Chronique d'Isleym: C'est toi et moi contre eux, toi et moi à jamais

AFTER 11 ET 12

AFTER CHRO 11:

Moi: C'est qui qui vient nous chercher ?

Nous venions d'atterir sur le sol Tunisien, et nous avions déjà recuperer les bagages.

Aymen: Mon cousin.

Moi: Lequel ?

Aymen: Tu ne le connais pas. Il était pas la quand tu étais venu.

Moi: Ah d'accord.

Aymen: Hey bébé ?

Moi: Oui ?

Aymen: Tu parles pas avec ni rien hein.

Moi: Tu me soules Aymen.

Aymen: Ouais sa je m'en fou. Tu n'as pas interet a lui parler.

Moi: Mais c'est à toi que je suis marié, pourquoi tu t'inquiète comme sa ?

Aymen: Je m'inquiète pas. Je sais que t'es pas une de ses femmes mariés qui vont voir ailleurs.

Moi: T'es parti loin quand meme là .

Aymen: Non c'est la vérité. Juste je veux ma femme pour moi !

Moi: Tu m'as deja rien qu'a toi !

Aymen allait me repondre, quand :

?: Oh Cousin !

Aymen c'est retourné et à sourit façe à l'homme qui venait de nous intercepter.

Aymen: Comment tu vas ?

L'homme: (surement son cousin): Bien et toi ?

Aymen: Hamdoullah.

J'étais derrière Aymen, il c'est retourné et m'a prit par la main en me presentant:

Aymen: Je te presente ma femme Isleym, ( à moi): Isleym mon cousin Sami.

Moi: Selem.

Sami: Aleykoum selem.

Il c'est avancer vers moi pour me faire la bise, mais j'ai reculer et je lui ai tendu la main.

Moi: (gené): Je ne fais pas la bise.

Sami a rigolé puis à regarder à Aymen.

Sami: (à Aymen): Bien ta femme !

Aymen: Aller , vas-y j'ai faim moi ramène moi à la maison.

Sami: Tu n'as pas manger ?

Moi: Si il a mangé avant de partir de la maison dans l'aéroport, dans l'avion mais il a toujours faim.

Sami: Aaah c'est bien Aymen sa !

Aymen m'a regardait, puis a regarder son cousin.

Aymen: Aller Sami, on bouge.

Je n'ai pas parler, et nous sommes monté dans sa voiture.
Sur la route, Sami et Aymen parlait de leur famille, Aymen prenait des nouvelles et moi je les ecoutais.

Aymen: Mama (sa grand-mère), elle va bien ?

Sami: Ouais hamdoullah.

Aymen: Sava, bon et l'autre chien là il est encore chez elle ?

Sami: Mourad ? Ouais il veut pas bouger je crois.

Aymen: De toute façon je prend Mama avec moi.

Sami: Tu connais bien Mama, elle laissera jamais un de ses petis-fils tout seul .

Aymen: C'est bon c'est pour une semaine aussi.

Sami: Elle voudra pas, y'a personne pour lui faire à manger, son linge et le ménage.

Aymen: T'es serieux là ? C'est Mama qui lui fait tout sa ?

Sami: Bah ouais tu crois que c'est qui sinon ?

Aymen: Comment sa ? Elle est fatigué et lui il a pas honte.

Sami: Tu connais Mourad, il a jamais eu honte.

J'étais mal à l'ase, si je comprend bien Mourad (le cousin qui était venu nous chercher a l'aeroport pour le deces du père d'Aymen), vit chez sa grand mère. Mais as grand-mère va venir avec nous, donc Mourad ne pourra pas rester seul, à moins qu'il vient lui aussi.

Aymen: Y'a qui la chez mama ?

Sami: Tout le monde frère, ils veulent tous te voir.

Aymen c'est retourné vers moi et m'a dit:

Aymen: Tu as vu les arabes, sa c'est pour se meler de ce qu'ils leur regardent pas qu'ils nous attendent.

Moi: Ce n'est pas grave Aymen.

Aymen a soufflé et Sami m'a regardait a travers le rétro-viseur.
*-***

Quelques minutes après, nous arrivions chez la grand-mère d'Aymen.

Aymen et Sami ont prit les valises et nous nous sommes dirigés vers l'entrée.
Quand nous sommes rentrés, la première personne que j'ai vu a été Mama.

Elle nous a regardait, puis Aymen c'est dirigé vers elle, et l'a serrer tres fort dans ses bras.

Aymen: (en l'embrassant): Mama tu m'as manqué !

Il était comme un goss qui avait été separer trop longtemps de sa mère.

Mama: Aymen mon fils, tu as encore grandit.

Aymen: Mais non c'est toi qui rétreccie.

Maman: (en lui donnant un coup): Tu rigoles de moi là ?!

Aymen a rigolé et moi j'ai souris puis elle c'est penché un peu sur le coté et m'a vu.

Mama: Isleym ma fille, vient fait pas la timide.

Je me suis approchée d'elle, sa faisait très longtemps qu'on ne c'étais pas vu.
Quand je suis arriver près d'elle, elle m'a prise dans ses bras et m'a serrer fort à son tour.

Maman: (à mon oreille): Je le savais.

Moi: (en me retirant d'elle): Quoi ?

Mama: Toi et Aymen vous êtes fait l'un pour l'autre. Je le savais ma fille.

J'ai souris et lui ai fait un bisou sur le front.

Aymen a de nouveau fait un bisou à sa grand-mère puis il m'a prit par la main et nous nous sommes dirigé

vers le salon, là ou tout le monde était.

Sa faisait trop longtemps que je ne l’ai avait pas vu, et encore j’avais vu seulement quelques personne de la famille d’Aymen.

Quand je suis rentré, Aymen a dit bonjour a toutes ses tants présentes et ses cousines et moi j’ai fait de même.
Une fois les embrassades finit, une des femmes m’a prit par la main et m’a fait asseoir près d’elle.

La femme : Vient T’asseoir à coté de nous.

Elle m’a fait asseoir près de quelques femmes, et Aymen était toujours debout.
Je l’ai regardé l’air de lui dire « je fais quoi » ? et lui m’a regardait d’un regard désespérer.

Aymen : Khalti (tata en arabe), on ne reste pas longtemps on est juste venu dire bonjour.

Sa tante, qui me tenait encore la main : Ne t’inquiète pas Aymen tu pourras profiter de ta femme ce soir.

A la fin de sa phrase, j’ai baissé ma tante rouge de honte, et Aymen a fronser les sourcils.