parfois
je repense à ces jours
où l'obscurité était là,
si dense, et pourtant
si
i ns
a
i
s
i
s
s
a
b
l
e.elle serrait mon cou
de ses doigts glacés
sans y mettre de force,
mais cela suffisait.
et j'étouffais
et j'étouffaiset j'étouffais
cette douleur était toujours là,
d'un noir sans fin,
un noir vide et
plein en même temps.
un vide tellement présent,
tellement stressant et angoissant...et moi j'étais là-bas,
ici, partout, nulle part,
perdue dans toute cette noirceur.
et à chaque inspiration,
je la sentais infiltrer mes poumons,
recouvrant d'un voile noir
toute infime lueur d'espoir.c'est comme ça que j'ai laissé
la douleur m'emporter
vers de lointains rivagesou il n'y aurait plus ce Passé...
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caparnaüm
Poetry(update : ceci est la partie 1, vous avez ici des trucs de 2021 à fin 2022) un bordel contenant des morceaux éparpillés de mon âme, sortant de mon esprit et lancés dans l'océan d'internet. des bouteilles à la mer ? j'en sais rien. s'il vous plaît pr...