Tout comme Une mère qui écorce ses entrailles.
Mes yeux qui tournent vers l'horison en éventail .
Mon cœur percé en train traître la coursue du rail.
Sur cette Terre maudite, je ne réalise jamais que t'allais me trahir.
J'faisais le tour du monde mais J'peux pas bénir.
Alors que vais -je faire hein ?! Sans toi la vie me rend les tours firent.
Si t'as le cœur malfaiteur de me piétiner, j' avais cru autant sur toi p'tite Saphir.
Je plie , prit mes pieds à mon cou .
Empoisonne mon amour mais mon cœur est dans le four.
A ton tour ça fait mal empire dans l'écoût.
L'égou et le goût me paraît même après quand t'avais déjà un époux.
Mon cœur pris en couleur, en prière me rend endurcie.
Ma vie paisible transformée en questions déduisit.
Ma mère m'avais prévenu mais j'ai failli faire la contre tête en dépit.
Si il y avais quelqu'un que j'puisse haïr c'est toi .
Si il y en a une personne que j'ai l'envie de tuer c'est moi.
Par l'existence de nous ,mon avenir s'enferme dans le tiroir.
J'ai cru que j'ai pleuré autant qu'un p'tit garçon perdu vue de sa mère.
Un pauvre misérable père qui prit sa fille comme prisionnière.
Que vais-je faire pour enterrer cette paire .
La vie me dit : Si un (e) s'en va en banc, dans son plan, son armement, ouvertement serait la sainteté de son bonheur.
C'est vrai qu'aujourd'hui je souffre mais je sais que j'en ai plus de doutes.
J'en ai plus d'écoutes.
Alors ma détresse me fixe dans les environs.
Les ponts me conduisent dans les microns.
Les anxieuses moments de cuisson.
Les circonstances qui me poussent à être en prison .
☆ Job Le Slameur ☆. .
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L'amour Répandu
PoetryParfois il faut être amoureux pour voir qu'en amour tout ce qui est impossible deviendra possible même par l'enfer .... Pour aimer , il faut que tu aimes autant la souffrance Parce qu'on ne peut pas être heureux sans pleurer d'abord . Tout le monde...
