[ Mariée de force à un djihâdiste ]

12.

12.

Assis sur ce morceau de cuire, je pense à ma vie.

Je sais qu'il y'a toujours pire que sois, mais savez-vous qu'est ce que sa fait de perdre ses parents à sept ans? De se faire adopté, et vivre dans la misère, avoir peur de mourir par les bombardements pendants six ans? D'être séparer de sa soeur, sa seul famille? D'être kidnapper et emmener en Syrie contre mon grès pour devenir djihadistes? De ne pas savoir ou est sa soeur sachant qu'elle souffre?

Non, vous ne savez pas tous sa, et vous ne comprenez pas. Car vous, vous êtes tranquillement chez vous à regarder la télé ou jouer avec vos téléphone, a faire vos caprices pour le dernier iPhone ou la dernier paire de Adidas, à parler mal à vos pères et mères, a faire des bêtises, a dénigré votre religions quelqu'elle soit, au lieu d'aider votre prochain, vous l'enfoncer au plus bas, les femmes d'aujourd'hui passe leurs temps a se montrer au lieu de se cacher par respect. Les hommes, ne cherches qu'à se montrer, et à être virile en étant vulgaire, en vendant leurs poudre illicites.

Pendant que d'autres vivent la misèrent, voyant chaque jours des âmes se faire emporter par Malik ( Paix et bénédiction sois sur lui) l'ange de la mort, d'autre voit leurs parents, frères, sœurs, tantes, oncles, amis, voisins se faire exécuté sous leurs yeux, des jeunes filles se font le plus petite possible pour éviter de se faire violer, quand au hommes sacrifiant leurs vie pour leurs famille, pour les sauver, nourrir. La je dis respect à ses vrai hommes, pas aux autres qui osent lever la main sur les femmes, et se sentir supérieur.

Je suis à bout, mon coeur ne supporte plus tout sa, Allah éprouve ceux qu'Il aime n'est ce pas? Mais y'a des jours je voudrais qu'il me déteste, juste pour ne plus vivre ces épreuves.

- Yazee?

Je releva la tête, mes joues étant inonder de larmes, je ne distinguait pas vraiment la personne qui m'a appelé.

- Oui? Dis-je la voix cassé.

- Pourquoi tu pleures *akhy?

- j'en peux plus Nessim, w'Allah j'en peux plus, si le suicide ne serai pas *haram, je serais partis il y'a longtemps. Continuais-je en pleure.

Sans m'y attendre, Nessim me mit une gifle, qui me choqua, et fit redoubler mes pleures.

Vous pouvez m'insulter de fragile autant que vous voulez, mais lorsque vous aurez vécu un millième de ce que moi j'ai vécu on en reparlera et la je vous autoriserai à me critiquer.

- REDIS PLUS JAMAIS SA OK? Cria Nessim.

- *Saha. Répondais-je en baissant la tête.

- Te suicider mais t'es inconscient w'Allah, ces ton mecktoub, tu peux faire n'importe quoi mais personne n'échappe à son mecktoub Yazee compris? Donc tu vas arrêter de pleurer, et te lever et aller te préparer.

Je ne posa pas de question et partit me préparer.

En quelque semaine, Nessim est devenu un grand frère pour moi, je l'aime énormément, qu'Allah le préserve, et nous préserves insh'Allah.

•

Nessim et moi étions dans une foule de djihadistes, un homme de leurs communauté a commis un délit très grave, et va être punis sous les yeux de tous, et de sa femme.

- Nessim, il a fait quoi le monsieur?

- Il a toucher la femme d'un autre homme, ces très grave ici. Dit Nessim.

- Ils vont lui faire quoi?

- Tu verras par toi même petit frère.

Je tourna ma tête, et vis le spectacle, Hadj se tenait debout sur cette estrade géante, là où les femmes se font donner aux hommes, là où les hommes se font exécuté ou autre.

- C'est homme, a osé toucher la femme d'un autre, ce *kûfar n'a pas respecter l'une des règles les plus importantes, il a forniquer, qui dit fornication, dit punition n'est ce pas? Criais Hadj a la foule.

La foule se mit a crié telle des fous, pendant que Hadj souriait face à eux.

Je décida de me concentrer sur l'homme qui avait commis cet erreur, il était assez grand, un mètre quatre-vingt environs, il était chauve, et avait une carrure assez imposante.

Il était tenu par deux hommes, de chaque côté, il avait la tête baisser.

Hadj se tourna vers lui.

- *Chahâd. Dit Hadj en souriant.

Le pauvre homme Chahâda, et à la minute qui suis, Hadj lui coupa la tête. De la, les hommes se mirent à crié, rire et applaudir, pendant que d'autre baisser la tête et faisait des *dohâa.

- Ils prétendent combattre au nom de Dieu, mais tue les hommes. Dit Nessim en baissant la tête.

- Allah y'a rahmo. Ajoutais-je avant de moi aussi baisser la tête.

Apres une vingtaine de minute, je décida de partir discrètement pour prendre l'air loin de cette foule de sauvage.

Marchant tête baisser, mon coeur ne peux s'exprimer qu'avec des perles salées. Je n'en revient pas, tuer un être humain parce qu'il a commis la fornication, ces exagérer.

Le paysage était gris, seul quelque petits rayons de soleil prenait place sous mes yeux, un air frais s'emparait de mes membres, sa me faisait un bien fou.

Je décida de m'assoir sur ce petit banc en boit, toujours sous le choque, je n'avais pas remarquer que quelqu'un me fixait.

Je tourna la tête et vis une jeune femme portant un niqab noir, laissant apparaître de magnifique yeux bleu océans perçant.

Je reconnaîtrais ces yeux entre mille, ces Shiam, ma soeur. De le ou je suis, je pouvais apercevoir ces petits yeux se remplir petit à petit de larme, je me leva à toute vitesse afin de la prendre dans mes bras.

Nous n'étions plus qu'a quelque mètres de l'un de l'autre, mais un homme de type arabe, avança très vie et attrapa Shiam violemment, ce qui lui laissa échapper un cris aiguë.

- SHIAM. Criais-je.

Lorsque je fis un pat pour courire, quelqu'un me coupa dans ma lancer en m'attrapant moi aussi le bras.

Je me retourna brusquement et vis Nessim, le visage fermé, et énerver.

- NESSIM LACHE-MOI. Dis-je en me débattant.

- BAISSE D'UN TON, POURQUOI TES PARTIS? Criat-il a son tour.

- Elle est la vite lâche-moi.

- Qui est la?

- Shiam, Shiam je l'es vu lâche-moi.

Choquer par mon annonce il me lâcha, je me retourna prêt à courir lorsque, je ne vis personne, elle c'est comme volatiliser avec cet homme.

Je m'écroule au sol, me mis à crier tout en frappant le béton de toute mes forces afin d'évacuer ma haine.

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Kûfar: celui qui commet des pêchers.
Chahâda: attestation de la foie.