[ Mariée de force à un djihâdiste ]

08.

08.

Cela fait bientôt une semaine, que mon calvaire a commencer.

Cela fait bientôt une semaine, que je suis enfermer dans une salle dont je ne sais son utilité.

Cela fait bientôt une semaine, que je n'ai aucune nouvelle de mon petit frère.

Comme a mon habitude, je regardais par la petite fenêtre, le soleil se levant, attendant l'heur de la prière impatiemment.

La porte s'ouvre brusquement, laissant apparaître le fameux Nazim.

- As Salam Aleykum. Dit-il.

- Wa Aleykum Salam. Rétorquais-je en baissant la tête.

- Viens avec moi, on va prier ensemble la salât El-Fajr. Ordonnât-il en partant.

Je me leva, et le suivis, il m'emmena dans une salle de bain.

- Lave-toi, fait tes ablutions et quand ta finis appelle moi.

- Où sont mes habits? Dis-je timidement.

- A ta droite.

Je tourna la tête, et vis un jilbeb noir et des sous-vêtements.

- Vous n'auriez pas un niqab s'il vous plait.

- Tutoie-moi, et tu c'es on et mariée religieusement donc t'es même pas obliger de garder de ton voile. Riat-il.

- Je sais .. Mais je préfère.

- A toi de voir princesse. Dit-il en m'apportant un niqab.

- Barak'Allah oufik.

- Wa Fiki Baraka. Répondit-il.

Il quitta la pièce, je pus enfin respirer en toute tranquillité, sa présence me mettais mal alaise ces fou.

Je me mis devant le miroir, et enleva mon voile intégrale, on aurai dit que sa fait des années que je ne mettais pas vu, alors que faisait à peine une semaine. Mon visage, contenait quelque égratignure dut aux hommes dans le camion, mon sang avait séché ce qui ne me facilitait pas la tache a nettoyer mes plaies.

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Je sortis, ne sachant pas où allez, je marchais sans savoir ma destination.

Je visitais la maison, elle étais très simple, des murs de couleurs blanc écru, beige. Je me retrouvais, je pense dans le salon vu la décoration assez basique de celui-ci.

- Qu'est que tu fais ici?

Je sursauta a l'attente de sa voix, je ne m'y attendais absolument pas.

- Je ..Je savais pas où vous étiez. Balbultiais-je.

- ME VOUVOIE PAS ! S'ecriat-il.

- P..pardon. Dis-je avec difficultés.

- Je t'es dit de m'appeler quand ta finis non? Affirmât-il.

- O..oui, mais je ne connais pas ton prénom.

- Tu le sauras tout a l'heure.

Il me prit par le bras et m'emmena dans une pièce magnifique mash'Allah, les murs étaient beiges, avec des tableau contenant des sourates écrites en arabes dessus. Des tapis de couleur bordeaux simple étaient au sol, dirige vers *La Qîbla.

Deux femmes étaient sur ces tapis prêtent à prier, je ne pourrais vous dire leurs physique car elles étaient de dos, portant chacune un jilbeb l'une de couleur bleu et l'autre mauve.

Nazim m'abandonna pour se mettre devant nous, il dirigeait la prière comme le faisait Yazee ..

- BismilAh Al Rahman Al Rahim.