Rien que nous.. | Tome 1 |

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On s'accroche à l'autre comme si notre vie en dépendait, on inspire l'odeur de l'autre si enivrante, cette odeur qui nous fait planer et qui nous transporte dans un nouveau monde, un espace qui nous ait propre, ou il n'y a de place pour aucun autre être à par nous. Dans notre pied piper tout ira bien, peu importe ce qui se passe. On s'épaulera toujours, dans le bien comme dans le mauvais, pas à pas on arrivera à s'envoler, à courir vers notre futur. Ensemble, on y arrivera mon amour; pour toujours et à jamais et pour l'éternité, on montrera à nos enfants, comment c'est beau de s'aimer mutuellement, comme ma mère me l'a appris que je ne devais pas abandonner, pour toi, mon amour jusqu'à mon dernier souffle. Peu importe ce qui se passera, je reviendrai toujours dans tes bras.

Je relève ma tête et le regarde, mes yeux complétement bouffis par les larmes, mais je m'en contre fiche. Tout simplement parce que je suis heureux et que je l'aime et ça, j'en suis sûr, je ne le lâcherai pas. J'en fais la promesse, contre ma propre vie, je ne me séparais pas de lui, sous aucun prétexte.

Tae : Mon ange, ça va mieux ? Tu as besoin que je te laisse ? Tu veux manger, boire, prendre ton bain. Dis moi tout ce que tu veux et je le ferai

Je le regarde puis le souris et le prends dans mes bras. Je l'entends renifler, je me sépare de lui et me redresse pour le regarder droit dans les yeux.

Je me vois pleurer, je ne comprends pas du tout. Pourquoi est-ce qu'il pleure, c'est plutôt moi qui le devrait. Ça me détruit de le voir dans cet état, alors qu'il en est en rien fautif. J'ai l'impression qu'il veut faire de son mieux pour m'épargner ce genre de vie. Mais ça ne m'atteint pas tant que je suis à ses côtés.

Quand je suis avec lui, je peux tout affronter, sans avoir peur. Je me sens en sécurité avec lui, protégé et aimé. Alors non, ils ne me le prendront pas. Puisque je suis avec lui, je ne partirai pas, peu importe ce qui se passera JE resterai avec lui aujourd'hui et pour l'éternité. Je reste et resterai dans ses bras. Et quand tout sera réglé, on le dira à nos enfants. À quel point la vie est belle, aux côtés de ta moitié.

Car c'est cet amour inconditionnel qui fait que nous nous sentons entièrement et pleinement heureux. Alors non, je n'accepterai pas qu'il se mette dans des états pareils pour des gens qui n'en valent même pas la peine, qu'il se mette dans un état déplorable pour eux.

Moi : Mon amour, ne te mets pas dans des états pareils. Pour ces gens, tu sais qu'ils ne pourront pas et ne pourront jamais nous séparer, peu importe ce qu'ils pourront dire ou faire ils ne nous atteindront pas. Je te le promets.

Il me regarde droit dans les yeux et moi beh je pleure, des foutus larmes coulent. Pourquoi est-ce qu'elles s'obstinent tant ? Qu'ai-je fait pour mériter cela.

J'espère juste que l'on en souffrira pas trop. Mais si, on doit souffrir je préfère que ce soit moi qui en reçoit le plus. Je ne supporterai qu'il lui arrive quelque chose, je pourrais tuer, même détruire. Si c'est pour lui et notre amour, je laisserai libre cours à la colère.

Il s'avance vers moi et me porte par les cuisses, j'enroule mes jambes autour de lui, et vient poser ma tête contre son épaule droite, je me sens en sécurité, chérit, aimé et protégé. Je m'accroche un peu plus; tandis qu'il ressert son étreinte, il avance vers la salle de bain se dirige vers une chaise et me fait m'asseoir sur celle-ci. Il se courbe légèrement pour me regarder avec des yeux pétillants et remplis d'amour, et il me sourit de ce sourire si symétrique et rectangulaire, où je décèle son amour pour moi et sa joie de vivre.

Je rougis violemment et lui souris timidement, il vient poser ses douces grandes et mains sur mes joues, pour que je ne puisse pas détourner mon regard du sien. On reste là à se contempler, puis il se détache de moi, pour se redresser légèrement poser ses mains sur mon haut et me l'enlever, je lève mes bras vers le haut pour qu'il puisse me l'enlever plus facilement; ses doigts effleurent mes courbes tout en me l'enlevant. Débarrassé de mon habit, je relève mon regard vers lui et il me sourit pour m'autoriser de l'enlever à son tour.

Je me lève alors, afin d'être à sa hauteur. Il se remet à ma hauteur, je pose mes mains timides et tremblotantes contre son haut, tout en gardant notre contact visuel, je lui enlève, et rougis violemment; quand je vois son regard lubrique; je détourne le regard vers le carrelage de la salle d'eau accroché sur le mur. Je sens ses mains descendre vers mon bas, l'attraper, jouer avec tandis que; je tente vainement de ne pas sortir un gémissement incontrôlé. Je le sens bouillonner, il baisse avec sensualité mon short; je me mords férocement la langue, quand ses doigts passent sur mon boxer. Je tourne la tête sèchement reporte mon attention sur son corps et là je découvre avec effroi, son short encore présent sur lui; je pose avec avidité mes mains sur le tissu, afin de me délecter de la nouvelle vue fantasmagorique que m'offre son corps.

Une fois bien déshabillé, ne vous méprenez pas hein, les petits pervers là; je vous vois venir et non on n'a pas enlever notre dernier tissu. Même si j'avoue que j'aimerais bien lui montrer et à mon tour voir ce qu'il en est de la chose qui se cache en dessous de ce bout de se tissu. Mais non je ne m'estime pas suffisamment à lui montrer quoi que ce soit enfin pas que, mais genre c'est stressant; ouch pourquoi je bande moi...

HEY ATTENDEZ ATTENDEZ ? QUOI ? JE .. BANDE.. DEVANT TAEHYUNG??? NON c'est une blague, mais c'est pas possible; pourquoi me trahies tu mon très cher corps ? Que t'ai-je fait pour mériter cela ??

Je sens un souffle contre mon épiderme, et mes joues partent alors pour la découverte du cramoisi. Il vient me prendre par les fesses pour m'emmener vers la baignoire où il nous pose avec. Ouvre la rivée d'eau, je sursaute, quand je sens l'eau effleurer ma peau. Je me colle un peu plus à lui, pour retrouver beaucoup plus de chaleur.

Après cette longue et douce douche, on est parti s'habiller. Moi avec un petit style gothique et tout le tralala. Tandis que Tae beh c'est Tae. On ne change pas une beauté sur un claquement de doigts.