18. Shiam
Enfermez entre quatre murs, je suis sur le point d'accoucher de ma chaire, mon sang, mon enfant.
- Vazy Shiam pousse. S'écria Raissa.
Inspire, expire et pousse.
- AAAAARG J'AI MAL. Pleurais-je.
- Pousse ma belle, inspire expire, et pousse.
Mon corps était épuisée, mes membres ne répondait plus aux signaux envoyer par mon cerveau, la douleur était la source principal de mon affaiblissement.
- T'arrête pas de pousser. S'inquiétait-elle.
- J..je peux pas, j'en peux plus, j..j'abandonne. Rétorquais-je à bout de force.
À ce moment précis, mon bébé m'importait peu, ce que Raissa me demander était au dessus de mes forces, mes larmes coulaient telle les chutes du Niagara, mes gémissements de douleurs étaient perceptibles depuis des kilomètres.
- Shiam si tu n'accouches pas maintenant ton bébé mourra. Dit-elle les larmes aux yeux.
- J..Désolée, m..mais je peux pas, ces aux dessus de mes forces.
Elle me regarda choquée, désemparée, effrayée, inquiète. Se leva et accouru vers la porte, elle l'ouvrir et vint quelque minute plus tard avec le père de mon enfant.
• Nessîm
Mon cœur battait si vite, mais mains était moite, on aurai dit un enfant qui attend son cadeau. Mais que dis-je? Je vais avoir un enfant !
- Moi Nessim Mohamed Belkacem, je vais être papa. Dis-je en chuchotant.
- NESSIM ! S'écria Raissa a travers le couloir.
- Quoi? Sa il y' est? Jui papa?
- Nan, justement S..Shiam. Dit-elle essoufflait.
- QUOI ELLE A QUOI SHIAM? Coupais-je.
- Elle veut pas accoucher ces au dessus de ces forces j'ai besoins de ton aide tu dois la soutenir sinon le bébé va mourrir. Rétorqua t-elle.
- PUTAIN ! Vazy vite.
Nous accourions tout deux vers la salle d'accouchement ou je vis ma femme, mon amour, en larmes, le visage remplis de sueur criant sa douleur, j'avais si mal pour elle, si je pouvais prendre sa douleur je le ferai sans hésiter mais ces impossible.
Je me réveilla et m'approcha d'elle.
- Chuuut *hobi, respire calme toi. Dis-je en lui caressant les cheveux.
- J'ai maaaaal Nessim. Rétorqua t-elle en pleurant.
- Je sais, je sais Shiam, mais faut que tu pousses sinon notre enfant va mourrir. Ajoutais-je difficilement.
- Je veux pas qu'il meurt ces mon bébé. Suffoqua t-elle.
- Pousse hobi, je suis la jusqu'à la fin, fair le pour moi pour notre bébé.
Elle me regarda avec ces magnifique yeux bleu océan, acquiesça de la tête et se mît a pousser, à criée, sa voix se casser a quelque moment, elle me prit la main et la serra de toute ces forces.
- Ces bien Shiam, continu le bébé arrive. Dit Raissa rassurée.
Elle dédoubla ces cris, ainsi que ces larmes, je me sentais mal, j'étais incapable d'aider ma bien aimé quel genre de mari suis-je?
- OUUUUH J'AI MAAAAAAAAL Y'A ALLAH AIDE MOI. Hurla t-elle.
- Une dernière fois, pousse un bon coups et ces bon.
- AAAAAARG SORTEZ MOI CE GOSS.
Après qu'elle est criée, nous avons entendus de tout petits bruits de pleurent, c'est les pleures d'un bébé?
- N..Nessim? Me chuchota difficilement Shiam.
- Oui *omria? Répondais-je les yeux brillant.
- Ces finis? Mon bébé est enfin la?
- Oui, notre enfant est la. Souriais-je.
- HamdoulilAh. Dit-elle les larmes aux yeux.
Je me lève et m'approcha de cet petit être qui est mon enfant, j'aurai pu en douter vu que je ne suis pas le premier homme à avoir toucher Shiam, mais ce bébé me ressemble tellement, la même forme de yeux, ainsi que mon teint, et le grain de beauté que j'ai au déçus de la lèvre, supérieur.
- Tu veux le prendre? Dit Raissa.
J'acquiesçait de la tête, elle me donna ce petit être, par Allah il était tellement léger Soubhana'Allah, il ouvrit les yeux ils étaient tellement clair mash'Allah, une beauté comme son père.
- Passe le moi s'il te plait.
Je tourna ma tête et vit ma femme, nous regardait les yeux brillant, je voyais qu'elle était heureuse.
- Attend deux minutes.
Je récita *Al-Âdhan dans son oreille droite, et Al-Iqâma dans la gauche.
Je vis un tout petit sourit se dessiner sur le visage du nouveau-née Soubhana'Allah.
Je partis le donner à sa mère, qui avait les larmes aux yeux lorsqu'elle eu dans ces bras, je le voyais qu'elle était fatiguer mais elle ne voulait pas le lâcher.
Mon regard se posa sur une bague de couleur or, que je lui avait offert pour ces vingt-ans. J'ai beau me le cacher, et le répéter, je l'aime, je ne sais pas quand est ce que ces arriver mes des sentiments me sont apparues, j'ai jamais ressentis quelque chose d'aussi fort pour quelqu'un, lorsque je la vois mon sourire ne me quitte plus, j'ai l'incontestable besoins d'être à ces cotées et de la protéger. Je sais que ce n'est pas réciproque a mon plus grand désarrois, mais j'espère du fond du cœur que ça le sera un jours insh'Allah. Si un jours elle venait à refaire sa vie, elle aura toujours une partit de moi avec elle jusqu'à la fin de sa vie, notre enfant.
Moi Nessim Mohamed Belkacem, je suis tomber amoureux de Shiam Palestine El-Moustahine, qui l'aurais-cru?
Je sentis une main sur mon épaule, par appréhension que ce sois Raissa, je m'écarta rapidement, mais lorsque je vis que ce n'étais que mon oncle je m'approcha de lui, lui serra la main et nous quittions la salle tout deux pour rejoindre le jardin.
- Alors comme sa tu es père? Dit-il content.
- Oui *A3mi.
- Comment s'appelle t-il?
- Nawfel Nessim Belkacem. Souriais-je.
- Mash'Allah, Nawfel Ibn Nessim, un futur homme d'honneur comme ton père Allah ya rahmo et toi.
- Allah y'a rahmo.
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Hobi: mon amour.
Omria: ma vie.
A3mi. Oncle/tonton.
Al-Âdhan: appelle à la prière.[ Si vous voulez allez faire un tour sur : " Chronique de Shaïne: tombe in love de mon kidnappeur"]
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[ Mariée de force à un djihâdiste ]
Fiksi UmumJe quitte ma famille pour l'inconnu, j'ai découvert un monde parallèle . Je suis passer d'un monde tout beau tout rose, à un monde sanglant . Tout pour Lui, mon frère . Je vais vivre des choses horribles mais en même temps magnifique . Venez-lire mo...