🟣Chapter 17: He Can't.🟣

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(Y/n): Ma tête...

Scaramouche: Enfin réveillée.

(Y/n): J'ai trop bu, n'est-ce pas?

Scaramouche: En effet, tu n'étais pas sobre du moins.

(Y/n): En effet mais désormais je le suis, ce qui me pousse à me demander ce que tu peux bien faire ici chez moi.

Scaramouche: Oh? Aurais-tu préféré que je te laisse seule sur le trottoir.

(Y/n): Honnêtement? Oui.

Scaramouche: Hum...

(Y/n): Je rigole, personne n'aimerait. Je t'en remercie d'ailleurs.

Scaramouche: Si tu savais les âneries que tu m'as raconté hier soir..

(Y/n): P-Pardon?

Scaramouche: Je rigole.

Disait-il en m'imitant, il est insupportable quand il s'y met.

(Y/n): Qu'importe je vais devoir y aller.

Scaramouche: Es-tu sûre de cela? Tu peux au moins marcher sans mon aide?

(Y/n): Absolument.

J'allais me relever mais c'était beaucoup trop difficile pour moi qui avait trop bu dans la soirée.

Scaramouche: Qu'est-ce que je t'avais dis...

(Y/n): Je suis grande. Pas de problème.

~Pdv Externe~

Le Fatui ne désirait pas trop embêter la jeune femme qui avait sûrement déjà à faire en ces lieux. Mais malgré tout il souhaite s'investir d'avantage pour l'aider mais son égo fit qu'il n'y arrivait malheureusement pas.

Le peu de fois où il l'avait aider était généralement des occasions qui nécessitait son silence.

Les jours passèrent, ils ne s'étaient plus revue depuis ce moment passé entre eux. Un beau jour, la prêtresse se posa une question qui la conduisit vers l'irréparable.

(Y/n): Mona, j'ai une question à te poser.

Elle posa sa plume sur son bureau afin de marquer le silence qui commença à devenir pesant.

Mona: Oui, je t'écoute.

(Y/n): Il me semble que tu m'as autrefois donné quelques renseignements sur une certaine personne n'est-ce pas?

Mona: Oh je vois, et donc?

(Y/n): Pourquoi n'est-elle pas morte?

Mona: Elle ne va pas mourir, j'ai menti.

(Y/n): Pardon?

Mona: Je voulais simplement vérifier si tu étais associé aux Fatuis.

(Y/n): Sors.

Mona: Pardon?

(Y/n): Sors de chez moi.

Mona: Mais tu ne peux pas me-

(Y/n): Sors ou j'appelle l'ordre. Tu es sous mon toit, dans ma propriété. Je te demande donc de t'en aller.

Mona: C'est donc ça ta solution?! Me virer d'ici car tu collabores avec les Fatuis ?!

(Y/n): Avec le peu de dignité que tu as tu devrais la fermer crois moi.

Mona: Très bien je m'en vais, mais tu comprendras mon geste plus tard.

Elle s'en alla, sans rien ajouter d'autre, et encore une fois, elle était de nouveau seule. Désormais, ce vide constant qui s'était installé chez elle, était revenu lui faire face sauf que...

Scaramouche: Je savais bien que ces cris venaient d'une seule et même habitation.

(Y/n): Toi...

Scaramouche: C'est marrant, de voir cette expression sur ton jolie visage c'est inhabituel.

(Y/n): Tu as tout entendu, n'est-ce pas?

Par la même occasion une personne se permis de toquer à sa porte. Avant d'écouter sa fâcheuse réponse elle se devais d'ouvrir.

(Y/n): Oui? C'est pour?

Diluc: Dame (Y/n), j'ai entendu des cris non loin de chez vous. N'auriez-vous rien vu de particulier?

(Y/n): Ahah, aucunement soyez rassuré de mon honnêteté maître Diluc.

Diluc: Je vois, je vous remercie.

(Y/n): Si le vent vous le permettra, n'hésitez pas à revenir pour discussion dites, plus plaisante.

Diluc: Très bien, je m'en assurerai.

Il s'en alla descendant les escaliers qui menaient à sa porte d'entrée. Elle referma la porte d'entrée mais c'est en se retournant qu'elle vit le Fatui près, très proche d'elle, à quelques centimètres.

Scaramouche: Qui était cet homme?

(Y/n): Cela ne te regarde pas.

Elle allait partir mais il insista pour qu'elle puisse rester ici.

(Y/n): Qu'est-ce que tu me veux à la fin?!

Scaramouche: Ahah, rien de réellement important, chère Prêtresse. Simplement, je hais que l'on s'approche de mes affaires.

(Y/n): Je ne suis pas un objet.

Scaramouche: Ahah bien sûr je ne te dis pas le contraire.

Il se dégageait de la Prêtresse pour la laisser circuler tranquillement. Elle alla par la même occasion s'asseoir sur sa chaise face à son bureau borné de lettre.

Elle commença à griffonner sur un quelconque support des mots indescriptibles, puis elle abandonna.

Le Fatui désirant capté son attention s'assit sur son bureau et prit son menton entre ses doigts qui semblaient être délicats.

Scaramouche: Lorsque je te vois, je me demande parfois ce que cela pourrait m'apporter de te tuer.

(Y/n): La tranquillité absolue, j'imagine ?

Scaramouche: Certainement.

(Y/n): Ou bien... M'aimes-tu suffisamment pour ne pas oser m'assassiner?

~Pdv (Y/n)~

(Y/n): Tes petites actions y laissent penser le contraire cher Fatui.

Scaramouche: Non, je me dis juste que tu pourrais servir à quelque chose.

C'est marrant, il se cherche sans cesse des excuses.

(Y/n): Tu sais, si tu ne m tues pas... Ce sera moi qui le fera.

À suivre

Scaramouche x Fem!Reader {A Letter For Your Death}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant