AFTER 23 ET 24

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Chronique d'Isleym: C'est toi et moi contre eux, toi et moi à jamais

AFTER CHRO 23:

Le lendemain, c’est mon téléphone qui m’a reveiller.
J’étais endormi et j’ai repondu sans regarder qui m’appelait.

Moi : Allo ?

Youssef : Wesh Isleym , tu dors encore ?

Moi : Oui, pourquoi tu m’appelles ?

Youssef : Faut que tu me rendes un service.

Moi : Quoi ?

Youssef : Maman et papa isl sont pas là. Et Maissa elle me pète le crane pour que j’aille avec elle dans les magasins et Sarah elle veut pas bouger.

Moi : Oui, et ?

Youssef : Je peux te ramener Sarah qu’elle reste avec toi cet aprem-midi ?

Moi : Oui, vas-y ramène là.

Youssef : Wallah tu gères. Parce que l’autre elle m’a souler là.

Moi : Parle bien de ta femme toi !

Youssef : Je vais pas la supporter longtemps elle.

Moi : Si elle t’entend, elle te tue.

Youssef : C’est sa. Je te la ramène dans 1h sava ?

Moi : Oui d’accord.

J’ai raccrochée et j’ai posé mon téléphone puis je me suis rallonger sur mon lit.

Aymen : C’était qui ?

Moi : Je voulais pas te reveiller.

Aymen : Non c’est pas grave. C’était qui ?

Moi : Youssef, il va me deposer Sarah.

Aymen : Comment il va ton frère ?

Moi : Apparament bien il se plaint de Maissa.

Aymen : Ah vous les femmes.

Moi : Ah non fait attention à ce que tu va dire

Aymen a rigoler, et moi je me suis lever et je suis aller préparer le petit déjeuner.

***

Une heure après, on a sonné a la porte et je suis aller ouvrir.
C’était Maissa, Youssef et Sarah.

J’ai fait la bise à Youssef et Maissa, et j’ai pris ma petite Sarah dans mes bras.

Sarah : Isleym tu m’as manquer !

Moi : Toi aussi ma cherie, sava ?

Sarah : Oui mais ils m’ont souler les deux là !

Youssef : Tu parles de qui toi ?

Moi : Parle bien à ta sœur toi !

Aymen : Wesh déjà vous vous embrouillez !

Quand Sarah a vu Aymen elle lui a sauté dans les bras et puis elle a dit :

Sarah : Dans la voiture ils ont fait que de s’embrouiller.

Moi : Pourquoi ?

Youssef : Parce que vous les femmes vous etes chiantes !

Maissa : Parce que tu crois que vous les hommes vous etes simples peut etre ?

Youssef : Déjà beaucoup moins chiant que vous !

Maissa : Non mais sava toi ! Dis que t’es un ange et fait moi passer pour la folle dans l’histoire.

Youssef a passer sa main sur son visage et moi et Aymen on a rigoler.

Youssef : (à Aymen) : Heuresement Isleym elle est pas comme sa !

Aymen : Isleym elle est encore pire frère !

Moi : Sava Aymen je te derange pas trop ? Moi je suis pire ?

Youssef : (en prenant Maissa par le bras) : Bon on vous laisse nous hein ! et merci pour Sarah

Ils sont parti et Sarah et venu avec moi à la cuisine.

Moi : Tu veux manger quoi ?

Sarah : J’ai pas faim, Youssef il m’a prit un kébaba.

Moi : Toujours les kébabs avec lui.

Aymen a débarqué dans la cuisine, et je l’ai regardé de travers puis j’ai commencé la vaisselle.
J’étais énervé, j’avais l’impression que je le soulais.

Aymen : Sarah va dans le salon, y’a disney Chanel.

Sarah ne c’est pas faite prier et elle est direct sorti.

Aymen : Tu me boudes ?

Moi : Ne me parle pas.

Il c’est approchée de moi et m’a pris par la taille par derrière.

Aymen : Pourquoi t’es énervé ?

Moi : je suis chiante non ?

Aymen : Mais je rigolais.

Moi : Non tu rigolais pas.

Il a déposé sa bouche contre mon cou et m’y a deposer des petits baisers tout en me caressant les chanches par derrière.

Moi : C’est pas tes bisous qui vont faire que je ne sois plus enervé.

Aymen : Arrete Isleym. Je rigolais. T’es pas chiante, t’es la meilleure meme.

Moi : je sais que tu le penses pas.

Aymen : Wallah que je le pense. Et je te l’aurait bien prouver mais y’a Sarah a coté !

J’ai rigoler et je l’ai tapé avec le torchon de la cuisine.

Moi : Non mais sa va pas toi !

Aymen : (en rigolant) : C’est bon mon bébé elle a enfin rigoler.

Moi : Oui.

Aymen : (en se détachant de moi) : Allez vient faire un câlin à ton homme.

Je me suis retourné et je me suis faufilé dans ses bras et il me faisait des petits bisous dans le cou et sur la joue.

****

On était posé dans le salon Aymen Sarah et moi. Toute l’aprem-midi on l’a passait a regarder la télé a manger des chips et boire du coca.

Youssef n’allait pas tarder et Sarah a dit :

Sarah : Isleym t’as une fille et un garcon ?

Moi : Oui ma cherie.

Sarah : Et tu va les appeler comment ?

Moi : Je ne sais pas encore.

Sarah : Je peux chercher avec vous maintenant comment on va les appeler ?

Aymen : Vassy Sarah dit un prenoms.

Sarah : Pour un garçon Karim .

Moi : Non c’est trop courant.

Aymen : Faysal ?

Moi : Non j’aime pas.

Sarah : Anouar ?

Moi : Non on dirait qu’on dit « un noir ». JE NE CRITIQUE PAS MAIS UN JOUR ON ME L’AVAIS SORTI CELLE LA !

Aymen : Ryad ?

Moi : Ah j’aime bien sa !

Sarah : Moi aussi.

Aymen : Bon pour mon petit bonhomme c’est choisi, on v’a l’appeler Ryad.

En disant sa, il a caresser mon ventre et Sarah m’a regarder en souriant.

Sarah : Aymen ?

Aymen : Ouais ?

Sarah : T’es amoureux de ma sœur ?

J’ai regardé Sarah et Aymen a rigoler.

Aymen : Ouais je l’aime ta sœur (en passant sa main autour de mon cou), Ta sœur je l’aime comme un fou et personne ne l’aimera plus que moi !

Sarah : Si moi je l’aime plus que toi !

Aymen : Non tu pourra jamais atteindre comme je l’aime !

On aurait dit deux gosses, mais ils étaient trop mignon.

Moi : Et pour la petite fille alors ?

Aymen : Linda ?

Moi : Non.

Sara : Kayna ?

Moi : Non.

Aymen : Siham ?

Moi : Non.

Sarah : Maissane ?

Moi : Ouais, il est trop beau ce prenom !

Aymen : Tu veux Maissane ?

Moi : Oui il est magnifique ce prenom j’aime trop !

On aurait dit une enfant, mais je venais de choisir les prénoms pour mes futurs bébés.

Aymen : Bon c’est bon alors ! Ryad et Maissane.

Moi : Parfait !

Il m’a fait un bisou sur le front, et on a continuait de regarder la télé.
Jusqu'à l’arrivée de Youssef et Maissa.

Ils semblaient plus calme que tout à l’heure, et Youssef faisait meme le canard avec Maissa.

Aymen : Alors votre aprem-midi en amoureux zerma !

Youssef : Quoi Zerma ? C’es ma femme normal je fais des aprem-midi avec elle !

Moi : Tu l’as bien dresser en une aprem-midi Maissa !

Maissa a rigoler et Youssef a dit :

Youssef : Elle a rien dresser du tout ! juste c’es ma femme ! Comme Aymen, tu crois que je sais pas que tu fais le canard avec elle là ! (en me pointant du doigt).

Aymen a passer sa main autour de mon et a dit :

Aymen : Ouais je fais le canard, mais c’est ma femme je l’aime et elle porte mes gosses !

Maissa : tu devrai prendre exemple sur lui Youssef je te jure !

Youssef a fusiller du regard Maissa, et Aymen m’a deposé un bisou sur le front.
Après sa, j’ai dit au revoir a Sarah et au couple et puis ils sont parti.

****

J'étais à present à 6mois de grossesse et a dire vrai c'était horrible.
Ma première grossesse ne c'était pas passer comme sa, mais là je n'en pouvais plus.
Les douleurs étaient trop fortes et elles me gardaient allonger des heures et des heures sur mon lit sans pouvoir bouger et pleurer.

C'était un jour ou Aymen n'était pas là, il était au travail mais il avait fini plus tôt et il m'avait dit qu'il partait faire un tour avec Sofien.
Je ne voulais pas l'étouffer, ou l'empêcher de voir ses collègues surtout Sofien, alors je ne lui avais rien dit.

Il était 17h30, et j'étais devant la télé quand je me suis lever pour aller à la cuisine et prendre un verre de Coca.
Sans que je m'y attende, une affreuse douleur m'a prise dans le ventre et qui m'a mise à terre.
J'ai hurlé de douleur, et je me suis retrouver agenouillé à terre.
Je pleurais, j'avais peur beaucoup trop peur pour moi comme pour mes enfants.
Je sentais que portER mes bébés me tuaient, c'était un pressentiment que je ressentais depuis un moment déjà mais j'en avais parler à personne.

Alors que j'étais encore à terre, je me suis traîner jusqu'au salon. J'ai mis au moins 15minutes pour pouvoir arriver au salon (toujours en me traînant par terre), et j'ai saisi mon téléphone pour appeler Aymen.

Mes mains tremblaient, et je transpirais trop. Je ne saignais pas, mais j'avais l'impression que mon ventre se déchirer, qu'a l'interieur de moi quelque chose était en train de se déchirer et s ame tuer. J'étais en train de souffrir comme jamais.

J'ai mis mon téléphone près de mon oreille, et mes mains continuaient de trembler.

Aymen: (en étant mort de rire): Attend poto: Ouais Isleym ?

J'arrivais pas à parler, tellement que je pleurais.

Moi: (en pleurs): Aymen..... Aymen...

Aymen: ISLEYM ? ISLEYM SAVA PAS ?? QU'EST CE QUI Y'A ??

Moi: (toujours en larmes): Aymen j'en peux plus, je vais mourir.

Aymen: OH CALME TOI CALME TOI !! J'ARRIVE LA OK ? ISLEYM J'ARRIVE A LA MAISON RESTE AU TELEPHONE AVEC MOI !!

J'entendais le moteur d'une voiture demarré, et Aymen était paniquer je le sentais à sa voix.

Aymen: BEBE J'ARRIVE JE VAIS T'EMMENER A L'HOPITAL D'ACCORD JUSTE TU TE.....

Moi: (en le coupant): AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH

J'ai eu une affreuse douleur au ventre, elle venait de me vider de toute mon energie. C'était trop pour moi, j'avais maigri, je ne mangeais pas beaucoup je n'avais pas faim et j'avais souvent beaucoup trop la flemme de macher ou de manger. J'étais vider de toute energie et sa se ressentait.

Aymen: ISLEYM ! ISLEYM ? T'ES LA ?

moi: (en reprenant mon soufle): Oui.... Ouii. Aymen j'ai trop mal c'est pas normal.

Aymen: CALME TOI ISLEYM RESPIRE !! ISLEYM ISLEYM TU M'ENTENDS ??

Moi: Oui.... oui...

Aymen: Tu vas te calmer, respirer normalement. Compte dans ta tete un, deux, trois.

Moi: Aymen je peux pas, j'ai trop mal. Aymen s'il te plait vient, vient Aymen je vais mourir je le sais.

C'était horrible, horrible.
La douleur m'était insupportable, je sentais la déchirure.

Aymen: DIT PAS SA PUT*IN ISLEYM, DIT PAS SA !

Moi: (avec difficulté): Wallah Aymen......, Aymen tu m'écoutes ,

Aymen: Oui Oui Isleym. Je t'écoute, parle moi.

Moi: T'es le seul homme que j'ai aimer...... (en soufflant fort): Je t'ai aimer comme personne ne le ferra. Je vais mourir je le sais, mais quand je serai plus là..... occupe toi bien de nos enfants.. Aymen promet moi sa, juste promet le moi.

Aymen: FERME TA GUEULE BORDEL FERME TA GUEULE !! TU VA PAS MOURIR ISLEYM TU VA PAS MOURIR !! C'EST BON JE SUIS LA MA FEMME JE SUIS LA !!

J'ai entendu une voiture se garer et la porte d’entrée c’est ouvert violement.

Aymen : ISLEYM ?? ISLEYM ??

J’étais allongée par terre, j’en pouvais plus vraiment al douleur était insupportable.
Quand Aymen m’a vu a terre il est venu en courant vers moi et a passer sa main sous mon dos pour pouvoir me porter mais j’ai hurler de douleur :

Moi : AAAAAAAH NON NON AYMEN NE ME TOUCHE PAS JE T’EN SUPPLIE.

Je pleurais et a force mes tremblement ont augmenter.
Aymen était face à moi et ne savait pas quoi faire.

Moi : AYMEN JE VAIS MOURIR JE LE SAIS !!

Aymen : FERME TA GUE*LE PUTA*N ISLEYM !! LAISSE MOI REFLECHIR CALME TOI ET ARRETE DE CRIER.

J’ai voulu arreter de crier, j’ai vraiment tenter de me calmer pour pouvoir nous autoriser à reflechir sur la situation sauf que sa a été plus fort que moi.

Moi : HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN NON NON LES BEBES VONT SORTIR AYMEN JE LE SENS JE LE SENS !

Aymen n’a pas attendu une seule seconde, il m’a portait et la douleur au dos m’a été insupportable alors je continuais de crier pendant que lui m’a porter et m’a déposer sur la banquette arrière.

Je transpirais et je sentais, (je me repete je sais), que quelque chose se dechirait en moi.

Aymen conduisait vite, et moi j’étais à l’arrière. Les douleurs étaient encore presente plus forte encore, mais je n’arrivais meme plus a crier. Je souffrais en silence mais mes yeux se fermaient, je ne tenais plus je me sentais parti comme lorsqu’on vide une bouteille d’eau. J’étais en train de perdre mon energie exactement comme lorsqu’on renverse une bouteille d’eau.

Aymen : ISLEYM ?? ISLEYM FERME PAS LES YEUX BEBE !! ET TA ENCORE MAL ?

Moi : Aymen sa me tue, j’ai trop mal. Aymen je vais mourir je le sais.

Je repetais sans cesse sa, et je n’entendais plus rien autour de moi, j’étais comme dans ma bulle, je voyais l’avenir de mes enfants sans leur mère. Je voyais l’avenir d’Aymen sans moi. Je voyais l’avenir de tout le monde sans moi dans leur vie : Cette phrase m’a percuté « On passe sa vie à dire adieu à ceux qui partent, jusqu'au jour où l'on dit adieu à ceux qui restent.

J’étais coupé du monde et c’était le cas de le dire, ma douleur me fatiguer et me forcer à fermer les yeux mais j’entendais tout ce qui se passer autour de moi.Cette douleur me garder eveiller .

Aymen m’a porter pour me ramener à l’hopital et je me rappel qu’il a crier, il a hurler un cri d’homme en detresse :

Aymen : VITE VITE C’EST MA FEMME ELLE EST EN TRAIN D’ACCOUCHER PUTAIN VITE FAITES QUELQUES CHOSE.

Je voyais le monde autour de moi tournait, je voyais le futur sans moi.
Il ne me rester qu’une chose à faire avant de mourir, donner la vie. C’est paradoxal certes, mais j’ai eu cette chance de donner la vie. Bientôt je rejoindrai ma fille. Wassila….

Aymen m’a posé sur un lit, on était dans une chambre, j’entendais les medecins s’agitaient autour de moi, et doucement mes yeux ont recommencer à s’ouvrir lorsque un medecin a dit :

Un medecin : Monsieur sa serait un miracle si les trois s’en sortaient.

Aymen a tourner la tete vers moi, et dans ses yeux j’y ai lu du desespoir.

Ce jour là c’était mon heure, c’était ma fin.

Aymen m’a regardé et c’est approché de moi, des infirmières s’occuper de moi mais je ne voyais que lui. Il c’est approcher et m’a prit ma tête, il me déposer des bisous sur le front et une larme a couler de ses yeux..

Il a été retirer de moi et une infirmière c’est mise à sa place, elle me tenait la main et m’encourager.

L’infirmière : Madame, on ne peut pas vous faire une césarienne le travail a déjà commencer. Il va vous falleoir du courage mais vous pouvez le faire. Va falloir pousser madame et je serai là pour vous aider.

J’ai fait un signe de tête pour dire non, pour lui faire comprendre que j’étais trop faible et que jamais je pourrai mettre au monde deux êtres.

L’infirmière m’a serré la main et m’a dit :

L’infirmière : Vous pouvez le faire madame.

Mon dos me tuer, mais mon ventre c’était encore pire.
J’avais une affreuse douleur, et j’étais réellement sur le point d’accoucher.
Je m’en rendais compte à présent lorsque chaque membre de l’équipe était à mes coté cette femme qui me tenait la main et c’est lorsque j’ai senti une main me tenir mon autre main libre que j’ai eu le courage de pousser.

Aymen était venu à mes cotés, il allait assister à mon accouchement.
Il me tenait la main et me la serrer fort. Il me transmettait son énergie et j’avais comme l’impression d’etre capable de mettre au monde mes deux trésors.

C’était pour Aymen que j’avais trouvé le courage, c’est pour Aymen que j’ai trouvé la force pour pousser.

L’infirmière me faisait des bruits de chien, pour m’aider à souffler et moi je poussais j’ai hurler meme. Jamais je n’ai connu un tel souffrance, jamais je n’ai penser que j’allais un jour vivre sa.

Je poussai du mieux que je pouvais, je serrais la main de l’infirmière et d’Aymen.
Je me mordais la lèvres inferieurs, je transpirais de partout. Mes cris auraient pu servir pour un film d’horreur tellement c’était horrible.

Le medecin me criait de pousser, que la tete allait presque sortir et que le reste viendrait tout seul.
Tout le monde m’encourager, Aymen me tenait la main et parfois me caresser les cheveux alors qu’on aurait pu me confondre avec un chien enragé.

J’ai cru ne jamais pouvoir y arriver, jusqu'à que le médecin m’a criait que la tête du bébé était sorti, qu’il ne me restait qu’un seul effort à faire.
Mon dernier effort je l’ai fait, j’ai poussé une dernière fois.

Mon premier bébé est sorti mais sans crier, ni pleurer quand j’ai vu le médecin donnait mon bébé à l’infirmière et sans entendre son cri j’ai commencé à paniquer et à crier.

Moi : (faiblement) : Pourquoi il pleure pas ? J’entends rien.

Le medecin : Ne vous inquiétez pas madame, il va très bien. Faites un dernier effort madame le second bébé doit sortir .

Moi : Je peux plus…, j’y arriverai pas.

Le medecin : Ecoutez moi madame, si vous ne faites pas sortir votre fille elle mourra. Il ne reste plus beaucoup de temps.

Quand il a dit sa j’ai regarder Aymen. Il m’a fixait m’a serrait fort le bras et m’a dit :

Aymen : Isleym vassy. Un dernier effort.

Sans répondre, j’ai pousser pousser autant que je pouvais.
J’ai hurler comme si on me coupait un membre mais je sentais que beaucoup de chose se dechirait en moi. C’était une réelle souffrance que je vivait là et se fut encorre pire lorsque j’ai pousser réellement du mieux que j’ai pu et j’ai senti que ma fille sortait. Je savais qu’elle était en train de sortir .

J’ai poussé, j’ai reuni mes dernieres forces et j’ai pousser jusqu'à ne plus en pouvoir.
J’ai cessé de pousser alors que seulement la tete était sorti, sauf que je n’en pouvais plus.
J’étais au bord de l’évanouissement, et le medecin me crier de pousser que ma fille devait sortir.
Je l’a bloquer sa tete était dehors mais son corps encore en moi.

Mais je n’arrivais plus, j’avais epuisé toute mon energie.

Aymen : ISLEYM POUSSE ISLEYM ELLE VA MOURIR NOTRE FILLE VA MOURIR ISLEYM VASSY MA CHERIE VASSY !

Je voyais flou, j’u arrivais plus. J’ai vu tout le monde s’agiter, Aymen me secouait près de lui mais rien y faisait.

Jusqu'à que j’ai entendu cette phrase, cette phrase qui a tout changer :

Aymen : WASSILA EST DEJA PARTI ISLEYM BAT TOI POUR CELLE LA BAT TOI POUR QU’ELLE VIT.

Quand il m’a dit sa, j’ai repenser à la souffrance que j’avais eu lors du décès de ma fille, j’ai repenser à la première fois ou nous avons annoncer ma grossesse. J’ai repenser à la haine et au degout que j’éprouvais contre ma belle mère lorsqu’elle m’a prit Aymen, lorsqu’elle l’a éloigner de moi alors que j’en avais besoin. J’ai penser à l’homme qui m’a renverser et qui m’a tuer ma fille.
J’ai repenser à tout sa, et dans un moment de haine absolu j’ai pousser.

J’ai pousser et j’ai hurler a m’en éclater les cordes vocales…
Et la dernière image a était que le médecin a enroulé ma fille dans une serviette blanche.
J’ai vu ma fille être porté par une infirmière et puis mes yeux se sont fermés.

Je venais de m’etre au monde Ryad et Maissane.
Aymen ne serait pas seul, il aura avec lui nos enfants et mon souvenir avec lui a jamais.

CETTE PARTIE EST SPECIAL: Ce n'est pas moi qui l'é ecrite mais la cagole du Nord (mouaaaaaaaah ?) non sah c'est celle qui ecrit "dans la peau d'Aymen" qui a ecrit cette suite

Chronique d'Isleym: C'est toi et moi contre eux, toi et moi à jamaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant