[ Mariée de force à un djihâdiste ]

05.

05.

Aucun membre de mon corps répondait aux signaux envoyez par mon cerveau.

C'est comme si j'étais paralysée par la peur, mes doigts tremblait, tout en tenant le collier.

Je n'eu pas le courage de répondre, beaucoup trop terrorisé par cet être a quelque centimètre de moi.

Je sentis de nouveau une pression sur mon arrière crâne, mon sang se glaça immédiatement.

- Je répète ma question, tu fais quoi ici?

Toujours rien, c'est comme si j'étais déconnecter du monde.

J'ai dus franchir sa limite de patience, car je me sentis retourner d'une manière assez agressive.

- TU FAIS QUOI ICI? Cria t-il enrager.

Mon Dieu!

Son visage, il avait des traits ferme, une couleur de peau basané, de grand yeux de couleur noir reflétant toute sa souffrance et son désespoir.

Vous me prendrez sûrement pour une folle, mais je me mis a caresser sa joue, il fut choquer de mon geste mais ne fit rien.

Je reconnaîtrais ce visage entre mille, c'est belle et bien, mon frère, ma vie, ma seul famille.

- Yazee? Dis-je les larmes aux yeux.

- Comment connais-tu mon prénom? Dit-il choquer.

Il m'a oublier? C'est pas possible.

- Yazee, c'est moi ta sœur Shiam.

- Je te crois pas, tu dis n'importe quoi. Dit-il en retirant mes mains de son visage.

- C'est moi, qu'est ce que tu dis. Dis-je choquer.

- Dit moi ce que tu sais. Dit-il durement.

- Tu t'appelles Yazee El Moustahine, tu as une grande sœur Shiam-Palestine, et t'es parents sont Sham et Yazîd.

- Palestine c'est toi? Dit-il les larmes aux yeux.

- Oui. Dis-je la voix tremblante.

Nous nous primes dans les bras tout deux, mon corps contre le siens me faisait un bien fou.

•

- Tu ressembler énormément a ton père Allah y'a rahmo Shiam. Dit tata Sahya.

Qui est-elle? Et bien, c'est une rescapée du village, et une très bonne amie de la famille. Elle a perdu ses enfants et son mari durant les bombardement, elle a trouver Yazee sous les encombres et là recueillit chez elle.

- Merci. Dis-je gêner.

- Bon les enfants je vous laisse, je vais me reposer faite attention d'accord?

- Ne t'inquiète pas. Dîme Yazee et moi.

- Yazee ta qu'elle âge maintenant?

- j'ai quatorze ans. Dit-il fier.

- Hahaha redescend, t'es plus petit que moi. Dis-je moi aussi fier.

- En âge, mais niveau taille la question ne se pose même pas, c'est moi le plus grand. Dit-il en riant.

C'est vrai que pour son âge, Yazee est très grand, il doit faire un bon mètre quatre-vingt sans en rajouter.

- Et toi?

- J'ai dix-neuf ans bientôt vingt insh'Allâh.

- Tes vieille. Dit-il en riant.

- Arrête de dire n'importe quoi clochard. Dis-je en le frappant et en riant.

•

- Tata il manque des épices pour faire le plat. Dis-je en remuant le tout.

- Je vais allez en chercher j'arrive. Dit-elle en s'essuyant les mains.

- Non, j'y vais.

- Tu ne sais pas c'est ou, et ces beaucoup trop compliquer.

- Bon d'accord. Dis-je en me remettant au fourneau.

Elle quitta cette très petite pièce qu'ils appellent la cuisine.

Quand a Yazee, il était entrain de se doucher avec le peu d'eau que nous avions.

- Humm sa s'en bon. Dit Yazee en entrant dans la cuisine.

- Trop, j'ai trop faim en plus. Dis-je en riant.

- Salle *bagrha va. Dit-il en me faisant un câlin.

- Et fier. Dis-je en souriant et en le serrant a mon tour.

Nous étions toujours dans les bras l'un de l'autre.

Plusieurs bruit prirent place, Yazee commençais a s'inquiéter et moi de même.

- TATA SAHYA. Criais-je.

- QUOI ELLE A QUOI? Cria Yazee inquiet.

- Elle est sortit chercher des épices. Dis-je inquiète.

- Putain, azy j'arrive.

Il n'eu pas le temps de sortir, que nous entendirent en voix criée.

Qui aurais cru que tout basculerai du jours au lendemain? Du bonheur au malheur? De la joie a la mauvaise humeur?

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Baghra: vache.