Sur le Ring d'Athena

Lost place

une lumière vive agressait les pupilles de la jeune femme. Athéna ouvrit péniblement les yeux avent de ressentir une vive douleur dans tout son corps. elle était allongée a l'arrière d'une voiture qui lui était inconue.

la chevelure blanche qu'aperçus la jeune femme lui fit compprendre la situation.

"il doit probablement me livrer au gars a qui j'ai coser du tord en échange d'une grosse somme de fric parcequ'après tout ce que je suis. une somme de fric." pensa t-elle.

athena se releva violement avent de passer son bras autour du coup de kokonoi qui tappa dans les freins laissant la voiture s'arrêter sur la petite route de campagne.

athena- ouvre les portière et laissa moi partit maintenant.

koko- At-Athéna je t-te veux pas de mal j-justement je-

athena relacha la pression autour du coup du jeune homme en voyant que les portière de la sportive n'était pas vérouillées.

koko- t'a fait un malaise apres ta douche brulante. j'ai du assomé Sanzu et filer en douce en trahissant les ordres du boss pour eviter que tu te fasse flinguer. alors tes gentille tu pose ton cul sur ce putain de siège et t'essaye plus de m'étrangler bordel ?

athena ne protesta pas, elle se rassis a l'arrière laissant quelques minutes s'écouler.

athena- Pourquoi ?

koko- quoi encore je conduit la.

athena- pourquoi tu m'a sauvé tu vas te faire flinguer si tu a vraiment trahi mikey comme ca.

koko- ta gueule déjà que je perds de l'argent fait moi le plaisir de la fermée.

Athéna n'insista pas. elle ne portait qu'une chemise blanche et un bas de costard que koko avait du lui mettre. il avait un veritable dressing a l'arrière de sa voiture.

koko- on vas aller dans un petit hotel que je conais et on verra ce qu'on peu faire après jusque la t'a qu'a te rendormir. dit-il froidement.

athena aquisca avent de se caller sur le siège la tete contre la vitre. le tableau de bord de la voiture indiquait 19h. pourquoi avait-il fait ca ? il risquait tout juste pour elle c'était incenssé. Athéna se sentait grisé par l'atmosphère lourde qui avait envahis la voiture.

comment pouvait-elle lui en vouloir ? le jeune homme risquai tout pour une simple enfants des rues dont l'existence au rait ennuyer même le dernier des abrutis de cette planete.

c'est sur cette route bosselée et cette atmosphère grisante que l'esprit d'Athéna avait decider de faire le point. elle était si differente, si seule, si triste, emplis de rage la jeune femme avencait, non rempait dans les couloirs aussi humides et sordide que sa vie formaient.

l'ironie du destin c'était emparé d'elle depuis ses premiers pas.

Elle n'était qu'une somme d'argent que l'on pariait comment avait-elle peu croire un instant que son existente prenait un sens ici.

À suivre...