[ Mariée de force à un djihâdiste ]

07.

07.

Des secousses assez fortes, mon réveiller. La première chose que mon cerveau aperçus, est mon frère au sol, saignant du nez.

J'essayais de bouger, mais mes mains étaient enchaîner a une sorte de rambarde fixer au plafond du camions.

Mon corps était comme suspendu, j'avais énormément mal au poignet, et les secousses du camions n'arrangeait rien.

A l'aider de mes pieds, j'essayais de secouer Yazee, mais impossible, je m'avança au point au on entendit un craquement au niveau de mon bras.

- Yazee. Chuchotais-je.

Rien, je pense qu'il est inconscient. Et je ne peux rien faire, mes bras sons suspendus au plafond du camion, je suis fatiguer et j'ai très soif, mais bon toujours dire El-HamdoulilAh.

Je regardai autour de moi, et vis que le camions étaient remplis d'aux moins une dizaines de femmes attacher tout comme moi, la majorité étaient inconscientes, d'autres pleuraient silencieusement de peur de se faire frapper, d'autre priée pour qu'ont leurs viennent en aide.

Le camion freina d'un coups, ma tête alla d'un coups en avant ce qui me procura une douleur.

La porte s'ouvrit, laissant apparaître deux hommes l'un avait une écharpe noir avec une écriture en arabe blanche dessus, qui cachait son visage, un autre avait une cagoule noir simple, et bien sur ils étaient armées.

Ils se mirent a parler une langue dont je ne comprenais pas le sens.

Le soleil, me faisait personnellement très mal aux yeux, ces comme si je n'avait pas vu la lumière depuis des jours ... Qui c'est peut être que ces le cas?

Je vis les deux hommes arriver vers mon frère. L'un des deux le prit en sac a patate.

Quoi? Pourquoi et ce qu'ils le prennent?

- LÂCHEZ-LE, LÂCHEZ MON FRÈRE. Dis-je en criant.

- LA FERME. Dit l'homme.

- JAMAIS, LÂCHEZ-LE BANDE DE CHIEN.

Toute les femmes dans le camions, me regardèrent choquer et les hommes avec.

- Je m'en occupe. Dit l'homme.

Le deuxième homme qui tenait mon frère sortit.

- NAN NAN LÂCHEZ-MOI JE VAIS VOUS TUER. Dis-je en gigotant de partout.

- LA-FERME. Dit-il en me mettant une gifle.

- NOUS DES CHIENS? Coups de poing.

- TA DE LA CHANCE QUE TU DOIS RESTER VIVANT PETITE CHIENNE VA. Chassez dans le ventre.

Tête rivée sur le sol, bouche en sang. Mon Niqab était remplis de sang, et de larmes. Mes crises d'asthmes reprenaient place, mais mon frère passe avant tout.

- O..Oui v..Vous êtes de gros chien. Dis-je difficilement.

L'homme se retourna vers moi rouge de colère.

- MOI UN CHIEN? Dit-il en m'attrapant par mon voile.

- TA DE LA CHANCE QUE JAI PAS LE DROIT DE VOIR TON VISAGE SINON TU SERAIS MORTE. Dit-il en me giflant.

- LA PROCHAINE QUI NOUS MANQUE DE RESPECT ELLE MEURT OK? Dit-il au autres femmes.

Elles baissèrent toute la tête.

- Je préfère. Dit-il en quittant le camion.

Un silence pesant fis place dans le camion.

- T'inquiète ils vont pas faire de mal a ton frère. Dit une jeune fille.