|KOKONOI X OC|
•BONTEN•
Quand le combat clandestin et l'argent se dessine à l'horizon comme la seule issue, Que la gloire et le pouvoir s'empare d'une âme supplémentaire, et que le désire de vengeance anime un corps... La seule solution est le comba...
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Sanzu était assis dans l'un des fauteuils en cuir de l'un des salon. Il était seul dans l'immense pièce qui l'entourait. L'homme sentit son téléphone vibrer, il le saisit avent de découvrir un message de koko qui lui était adresser.
« tu pourrais chercher Athena et la ramener à son club de combat habituel ? Maintenant. »
Sanzu soupira évent de pianoter sur son iPhone.
« Ça me fait chier... c'est urgent ? Ça peu pas attendre son combat ce soir ? Et pourquoi tu lui prends pas un chauffeur ? »
Koko repondit quasiment instantanément.
« Non ça peu pas attendre, et je veux que ce sois toi qui la cherche parce que je pense qu'elle aura besoin de tes pilules magiques pour être apte à ce lever. Et tant mieux si ça te fait chier j'adore te voir faire des sourires forcés dès que tu croise le Boss. Bref. Réponds pas et bouge toi le cul. »
Sanzu se leva en furie avent de descendre jusqu'à l'appartement d'Athena où il ne pris pas la peine de toquer et entra dans un fracas. L'homme se stoppa quelque instant afin d'appeler Athena d'une voie rauque.
Aucune réponse...
Sanzu avança jusqu'a sa chambre, rien... il se dirigea donc vers la salle de bain où il découvrit Athena en boule a coter des toilette.
Sanzu- Euuuhhh.... t'a essayer de manger de la coc ? Nan parce que une fois j'avais essayer et enfait quand tu-
Athena- Ferme ta gueule Haruchiyo... grogna t-elle en replongeant sa tête dans la cuvette saisit d'un nouveau vomissement.
Sanzu passa ses mains derrière la tête de la jeune femme lui tenant les cheveux en détournant le regard. Athena laissa échapper un petit cri lorsque des goures de sang veinre teinté de rouge ses crachats.
Sanzu- C'est rien t'inquiète pas j'ai déjà eu ça aussi.
Athena s'essuya la bouche avent de se laisser tomber parterre en soufflant.
Sanzu- Ta prit quoi ce matin ?
Athena- Rien tu tout. Cracha t-elle en tentant de se lever.
Sanzu- C'est bon je te juge pas je suis pareil hein...
Athena- Je ment pas j'ai rien pris. Dit elle avent de retomber au sol, tremblante.
Sanzu- Alors qu'est-ce qu'il y a ? Demanda t-il en relevant le jeune femme avent de le prêter jusqu'au canapé.
Athena - ca serre a rien que je t'explique c'est pas comme si t'en avait quelque chose à branler... souffla t-elle en s'écroulant des verres d'Haruchiyo sur le canapé.
Sanzu-j'en ai rien à foutre mais peut être que je peu te soulager histoire je puisse gagner des points de confiance pour pouvoir plus souvent te Ken... Souffla t-il en s'installant à coter de la jeune femme.
Athena esquissa un sourire discret avent de se tourner vers Haruchiyo comprennent que se confier était peut être la solution pour cette fois.
Athena- Tu sais ce que c'est la chose qui me dégoûte le plus au monde.
Sanzu- Mucho j'imagine... il est laid... souffla t-il.
Athena- C'est moi.
Un blanc poursuivit cette phrase. Sanzu avait détourner son regard de sa cigarette pour le poser sur Athena.
Sanzu- Hein ?
Athena- Je suis cette chose que je déteste. Je suis immonde. Je me répugne au point d'avoir envie de gerber quand je me regarde trop longtemps dans le miroir.
Sanzu restait assis la, sans rien dire. Le regard qu'il lançait à Athena, elle l'avais très bien compris. Il n'avais plus besoin de prononcer de mot. Ils se comprenaient déjà sans paroles. Ils étaient pareil. Il avait le même fonctionnement, le même échappatoire. Après plusieurs secondes Athena brisa leurs contacts visuel en se levant.
Athena- Alors toi aussi...
Sanzu passa une main dans ses cheveux repensant au regard qu'avait la jeune femme. Ce regard l'avait marquer, plus que ça,il avait trouver quelqu'un comme lui. Son corps agissait à la place de son esprit qui semblait s'être mis en pause.
Sanzu se releva et prit Athena dans ses bars par derrière surprennent la jeune femme.
Athena- Haruchiyo ? Souffla t-elle en se figeant.
Sanzu- Tais toi... grogna t-il la tête enfuie dans le cou de la jeune femme.
Son regard était brouiller par des larmes chaude qui tentait de le ramenée à la réalité, en vain. Sanzu serrait Athena contre lui de plus en plus fort.
Plusieurs secondes s'étaient écoulés. Haruchiyo relacha Athena avent de lui faire signe de le suivre. Il se frotta péniblement les yeux en fronçant les sourcils. Sur l'instants il ne rêvait que d'une chose, la tuer. Elle détruisait l'homme qui était, et qu'il avait passer des années à construire.
