Chapitre 13

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"L'amour est une catastrophe, c'est savoir que l'on fonce droit dans un mur tout en accélérant."

Une catastrophe.

C'est une catastrophe.

Une véritable catastrophe.

Une putain de véritable de catastrophe.

Une putain de chienne d'enculée d'inévitable catastrophe.

Reste plus qu'a prier pour que mon corps ne serve pas de nourriture aux cochons.

A défaut de me transformer en poule ...

C'est claire, je deviens chèvre !


Reprenant un souffle régulier juste après le départ de mon maître je me redresse et me réincline directement vers l'Empereur d'Ibiscus -mon putain d'âme lié de merde- je vais peut-être devoir ralentir sur les putains de vilains mots.

Tournant ma tête vers l'esclave ménagère qui devait servir l'Empereur, à savoir vieille bique, je me redressa et fit un signe pour supplier en vain des yeux veille bique de rester avec moi.

Peut-être y'avais t-il encore un brin d'espoir quand je la vis se tourner vers l'Empereur, ok, combien de patates aillais-je devoir voler pour la soudoyer, qui as dit que les pauvres ne pouvaient eux aussi pas offrir de pot de vin ?

- Cher Empereur d'Ibiscus, je vous laisse entre les mains de l'esclave asservis, elle s'occupera de vous jusqu'à ce que ces obligations envers son maître l'oblige à vous quitter, ainsi je viendrais ci vous me le permettait, vous aider. A vous et à votre peuple, sachez que nous ferrons notre possible afin que vous soyez agréablement servis, nous avons déjà commencé à réchauffer vos eaux pour vos bains. Vous avez fait un long voyage, je vous laisse à vos esclaves. Pour finir, pour les taches domestiques vous avez des esclaves ménagères, pour vos désirs charnel nous vous enverrons des esclaves sexuelles, il suffit d'indiquer à vos esclaves que vous souhaitez faire appeler des esclaves sexuelles. Je vous retrouve ce soir afin de vous servir lors du banquer.

Et sur ceux, elle partie, ignorant mes patates imaginées ...

La pièce se vida petit à petit me coupant la respiration, bordel, le bain ! J'allais devoir faire son putain de bain. Et merde. Comment voulez-vous que j'arrête les vilains mots avec ce genre de situation ? J'ignora la discutions entre les deux hommes d'Ibiscus tant je peinais à reprendre mes esprits.

- N'allez vous pas me montrer le chemins ? A moins que je couche ici ?

Je sursauta au son de sa voix, qui dois-je le dire est plus que délicieuse. Mais qu'est ce que je raconte, voilà ca commence déjà. J'inclina ma tete et partie dans les couloirs, qu'il se perde se batard meme si cela ne risquais pas au vu du peu de distance physique qu'il met entre nous. Sa chaleur corporelle me brulait ma peau, m'électrisée la peau, mes poils était aux garde à vous, et mes sens en alerte maximal. Je bifurqua pour entrer dans la dernière aile du château, l'aile la plus intime et éloigner. J'ouvris la porte sur la chambre qui serais la sienne et m'inclina en le laissant passer.

Je n'avais pas besoin de regarder la chambre, je la connaissais par cœur à force de la nettoyer tous les jours. Cette chambre est un immense bloc de pierre blanche comportant en premier lieu un salon avec une grande table en pierre taillée, puis après avoir passé un arc de voute se trouve la chambre avec son immense lit. Je savais d'ores que certains esclaves Ménagés avaient déjà rangeaient les habits de l'Empereur dans les armoires. A gauche de la chambre se trouvait un second arc caché par un grand foulard rouge, la salle de bain, celle-ci avait de nombreux miroirs, des lavabos, et en son centre une immense baignoire en pierre taillée en forme de cercle.

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⏰ Dernière mise à jour : May 26, 2022 ⏰

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Le fil de l'esclave.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant