Une vie pour une vie

Un prédateur chassé

PDV omniscient

Quelques jours plus tard

C'est par un matin d'été, où les rayons du soleil venant à peine de se montrer, que l'équipage de Barbe Blanche accoste dans une crique sur l'île Sunlight. A peine la coque ai touché le sable, que Rouge avait disparue du navire. Mais ils ne remarquèrent sa disparition que bien plus tard dans la journée.

Pendant ce temps-là, la dite disparue est allée dans le bar de l'île pour la pêche aux informations. Recherche qui fût des plus bénéfique car dès quelle a mis les pieds dans le bar, elle remarqua la présence de sa cible mais ce n'est pas pour autant quelle passa à l'action. Rouge décida d'attendre et de voir comment allait se passer la suite. Elle prit un verre de rhum après s'être assise au bar. Tandis quelle buvait sa boisson, le plus discrètement possible, elle observa la salle et ses occupants ainsi que sa proie. Il se passa ainsi quelques heures, il devait être dans les alentours de midi, quand j'entendis mes nouveaux compagnons entrer dans le bar. Qu'ils étaient bruyants, c'est incroyable. S'ils font capotés mon plan, enfants de Barbe blanche ou pas, ils le regretteront amèrement. Tiens, je sens quelqu'un derrière moi, qu'est ce qui veut ce lourdaud ? Il me fait chier, il est mort. Pouah, il put l'alcool. Attend, il me parle là, mais dégage sérieux, laisse-moi tranquille.

-Alors comme ça, vous buvez du rhum. Ce n'est pas une boisson pour femme, laissez là aux hommes. J'vous conseille de prendre un jus de fruit. C'est meilleur surtout avant de faire du sport. Si vous voyez ce que je veux dire. Dit-il en mettant sa grosse paluche sur mon épaule et en se penchant vers mon visage.

-Dégage, laisse-moi tranquille.

-Ho, allez ! Fait pas ta timide, je sais que tu veux le faire. Tu verras se sera jouissif pour toi, tu y prendras du plaisir et en redemandera.

Beurg, il me dégoute. Comment pourrait-il savoir ce que je désire si déjà moi-même je ne le sais pas. Abjecte !

-Tu ne sais pas ce que je veux. Alors maintenant, casse-toi si tu ne veux pas que je te castre Connard ! En haussant le ton et en enlevant sa main de mon épaule.

-Ho, allez poupée ! Ne fait pas ta rebelle. Je sais que tu veux le faire.

Ho, putain ! J'ai me le faire, il va rien comprendre à sa vie. Sans attendre, je chope sa tête qui soit dit en passant est toujours proche de la mienne, et la fracasse sur le comptoir. Puis en lui prenant la nuque, je le balance à l'opposé de ma position soit dans le mur à côté de la porte. On peut apercevoir sur mon visage ma colère. Cet ivrogne se relève, se jette sur moi mais je l'évite le plus simplement du monde et lui balance mon poing dans son ventre. La puissance du coup l'arrête et le fait vomir. Je renchaine avec un magnifique croche pied et une frappe dans la nuque, il tombe dans son vomi en s'évanouissant. Méprisante, je le regarde de haut.

-Pathétique. Et ça se dit un homme ! Tch.

Silence dans la salle, certains me regarde choqué, surpris, d'autre avec une lueur de peur ou encore avec respect. Du coté des hommes de l'Empereur, ils me regardaient bouchebé, on pouvait voir de la pitié dans certains regards mais ils étaient adressé à la loque allongé à mes pieds. Je portai mon regard vers l'emplacement de l'équipage des Crocs blancs, son Capitaine me regarda avec un intérêt non fin. Puis je détournai le regard pour le déposé sur l'ensemble de la salle.

-Un autre pour jouer avec moi ? C'est maintenant ou jamais.

-...

-Personne ? Très bien. Que quelqu'un vienne chercher cette merde. Il n'a pas intérêt à me recroiser.

Après cet incident, je retournai m'assoir et commanda un autre rhum tout en gardant un oeil sur ma cible.

Aussi impensable que jamais, ma proie vient me voir et me propose un verre que je ne refuse pas. Finalement, ce sera peut-être plus facile que prévue. Il commence à me parler, mais je l'écoute que d'une oreille peu intéressé par ses babillages. Tiens voilà quelque chose d'intéressant, il me propose de faire partie de son équipage et que je ne le regretterais pas. Sa proposition est plutôt alléchante je dois le dire, il m'ouvre grand les portes pour me rapprocher de lui. Plus facile tu meurs. Je fais semblant de réfléchir même si je sais quelle sera ma réponse. Mais le voir attendre avec impatience sa réponse est plus que jouissif. Je me régale de son expression, le voir mariner pour savoir ma décision.