RENCONTRE...

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Putain c'est quoi ce bordel ! Je suis sans voix une femme non mais j'aurais tout vu . C'est vrai que putain c'est une sacrée pilote , elle fait corps avec sa moto , quand je l'ai vu sur la piste mes tripes se sont retournées. Elle aime le danger et prends trop de risque . Je n'ai pas le temps d'ouvrir la bouche qu'elle me saute à la gorge .

— vous vous prenez pour qui vous , pour me parler comme ça ? Un complexe d'infériorité peut-être ? Pauvre con .

Se retournant vers Lisandro lui dit :

— Je comprends mieux votre petit discours de tout à l'heure . Je vous remercie de m'avoir contacté et dites au propriétaire que s'il veut me réévaluer qu'il me contacte mais qu'il limite la venue de trou du cul comme monsieur du con ici présent .

Elle plante ses yeux dans ma direction et me sourit diaboliquement ; Comme si elle ne savait pas que j'ai son avenir entre les mains . Un sourire se dessine sur mes lèvres. Tu veux jouer alors on va jouer mon petit lutin.  J'espère que tes épaules seront assez larges , je me langui de voir sa tête quand elle va comprendre. Elle tourne les talons lève son bras et déploie son majeur . Monte sur son bolide , mets le contacte et part dans une soulever de poussière. Je me tourne vers Lisandro .

— tu m'explique ?
— tu ne m'a pas laissé le temps, tu es parti comme un fou , c'est le nouveau pilote donc je t'ai parlé, elle a des chronos de folie , ne fait parti d'aucune écurie. Elle est indépendante .
—c'est une femme merde .
—aussi oui .
—c'est quoi le discours que tu lui a fait ?
—je l'ai juste mis en garde contre le monde des courses . Le sexisme ... mais je crois qu'avec ton petit numéro de coq elle a compris.

Il se mets à rire se con , et me demande :

—qu'est que tu vas faire , comment tu vas t'y prendre pour la faire revenir ? Je te préviens, ne compte pas sur moi , j'ai fait ma part du taf .
—faut que je réfléchisse . Je dois y aller.

Je monte dans ma voiture , branche mon téléphone en Bluetooth et appuis sur mon contacte.

—bonjour boss ,que me vaut cet appel ?
—je t'envoie l'identité d'une femme , tu me fais la totale, je veux tout savoir de son adresse à la marque de ses tampons .
—ok ... tu peux être plus précis.
— si je te le demande ce n'ai pas pour rien .
—très bien et je suppose qu'il te faut tout ça pour avant hier .
—le plus vite possible. Merci
—je t'envoie tout ça dès que j'ai les infos .

Je raccroche , je ne comprends pas cette femme m'a fait un effet de fou . J'ai l'impression de la connaître, sa silhouette et ses yeux d'un gris que je n'avais encore jamais vu . Faut que je me reprenne . J'envoie un message à Lisandro , lui demande le nom et prénom de mon lutin . Cinq minutes plus tard je reçois les infos que je transmet de suite . A nous deux Ever Green .

Assis à mon bureau, je n'arrête pas de pensé à des yeux qui me défi. Reprend toi Milo . Mon téléphone clignote j'appuis sur le bouton. La voix de ma secrétaire me dit :

—monsieur je suis désolé de vous déranger mais j'ai ici une jeune femme qui souhaiterait vous voir , elle n'a pas de rendez-vous mais insiste . Votre prochain entretien téléphonique est dans 20 minutes.

Je souffle rien ne se passe comme prévu aujourd'hui.

—de qui s'agit-il ?
—mada pardon mademoiselle daphné blaire monsieur .
—faite la rentrée.

Je pense que la visite de daphné va améliorer ma journée , il faut que je mette les points sur les i , que je lui fasse comprendre que c'est moi qui décide ou et quand et non elle . Je replace mon masque de froideur sur mon visage même si je vais pouvoir décompresser et me sortir ce lutin de la tête . Le porte s'ouvre sur ma secrétaire qui se décale pour laisser passer daphné. La porte se referme derrière elle .

—bonjour Milo .

Je lui fais un signe de tête et lui indique le fauteuil en fasse de moi . Elle s'assit en écartant ses jambes , je peux apercevoir qu'elle ne porte pas de culotte. Parfait je n'ai pas de temps à perdre je mets mes coudes sur mon bureau et prends la parole .

— daphné que me vaut ta visite , va à l'essentiel je ne pas le temps .

Je la sent déstabilisée mais se reprend très vite .

—cela fait un petit moment que tu ne m'a pas appelé, je me suis dit qu'une petite visite te ferait plaisir .
— je vais te redire les choses comme elle sont et rentre toi les bien dans la tête , je décide de où et quand et avec qui , nous ne somme et ne seront jamais un couple , j'aime baiser avec toi mais ça s'arrête là , tu ne remets plus les pieds dans mes locaux sans que je te l'ai explicitement demandé. C'est bien compris , tu reste à ta place ou bien je vais être dans l'obligation d'annuler notre accord.

Je reste froid , son visage se décompose au fur et à mesure de ma tirade . Et oui je décide je ne veux surtout pas qu'elle s'attache. Si tel est le cas je devrais mettre un terme à tout cela . Elle reprend contenance et me répond .

—je voulais juste te faire une surprise.
—as tu compris oui ou non ?
—oui .
— très bien .

Je lui fais signe de se lever et me rejoindre ce qu'elle fait, je la détaille du regard , elle est sublime dans sa robe et ses talons qui lui font des jambes à tomber. Je pousse mon fauteuil et lui fais signe de se mettre à genoux, se qu'elle s'empresse de faire . Je commence à bander dur , elle remarque la protubérance dans mon pantalon et se lèche les lèvres en me regardant dans les yeux . C'est bien elle a compris . Elle remonte les mains sur mes cuisses pour atteindre ma braguette qu'elle fait descendre , sort ma bite de mon caleçon et commence de long va et vient. Mais ce n'ai pas ça que je veux et lui dit.

—prends la dans ta bouche je n'ai pas que ça à faire .

Elle acquiesce et me prends à fond , je regrette la tête en arrière mais elle ne va pas assez loin , je prends une poignée de ses cheveux et m'enfonce encore plus loin , elle dégluti difficilement,les larmes lui monte au yeux , je ralentis mes poussées pour lui permettre de respirer mais pas trop mes yeux se ferme et des yeux gris apparaissent . Mes couilles se contracte , je la fais se lever la plaque sur mon bureau ces seins son aplati sur la surface , je remonte sa robe , j'ouvre le tiroir de mon bureau j'en sort un préservatif que je déroule sur mon sex bander à l'extrême . Je m'enfonce en elle sans ménagement je la martèle tellement fort que tout ce qui se trouve sur mon bureau dégringole, mais je ne m'arrête pas . Elle prend son pied elle pousse des cris qui me signifie qu'elle n'ai pas loin , sa chatte ruisselle de sa mouille mes vas et viens s'intensifie encore trois coup et je décharge dans sa moiteur . Qu'est qu'il m'arrive je n'ai  jamais pris mon pied comme ça . J'ouvre les yeux ce que je vois n'ai pas des yeux gris mais daphné. Je me retire d'elle retire le préservatif et le jette dans ma poubelle . Daphné se redresse difficilement et rajuste sa robe , un sourire se dessine sur ses lèvres que je m'en presse d'effacé.

—c'est tout pour l'instant tu peux y aller.

SpeedmasterOù les histoires vivent. Découvrez maintenant