mission et si (T/P) n'était pas là, je t'aurais tué dans la seconde. Si tu comprends ça, reste à deux mètres de moi.

-Ha oui ? Si tu veux.

-C'est gentil de me prendre en compte, répondit la jeune femme sarcastiquement.

L'ignorant, ils reprirent leur discution. Visiblement, se chercher des poux était leur seule façon de communiquer.

-Dazai, tu as déjà entendu parler de "Petrus" ?

-C'est une marque de vin tellement chère que juste en regardant les prix, tes sortiraient de leurs orbites.

-La nuit où tu as disparu de l'organisation, j'ai ouvert une bouteille de Petrus 1889 pour fêter ça. Voilà à quel point je te déteste, enfoiré.

-Cette bouteille vaut plus de 1 300 000 yen, siffla (T/P).

 (nda : j'ai regardé les prix, elle vaut près de 11 000 euros et j'ai converti approximativement, avec le transport, au Japon elle vaut surement plus cher.)

N'empêche, se dit-elle, pour être capable de travailler ensemble aussi bien, ils ne doivent pas se détester tant que ça. Elle était pratiquement sûre que dans d'autres circonstances ils auraient su s'entendre.

-Tant mieux pour toi. Maintenant que tu en parles, j'ai aussi célébré ce jour en cachant une bombe dans ta voiture.

-Alors c'était toi ?!"

Ils s'enfoncèrent sous terre via la trappe.

"-Ugh. ça me tape sur les nerfs. Le visage de Dazai, son attitude et ses vêtements me tapent tous sur les nerfs.

-Il n'y a pas de soucis, vous êtes tous les deux des pros de l'exagération. Le jour où j'ai besoin de deux comiques je vous appelle.

-Moi aussi, je déteste tout chez toi, Chuya. A part tes goûts en matière de chaussures.

-Oh... ? C'est vrai ?

-Ouais, bien sûr que non, répondit-il en lui passant devant. Tes chaussures sont le pire.

-Connard !

-Joli coup de pied. Vous êtes tous les deux drôlement souples. Personnellement, j'aime bien tes chaussures.

-Enfin quelqu'un qui a du goût. Comment ça se fait que tu sois avec cet imbécile de Dazai ?

-Je suis comme les autres filles. On tombe amoureuses des bad boy en espérant les changer et on pleure quand on se rend compte que ce n'est pas possible.

Osamu Dazai x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant