RÉÉCRITURE EN COURS
Vous allez découvrir l'histoire d'une Princesse. Mais pas n'importe quelle Princesse !
Celle-ci vit à Narnia, un royaume magnifique peuplé de créatures diverses et magiques. Ce monde a été mis à mal par la sorcière blanche le s...
Avant de commencer le combat, Peter prit un moment afin de se rendre dans la salle où se trouve la statue du sauveur, Aslan. Il se remémore ainsi sa première bataille en tant que roi. Ses pensées divaguent alors jusqu'à la princesse, ses yeux bleus ciels, sa chevelure dorée, son élégance naturelle et son sens de la famille. Cette fois-ci, c'est sûr, le roi est tombé amoureux de la princesse disparue. Ses pensées furent coupées par sa plus jeune sœur, Lucy venant lui tenir compagnie.
- Lucy : "À quoi penses-tu ?"
- Peter : "Je me demande où il est ? J'aimerais savoir pourquoi Aslan n'a pas aidé notre peuple et la princesse ? Ça aurait évité bien des ennuis."
- Lucy : "Parles-tu toujours de notre peuple ?"
- Peter : " Que veux-tu dire ?"
- Lucy : "Tu t'inquiètes pour elle, tu penses à elle tout le temps. Tu l'aimes, n'est-ce pas ?"
- Peter : "Je n'en sais rien, je... je... je n'ai jamais ressenti ça."
Ils sont coupés par Edmund et Ruben :
- Edmund : "Peter, Miraz et les Telmarins sont là et ils sont nombreux !"
- Peter : "Bien, j'arrive tout de suite !"
- Ruben : "Votre épée, votre altesse."
- Peter : "Merci Ruben, je te promets que ta sœur sera sauvée."
- Ruben : "Je n'en doute pas venant de vous."
Peter sourit et se mit en route. En sortant du temple, il vit l'armée de Miraz extrêmement bien équipée. Le roi s'avance jusqu'au milieu d'une petite ruine tenant à peine debout. Soudain, Miraz fit son entrée dans une allée centrale. Vénéré comme étant le vrai roi de Telmare, il s'avance vers la ruine en question.
- Miraz : "Je suis venu comme convenu."
- Peter : "Où est la princesse ?"
- Miraz : "Il n'y a qu'elle qui vous intéresse. Et bien, souriez ! AMENEZ-LA !"
Sous les ordres de leur roi, quatre gardes amènent la princesse durement enchaînée comme un animal, portant des guenilles. Cette vision fit bouillonner le roi Peter ainsi que Ruben.
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- Peter : "Laissez-la partir ! Ce combat n'est pas le sien !"
- Miraz : "Votre marché ne stipulait aucunement la libération de votre princesse."
Les regards des deux jeunes gens se rencontrent après des jours sans aucun contact.
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