Ben caressait le dos de Semir alors que ce dernier était encore sur lui, en lui. Ils reprenaient leurs souffles.
Il l'embrassait sur le cou. Sur son épaule gauche.
Il se mordit la lèvre inférieure quand Semir sortit de lui. Ce dernier se mit à ses côtés. Il le vit tourner la tête de l'autre côté.
- Tu regrettes ?
Semir le regarda.
- Non. Je me demandais si notre suspect dormait.
- Il est tard. Il n'y a pas de raison pour qu'il soit encore debout. Dit-il en lui caressant le torse.
- Je vais voir.
Semir se leva puis il prit les jumelles. Il se leva à son tour puis il se colla contre le dos de son amant en posant ses mains sur ses hanches. Mains qu'il glissa une sur son torse, l'autre sur une de ses jambes.
- Ben. Ce n'est pas en me caressant que je pourrais être attentif.
- Semir. Même sans jumelle, je vois que c'est éteins.
Il l'embrassa sur le cou.
- Ben...
Il tourna Semir dans ses bras puis il l'embrassa langoureusement.
- Pas de suite. Lui dit son aîné.
- Pourquoi ?
- Prenons une douche avant.
- D'accord. Faisons-le à nouveau sous la douche.
Il l'embrassa de nouveau avant de l'attirer dans la salle de bain.
À l'intérieur, il le plaqua contre la paroi puis il l'embrassa longuement. Il mit ensuite l'eau en marche.
Ils se lavèrent mutuellement. Semir le taquina en lui disant qu'il était trop grand.
Enfin propre, il le tourna puis il l'embrassa de la nuque à son anus qu'il lécha longuement. Il apprécia d'entendre les gémissements de son amant. Il remonta ensuite longuement sur son corps.
- Tu es prêt à me recevoir, Semir ?
- Vas-y.
Il lui souleva sa jambe droite, puis lentement, il entra en lui.
Complètement en lui, il attendit que son aîné s'habitue de l'avoir en lui. De sa main gauche, il masturba Semir pour qu'il se détende.
- Vas-y, Ben.
- J'aime t'entendre gémir mon prénom.
Il donna un premier coup de rein arrachant un gémissement à Semir.
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Ils étaient dans le lit, enlacés. Ils s'embrassaient langoureusement. Semir le poussa sur le dos. Les lèvres de son amant glissèrent sur son cou puis sur son torse, pour remonter sur ses épaules.
Il attira son visage vers le sien puis il l'embrassa. Il se trouva sur le ventre puis il sentit les lèvres de son aîné sur sa nuque, sur son dos, pour finir sur ses fesses. Semir le fit se mettre à genoux puis il sentit langue de ce dernier dans son antre.
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Il était épuisé, mais bien. Il embrassait une dernière fois l'épaule droite de Semir qui venait de s'endormir puis il ferma les yeux à son tour.
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Le lendemain, il se fit réveiller par de petits baisers sur la nuque. Il sourit en se tournant vers son amant.
- Salut.
- Salut. Angalbert a appelé. Il y a de nouveaux eu un cambriolage cette nuit. Darzaberg n'est pas le coupable. On doit rentrer. Lui dit Semir.
Il soupira. Il avait oublié l'enquête. Mais il devait la clore. Il se leva pour aller à la salle de bain. Après s'être rincé le visage, il attira Semir pour l'embrasser.
- Maintenant, je suis prêt à commencer cette journée.
Son amant lui sourit.
- Dépêchons-nous. Nous sommes attendu à la brigade.
- D'accord.
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Une semaine venait de passer depuis leur nuit ensemble. Ils venaient de terminer une affaire.
- Tu veux venir boire un verre à la maison ? Demanda-t-il à Semir.
- Je ne peux pas. Aida est malade et Andrea a une réunion nocturne avec un autre pays. Une histoire de décalage horaire.
- Vraiment ?
- Oui. Pourquoi ?
- J'ai l'impression que tu m'évites depuis l'autre nuit.
Semir soupira.
- Non. C'est juste que nous n'avons pas parlé de cette nuit et je ne sais plus trop ce qu'on est. Puis n'oublies pas que je suis marié.
- Tu regrettes.
- Non, je...
- C'est bon. J'ai compris.
Il prit sa veste, puis il quitta leur bureau.