[ Mariée de force à un djihâdiste ]

02.

02.

Mon pays, ma tellement manquée c'est fou.

Rien n'a changer, les maisons détruites par les bombardements, le sang de personne sécher ou frais, les corps inertes de personne au sol, les pleures de personnes a bout, leurs crie de désespoirs.

Je décide, d'allez dans un hôtel pour y passer la nuit.

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Je déambulais les rues détruites par les bombardement, je voyais a chaque coin de rue des corps sans vie au sol, ou d'autre agonisant demandant de l'aide.

Lorsque je vois ce paysage et les gens avec, je me sens égoïste, comment ai-je pu laisser mon petit frère ici seul.

Est-il toujours en vie? Mon cœur me dit que oui, mais ma raison le contredit.

Je sentais le regard des autres sur moi, je n'ai pas compris jusqu'à que je voie que toute les femmes sans exception étaient voilée.

Yazee mon frère, ou es-tu? Que fais-tu? Es-tu toujours de ce monde? Pardonne-moi de t'avoir abandonnée, je te le jure, lorsque je te trouverai, je ferais de toi un prince, mon prince. En attendant, reste en vie si sa n'est trop de te demander.

- Y'a Allah ma fille. Cria un homme en pleure.

Cette image me brisa le cœur, il tenait une petite fille dans les mains le visage remplie de sang, cette petit princesse qui ne dépassait pas les un mètre vingt. La vie lui était encore longue, mais son destin n'était pas de cet avis.

Je repris ma marche.

Pour retrouver mon frère, il faut que je commence par la ou tout a commencer.

Mon village, mais comment le retrouver? Je ne me rappelle même pas de son nom.

Au loin, je vis une vieille femme, je me dirigea vers elle pour lui demander de l'aide.

- As Salâm Âleykûm.

- Wa Âleykûm Salâm. Répondit la vieille femme.

- Excusez-moi, je recherche un village dont je ne sais plus son nom pouvez-vous m'aider? Dis-je.

- Ma fille, il yen a des centaines des villages ici, pourrais-tu être plus précise s'il te plait? Dit la vieille femme souriante.

De vague souvenir, me survienne.

- C'est un village près de de montagne.

- Sa n'est pas assez pour que je t'aide, cherche encore.

- Rien, c'est le néant. Dis-je désespérée.

- Sans être indiscrète pourquoi recherches-tu ce village? Tu n'as pas l'air d'être une habitué.

- Je recherche mon frère, ma raison me dit qu'il a rejoint nos parents aux cieux mais mon cœur le contredit, il est la, quelque part en Iraq et la seul piste que j'ai c'est notre village d'enfance dont je ne sais même plus son nom.

- Qu'Allah azzawajel vienne en aide a toi et a ton frère.

- Amîn.

La vieille femme réfléchit, et me regarda en souriant.

- J'ai peux être une solution.

- Quoi? Laquelle?

- Chaque village s'approprie le nom du chef de celui-ci, peut-être que ton père Allah y'a rahmou l'était?

- Je ne sais pas, mais il y'a une chance sur je ne sais combien, que ce sois lui ces peine perdu. Dis-je en baissant la tête.

- Ne décourage pas ma fille, on a toujours une chance. Dit-elle en me réconfortant.

- Oui. Dis-je en souriant tristement.

- Qu'elle est ton nom de famille? Et en passant ton prénom. Dit-elle en riant.

- Shiam, Shiam El Moustahine. Dis-je en souriant.

La vieille femme, se mît a réfléchir, quand a moi je stressais comme pas possible.

- Alors? Dis-je.

- Ton père est belle et bien chef du village El Moustahine qui se situe a quelque kilomètre d'ici. Dit-elle en souriant.

- Y'a Allah merci, hamdoulilAh. Dis-je heureuse.

- Vient chez moi, et tu entreprendras tes recherche demain.

- Si je ne vous dérange, alors oui.

- Tu me déranges absolument pas, sa fait plaisir d'avoir un peu de compagnie. Dit-elle en riant.

- Oui, je confirme. Dis-je moi aussi en riant.

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