🍤3🍤

418 23 1
                                    

Nous sommes dans une salle au enchère. On est en plein trafic d'oméga

{J'ai peur, très peur.}

Déjà, dire que Nana et Grand huit y sont passé

Les gens qui voulaient m'acheter étaient tous au moins des alphas de rang A. Ils me voualient. Mais pourquoi ? J'ai arrêté, au bout d'un certain temps passé dans cet endroit, de tout ressentir sauf une émotion qui est justement la peur. Les semi-alphas auquel je m'occupais était très cruels et c'est à cause d'eux que j'ai tant de marque sur mon corps.

Les prix explosent, on est à 3000 pièces. Juste pour moi. Je ne les comprends pas. Comment peut on vendre un Inkling c'est inhumain, nous ne sommes pas des objets peu importe notre genre

Le maître des enchères s'apprête à conclure ma vente pour 3104 pièces quand un homme relance la partie. Et ça reprend. Un combat entre deux alphas. C'est tellement puéril que ça m'aurait presque fait rire mais je n'ai pas vraiment le droit de donner mon avis. Je soupire intérieurement. Mais là j'entends une voix que je connais bien, très bien même:

- 1 000 000 de pièces

La foule le regarde les yeux rond qui pouvait bien être le fou près à dépenser autant pour cet sous-merde, je vous signale quand même que de base je valais 120 pièce et c'est partis vers les 3000 alors vos gueules merci. Je sentais que lui il m'observait intensément. Je le regarde en retour. Je savais que c'était lui mais m'en rendre c'est autre chose. 

Il s'agit de Rider. Mais...mais...

La vente ce conclue donc sur les 1 000 000 de pièces que vont recevoir mes anciens maîtres pour moi.

La soirée passe à une vitesse. Mes semi-alphas viennent me chercher. Il m'attache une chaîne au coup et me traine comme un chien devant Rider. Il me regarde et moi je baisse les yeux, j'ai tellement honte... Je m'incline et dit :

-Maître, ma vie vous appartient

Mes yeux innexpressifs montre que je suis assez brisé pour être le chien (oméga/esclave) de CET alpha. Il prend la chaîne de mon collier et me tire je ne sais où. Je marche derrière lui et baissant la tête. On s'arrête devant une grande maison. Elle est blanche et dorée avec un immense portail qui nous fait face. Je n'ose pas la regarder. Bel erreur, j'ai faillit me prendre un poteau. Il avance toujours en me tirant. Il entre.

-Bon, ta chambre est là, je te laisse te familiariser avec tes camarades. Ils t'expliqueront tes tâches, voici ta clé pour te défaire de ces chaines

Je hoche la tête, dépose la clé sur ma table de chevet, je suis un esclave, si je n'ai pas mes chaines ça peut très mal être pris et puis je ne me sens pas de les enlever. C'est bête à dire mais je me sens presque en sécurité quand je les porte. Je me dirige par la suite vers la pièce. Je toque et ouvre la porte. Cinq tête me font face. Deux s'illuminent. Grand-huit et Nana. Un petit sourire ce dessine sur mes lèvres pour la première depuis des mois. Je m'avance.

-Bonjour, fis je

-Bienvenue, je m'appelle Night-mask, nous sommes maintenant collègues, tu n'enlèves pas tes chaines ?, me fit le seul garçon qu'il y avait (Grand-huit ne compte pas)

-N...non, je me sens plus à l'aise avec

-Si tu le dis

-Je...viens pour mes...

-Tâche,  me coupa la fille au chapeau chinois, enchanté, moi c'est Bamboo

J'hoche la tête.

-Et bien, le maître se plaint toujours de notre cuisine alors tu vas tester ce poste

Je commence alors à trembler

-Qu'est-ce qu'il y a, me demande Grand-huit, on a fait quelque chose de mal ?

-Non...je... ça fesait si longtemps que je n'avais pas... cuisiné...

Des larmes perlent sur mes joues. Je suis tellement heureux et pourtant ce n'est que de la cuisine.

Ils me sourient. Nana s'approche puis me prends dans ces bras. C'est là que Rider choisit d'entrer.

-Night-mask, il n'y a plus de...

Il resta blasé devant la scène même si une aura noire émanait de lui. Nana, sentant la colère de l'alpha, me relâche. Je baisse les yeux.

-Little mask, suis moi

////

Et voilà.

Que va t'il arrivé à Little mask ?

Pourquoi Rider a t'il réagi comme ça ?

Vous le saurez dans le prochain chapitre
À plus 🥟

Un oméga bleuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant