Chapitre 13

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Hello mes petites saucisses de dinde.
J'espère que vous allez tous bien.
Ici c'est la catastrophe, je suis souvent malade. Comment j'ai une maladie auto-immune, la moindre bactéries devient difficile à combattre.
Donc pas facile mais bon vos commentaires me redonne toujours le sourire.
Je vous laisse avec nos héros.
XoXo Jane





Je l'écoute et entend sa peine. J'ai envie d'étriper Laure à ce moment précis.

Alice : La mère de Tomy l'a abandonné son père et lui.

Je suis sous le choc. Je n'ai pas le temps de dire quoi que ce soit qu'elle continue.

Alice : Elle a fait une grave dépression a l'annonce de son autism. Elle a fait plusieurs tentative de suicide. Son père n'en pouvait plus. Il avait peur que ce soit Tomy qui la trouve un jour. Alors quand elle est partie, sa a était un soulagement pour lui.

Derreck : Pauvre garçon.

Alice : Il va mieux depuis. Son père fait tout pour essayer de l'aider. Il a dû arrêter de travailler pour s'occuper de lui essentiellement.

Elle finit son verre de vin et le pose dans l'évier, quelle histoire triste.

Derreck : Il a de la chance de t'avoir.

Alice : On peut dire ça.

Derreck : Tu ne m'as pas demandé.

Alice : Demander quoi ?

Derreck : Demander si c'était vrai.

Alice : Je ne comprends pas de quoi tu parles Derreck?

Je lui tant le journal qui se trouve dans ma veste. Elle le déplie et j'attends sa réaction.

Alice : Oh la garce !

Je suis choqué.

Alice : Elle prêtant que tu l'as mise enceinte ? Mais qui peut croire ça !

Derreck : Tout le monde, enfin tout le monde sauf toi à ce que je voie. Ce qui me rassure.

Alice : Mais qu'est-ce que tu vas faire ?

Derreck : Tu crois vraiment que c'est faux ?

Alice : Pourquoi c'est vrais ?

Derreck : Non !!! Mais je suis surpris que tu me croies moi.

Elle continue à lire et me répond doucement. Sa voie est à peine audible.

Alice : J'ai confiance en toi.

Je m'approche d'elle et l'embrasse. Elle ne me repousse pas. Elle fait tomber le journal et j'en profite pour insinuer ma langue dans sa bouche. Je sens ses mains se balader dans mes cheveux. Un long frisson parcours mon corps jusqu'à ce que je sente une érection se former. Nos langue entame une danse sensuel jusqu'à ce que je lui défais un bouton de chemise et puis deux. Elle me repousse doucement sont front se colle au miens.

Alice : Arrête je ... Je ne peux pas...

Derreck : Tu n'as jamais ....

Alice : Je préfère juste attendre le bon moment.

Je suis déçu.

Alice : Tu m'en veux ?

Derreck : Non, j'avoue que j'aurais rêvé continuer mais je peux attendre.

Mon téléphone sonne, ce qui nous coupe dans notre moment et m'énerve un peu. Je décroche.

Derreck : Oui !

Elle remet ses boutons de chemise et je la vois aller se préparer un café. Au téléphone, c'est ma mère qui m'hurle dessus. Bien évidemment, elle me pense responsable.

L' art d'aimerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant