L' art d'aimer

Chapitre 3

Hello mes petites saucisses de dinde j'espère que sa va?
Ici compliqué (comme d'habitude vous me direz) je suis encore malade  et difficile de manger. J'espère que sa ira bientôt.
Sinon comment trouvez vous nos personnages?

Point de vu d'Alice :

Je suis assis dans mon bureau, qui est séparé par une porte qui donne à son bureau. Sa fait une semaine que je travaille ici et je n'arrive toujours pas à croire que j'ai un travail qui sera parfait pour moi alors que je n'ai rien demandé. Mon bureau est assez spacieux. Une pile de dossier est dessus. Je commence à en prendre un et je le feuillette jusqu'à ce que je tombe sur un tableau. Un de mes tableaux préférer « la naissance de venus ». Je n'arrive pas à croire qu'il soit à vendre et quand je voie le prix, j'ai un petit cri qui sort de ma bouche. Bon concentre toi Alice, il le veut, il le lui faut ! Réfléchissons. Il doit y avoir énormément d'acheteur la dessus. Donc on doit pouvoir se différencier d'eux. Je regarde le nom du vendeur que je tape sur internet Ducasse Henri.  Beeeerk, il et horriblement vieux et il a l'air d'aimer les jolies jeunes femmes... Ah je comprends mieux pourquoi Kennedy m'a dit qu'il fallait être jolie. Bon je vais devoir prendre un rendez-vous avec lui. Je tape le numéro sur le téléphone, sa secrétaire décroche et m'explique qu'il est impossible d'avoir un rendez-vous. C'est tout juste si elle me raccroche au nez.

Bon je vais devoir faire ce que j'ai toujours détesté faire par le passé. Je m'assois sur la table de mon bureau, respire profondément et tape le numéro une deuxième fois. Elle décroche, je prends une voix mielleuse.

Alice : Salut chérie, passez-moi Henri

Secrétaire : Qui est vous ?

Alice : Mais voyons comment osez vous ! Je suis la petite ami d'Henri!

Secrétaire : Oh j'ignorais qu'il avait une nouvelle....

Alice : Attendez ! Vous voulez me dire qu'il a autre personne a part moi ?

Secrétaire : Non, non...

Je la coupe.

Alice : Passez moi Henri tout de suite ou je débarque à la société et je vais lui faire comprendre haut et fort qu'on ne se moque pas de moi !

Secrétaire : Attendez, calmez vous je vous le passe.

Je souris, je n'arrive pas à croire que ça ai marché. Je parle avec lui et il me donne un rendez-vous. Je raccroche et descend de mon bureau pour sautiller et dire oui, oui, oui. Je m'arrête subitement et voie Mr Kennedy accoudé à la porte qui sépare son bureau du mien, avec un sourire aux lèvres.

Alice : Oh mon dieu, mais depuis combien de temps êtes-vous la ?

Derreck : Suffisamment pour avoir vu votre jolie dance.

Alice : J'aurais pu avoir une crise cardiaque.

Derreck : Dommage, j'aurais pu vous faire du bouche à bouche.

Alice : Est-ce que vous êtes en train de me draguer ?

Oh mon dieu j'ai dit ça à voix haute. Je le voie se redresser et devenir nerveux.

Derreck : Absolument pas vous n'êtes pas mon type de femme.

Une personne nous interrompt.

Laure : Tout à fait d'accord, Derreck aime les femmes class, jolie, avec un petit je ne sais quoi. Tout comme moi.

Je voie une femme entrée et percer le sol avec des talons haut vernis (vulgaire) une jupe trop courte et une chemise ouvert pour qu'on puisse voir la naissance de ses jumeaux énorme. Elle s'approche de lui et l'embrasse sur la joue, il sourit, me regarde et ferme la porte.

Je viens de voir la chose la plus horrible du monde Ursula. Oui, Ursula comme dans la petite sirène. Bon ok, elle n'est pas moche comme elle. Mais franchement, si j'avais pu je lui aurais lancé un stylo pour lui éclater un de ses seins refait. Je n'arrive pas à croire qu'elle ait dit que j'étais son contraire en résumé, pas joli, pas classe. Elle ne l'ai pas à mes yeux. Je ne suis pas du genre à me vexer mais devant lui sa ma fait de la peine. Ou est-ce que c'est par ce que je ne suis pas son style de femme ? Bon calme toi.

Je m'assois et me masse les tempes en ferment les yeux. Calme-toi Alice ou tu vas te déclencher une migraine. Oui il est beau et sexy, mais il est riche et les riches ne veulent que des riches de leur classe sociale. Tu en as déjà fait les frais et plus jamais. C'est ton patron et en plus il as quelqu'un, donc ne soit pas attiré par lui. En plus je ne suis pas son style, ce qui m'arrange bien vu que je ne veux plus jamais revivre ce que j'ai vécu avec Lucas. Oh mon dieu Lucas l'homme de ma vie...

Je regarde l'heure, je dois y aller j'ai rendez-vous avec Henri berk ! Je vais l'appeler comme ça maintenant. Henry berk, je prends ma veste et met mes écouteurs dans mes oreilles.