Une vie pour une vie

Une tension électrisante

PDV omniscient

Cela faisait quelques semaines que l'équipage de Barbe Blanche naviguait et que leur capitaine avait adopté une fille. Et malgré la réputation de l'Empereur, personne au monde ne savait que la Deaths Hunter avait rejoint cet équipage.

Pour l'instant, le navire voguait tranquillement sur Grand Line sans être attaqué par quelques navires de la Marines. Bien que cela soit positif, cette situation intriguait et inquiétait les commandants et le capitaine. Et plus les jours passaient, plus cette inquiétude commençait à toucher le reste de l'équipage. Et une tension s'installa doucement. Certains commençaient à devenir paranoïaque et soupçonné tout le monde de trahison et ainsi donné des informations sur l'équipage. Les regard de suspicion, de colère sont visibles et pouvaient mettre mal à l'aise. Les commandants ressentaient cette tension et ne savaient pas quoi faire pour la faire redescendre. Seule Rouge ne semblait pas atteinte par la situation, la regardant de haut. On pouvait souvent la voir dans ses pensées ou le regard perdue dans le vide n'étant pas affecté par l'ambiance extérieur. Mais chose qu'ils ne savaient pas, c'est que Rouge réfléchissait à la situation actuelle, cherchant une solution à ce problème. Et ça seul Barbe Blanche l'avait remarqué mais il ne disait rien attendant de voir ce qu'elle allait faire pour résoudre cette situation.

Et un soir alors que tout le monde dormait, une silhouette se faufila sur le pont supérieur. Et sans faire aucun bruit pour alerter la vigie, elle se transforma en un oiseau mythique et s'envola dans le ciel étoilé. Puis après y avoir passé quelques instants pour se dégourdir les ailes et les muscles, l'oiseau se mit à crier. Son cri déchirant réveilla la totalité des pirates de Barbe Blanche, tous se préparèrent en passant être attaqué et se rassemblèrent sur le pont supérieur. Même les commandants les avaient rejoint pour voir ce qu'il se passait. Tous eurent une monté d'adrénaline en attendant les ordres. Seulement l'Empereur ne donna aucun ordre. Il avait compris ce qu'il se passait et attendait la suite des événements.

L'oiseau que personne n'avait encore remarqué, recommença son cri. Celui-ci attira l'attention des pirates vers l'oiseau. Sa présence intriquait. Beaucoup avait reconnu l'oiseau et connaissait les mythes et légendes entourant l'animal car l'oiseau n'était autre qu'un oiseau tonnerre : bête mystique très redouté par les marins en mer surtout pour ceux croyant à son existence. Dans les légendes, on dit qu'il amène les orages et les tempêtes, et tous savaient qu'en mer un orage, une tempêtes peut faire chavirer un bateau et tuer des hommes. Sauf que là, il n'y a aucun orage ou éclair dans le ciel mais la présence de l'oiseau mit en garde chaque forban du navire.

La bête mystique poussa un autre cri et celui-ci fit lever le vent et commença à déchainer la mer. Un quatrième cri fut pousser, il fut accompagné par des éclairs. Puis d'un seul coup, la tempête apparue, les éclairs déchiraient le ciel, la mer se déchaina et le vent souffla tellement fort que cela déchira les voiles du Moby Dick. A ce moment aucun forban ne pensait à la tension présente quelques heures plutôt, tous se mirent à leur poste pour pouvoir survivre à cette tempête. Seulement la tempête est tellement forte qu'elle empêche de se tenir debout. Certains ont failli passer par-dessus bord et heureusement ils furent rattrapés in extrémiste par leur camarades. Alors il fut décider que tous devait aller se protéger, se refugier dans le réfectoire. Quand cet ordre a été donné, plus personne ne restait à l'extérieur même à la vigie les hommes étaient partis se réfugier avec les autres.

Au réfectoire, tous vérifiaient si leurs amis étaient présents. Personne ne remarqua l'absence de Rouge sauf le capitaine mais celui-ci ne dit rien. Après quelques heures, c'est Marco qui fronça les sourcils ayant l'impression qu'il manquait quelque chose. Ce quelque chose se transforma en quelqu'un en se souvenant que la seule fille de l'équipage, sans les infirmières, ne se trouvait pas parmi eux.