Prologue

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Je m'appelle Louise Pévensye, j'ai actuellement 15 ans et je suis en seconde.

J'ai un frère jumeaux nommé Alexei, un petit frère nommé Aléastor et une demi-sœur nommé Momo.

J'adore mes frères mais avec Momo, c'est une autre histoire, si vous voyez ce que je veux dire.  Comme mon nom l'indique, je viens de France mais pas que, je suis aussi Russe et d'origine Chinoise.

Je vis dans une famille plutôt aisé comme mon père est le chef d'une entreprise très célèbre d'électronique. J'ai tous ce que je veux quand je le veux pourtant la vie m'est si fade et sans importance.

Depuis toute petite, j'ai une passion : la cuisine. C'est un des nombreux dons que j'ai reçu de mère nature et que j'arrive à  exploiter. De tous les autres domaines, c'est dans celui-ci que je réussis particulièrement. Viennoiseries, plat traditionnel ou encore pâtisseries, ça me semble si facile.

Je suis assez connu et influente sur les réseaux notamment à cause des nombreuses compétitions que j'ai remporté au cours de mon apprentissage. La cuisine vibrait dans mon sang comme une douce chanson. Je vivais pour elle, je m'extasiais face à elle, je mourrais presque pour elle.

Je tenais tout cela de ma mère, une chef cuisinière hors paire, elle était tellement douée, comme si cela était inné chez elle, mais il y'a maintenant de cela quelques années, elle nous a malheureusement laissé, noyée par le travail et le stresse du monde difficile et différent de la cuisine, au début ça ne m'atteignais pas mais cela a heurté ma capacité à ressentir des sentiments et à prendre en compte ceux des autres. J'étais comme une coquille qui refusait de m'ouvrir au conseil des gens. C'était pour moi, comme : une descente en enfer. Mais je n'en avais pas encore conscience.

Sa disparition me rendait triste car j'étais particulièrement proche d'elle, mais aussi parce qu'elle m'avait transmit son amour et son talent pour la cuisine. Une cuisine libre, sans préjugé, sans contrainte, une cuisine qui lui resssemblait et qui l'a caractérisait. Elle était du genre rebelle, à ne pas suivre les instructions, à ajouter un grin de sel ou de sucre par là. Sa cuisine était presque qu'irréel, tellement parfaite, toute personne l'ayant goûter, en redemandait, encore et encore.On la nommait l'ange, elle avait des doigts de fées. Je travaillais nuit comme jour, avec acharnement, à ces côtés pour espérer lui ressemblé. J'y suis arrivé enfin je crois.

C'est ce jour là, qu'est née mon complexe de supériorité, à chaque concours, tournoi, essaie, je gagnais sauf que  je voulais qu'elle soit la pour me voir, ma mère, pour être fière de moi. Alors chaque victoire pour moi, était semblable à une défaite. Une défaite de mes adversaires pour me battre. Le/la seul(e) qui puisse me battre, c'est moi même ; me répétais-je nuit comme jour, à chaque instant. Et je ne me trompais pas car en 5 ans de tournois/concours à travers le monde,Je suis venu à la conclusion que : personne ne pouvait me battre.

La victoire devenait aussi fade dans la bouche, qu'un dessert qu'on aime et qu'on ne souhaite que manger. Les journées pour moi, se répétaient en boucle et en boucle, comme un livre qui sur chacune des pages étaient écrits au stylo indélébile, mes prochaines victoires. Un stylo, qui décrivait mon destin, en un seul mot : victoire.  Sauf qu'un jour, ce même stylo indélébile, ne marchait plus et décida que la victoire ne pouvait plus m'être favorable. Comme si les dieux avaient entendus mon rêve, il allait être exaucé. Toujours perdu par le désespoir, de ne voir personne à ma hauteur je découvris, quelques chose qui allait tous changés pour moi : l'école de cuisine de Tootsuki, école japonaise de cuisine très réputé.

Jamais de toute ma vie, je n'avais fait de cuisine japonaise. Aucune fois, l'idée de faire de la cuisine japonaise ne m'était venu à l'esprit, peut-être étais-je trop obsédée par mon envie de rencontrer un adversaire à ma taille ? Ou perdu dans une désillusion, dont laquelle personne ne pouvait me sortir. Un défit se présentait devant moi et il était de taille alors pourquoi pas l'affronter ? Le doute prenait le dessus, sur le défis et la peur, le défis de trouver un adversaire de taille et la peur d'être...Non ça n'arrivera sûrement pas.

Alors j'affronterais ce défit et trouverais quelqu'un qui saura atteindre mon apogée, je t'en fais la promesse à toi, mère, je te rendrais fière un jour.

Food Wars : Eishi Tsukasa x oc {Un amour Pâtissier} (Abandonnée)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant