𝒞𝒽𝒶𝓅𝒾𝓉𝓇𝑒 𝟸𝟺

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Deux ans et demi après être rentré dans les forces spéciales, je me suis enfin infiltré dans la racine et tout allait bien pendant un an. Je m'entendais comme chien et chat avec un de mes coéquipiers, mais je savais que s'il venait à mourir je serai triste même si c'était le Toutou de Danzo.

On avait fait plusieurs missions ensemble, je sais qu'il est avec moi juste pour me surveiller, mais ça ne m'empêche pas que je le considère comme un ami. Son attitude est froide, mais il sourit tout le temps même s' il n'a pas lieux de sourire. Il est un peu bizarre sur les bords mais il n'a pas eu d'enfant, pas de parents, pas de famille, seul Danzo dit l'a élevé comme une machine de guerre.

Ma dernière soirée est ce soir, je dois retrouver Kinoe près du canyon au Nord de la basse de la racine. J'ai le rouleau de Konoha et entre temps j'ai créé mon propre rouleau interdit. Ce que je n'aurais pas dû faire car Danzo l'a découverte il y a peu.

Dès que la ronde se ferait, de temps en temps devant ma porte. Pour ne pas que je les soupçonne de me surveiller, Danzo a prétextes qu'il y avait beaucoup d'aller et venu dans les couloirs le soir.

Comme bien sûr la fenêtre de ma chambre n'est pas assez grande pour que je m'y faufile, je dois sortir. Je prends tout mon matériel c'est-à-dire : mon masque et les rouleaux que je planque dans ma sacoche.

J'ouvre la porte tout doucement et regarde de part et d'autre du couloir. Personne n'y était alors je longe le mur dans l'ombre. Arrivé à une fenêtre (assez grande pour que je passe), je tente de l'ouvrir une première fois, mais j'entends un bruit qui me fait me remettre dans l'ombre.

Une personne passé pour la ronde, j'attends qu'elle passe dans l'autre couloir. Je réessaye de l'ouvrir et cette fois la fenêtre s'ouvre. Je saute et atterrit sur le toit d'en dessous. Je commence à partir, mais je me fais arrêter par une voix.

– Tu nous quittes déjà ?

Je me retourne et vois Saï avec un autre gars.

– Désolé mon Toutou, mais je dois y aller. Dis-je.

Je cours et saute pour atteindre une branche d'arbre. Je saute de branche en branche et d'arbre en arbre depuis une vingtaine de minutes et depuis ce temps les deux garçons me suivent.

Arrivé près du canyon je leur lance un kunai explosif, cela fait beaucoup de fumée, ce qui fait que j'ai perdu de vue l'homme qui était avec Saï. Ce dernier m'attaque, je riposte en lui mettant mon point dans les côtes, je vois qu'il met sa main dans son dort et je recule en prenant un kunais.

Je suis à quelques mètres de la falaise, il s'élance vers moi, je m'abaisse et il tombe à ma place dans le vide. Je n'ai pas le temps de penser que je fais sortir le kunais qui est caché dans ma manche, il se plante dans le sol et je saute. J'arrive à attaquer Saï de justesse. Je tient la corde qui est reliée de mon bras au Kunais pour ne pas qu'elle me fasse mal.

– Pourquoi tu ne m'as pas laissé tomber? Demande-t-il.

– Tu sais, malgré que tu a un caractère de merde, je te considère comme un ami. Dis-je.

– Nous sommes ennemis, pourquoi tu devrais me lâcher dans le vide. Dit-il.

- On a un même but, protéger Konoha, c'est parce que nous ne le faisons pas de la même façon que nous sommes ennemis. Dis-je.

Je sans que ma main glisse sur la corde alors je lui demande:

– Tu sais où se finit l'eau du canyon ?

– Oui. Dit il.

– C'est sans danger ? Demandai-je.

– Oui, mais qu'es que tu....

Il n'a pas le temps de finir sa réponse que je le lâche dans le vide, je prends un caillou de la parois et lui lance sur son crâne pour l'assommer.

" Excuse moi Saï"

Je vais lâcher à mon tour, mais on me rattrape de peux. On me hisse jusqu'à la terre ferme. De la haut je peux reprendre mon souffle et je peux voire qui m'a sauvé.

– Merci Kinoe. Dis je allongé en étoile.

– J'ai cru que tu allais tomber. Dit il.

– Moi la première. Dis-je.

– Bon il faut que l'on se remette en route. Dit il.

– Ouais. Dis-je en me levant.

On commence à marcher mais je m'arrête en lui disant :

– T'as vu un deuxième homme ?

– Je m'en suis occupé. Dit il.

– Ok. Dis-je.

Nous contournons le canyon, jusqu'à un pont. Arrivé de l'autre côté, nous continuons au nord jusqu'à la frontière d'Oto et de Konoha. Il lance un shuriken dans un arbre et le sol se s'ouvre, je tombe comme une merde pendant que lui atteri trenquilement.

– On est où ? Demandai-je.

– Dans une planque au nord du village caché du feu. Dit il.

– Cool, alors tu m'a pris au premier degré dans je t'es dit que je voulais me faire passer pour morte. Dis-je en regardant les alentours.

– Si tu veux sortir il a une autre sortie mais elle est par risqué, j'ai amené la plupart de tes affaires ici le reste je les ai rangé dans mon bureau, pour libérer de ta chambre. Dit il.

– Ok. Dis-je simplement.

– Enfaite ton anniversaire c'est bientôt ? Demande-t-il.

– Ouais le 9 octobre. Dis-je.

– Et tu auras 14 ans. Dire que tu est rentrée dès les forces spéciales quand tu en avais seulement 12. Dit il.

Je souris et dis :

– Je compte rester ici que le temps de quelques mois.

– Jusqu'à quand environ ? Demande-t-il.

- Le premier mois on simule ma mort et le reste le silence total. Alors 5 mois je pense c'est assez pour que l'Akatsuki arrête de me poursuivre. Dis-je

__ éclipse __

Les 5 mois sont passés. Kinoe venait me rendre visite une fois toutes les deux semaines pour me rapporter des raisonnements. La dernière journée il m'a apporté des vêtements pour ne pas que je me fasse repérer sur le chemin du retour. Je lui tend mon uniforme et lui demande :

– Tu peux me les garder s'il te plaît ?

– Je te les rendrai la prochaine fois que l'on se verra. Dit il.

Je fais un hochement de tête et part de la planque.

2 jours pour arriver au village, je me suis rendu au bureau du Hokage pour lui annoncer mon retour au village définitif. Elle le savait déjà depuis une semaine mais je devais quand même faire mon rapport. J'ouvre la fenêtre et passe par celle-ci.

– Les portes ça existe. Dit elle.

– Je sais, mais je ne voulais pas me faire voir par les autres. Dis-je.

Elle s'approche de moi et me prend dans les bras.

– J'ai eu peur, plus j'aimais je ne te renvoie dans une mission comme ça. Dit elle.

– Ne vous inquiétez pas, je vais bien. Dis-je.

Elle recule et me dit :

– Je vais convoquer toutes les équipes en urgence, je pense qu'ils vont être soulagés de te savoir en vie.

Je sors dehors le temps qu'ils arrivent tous. Ils sont presque tous là mais il manque encore Shikamaru et Naruto.

"Ils ont bien grandi depuis la dernière fois."

ℳ𝑜𝓃 𝒽𝒾𝓈𝓉𝑜𝒾𝓇𝑒 𝒜𝓃𝑜𝓀𝓎 (𝒯𝑜𝓂𝑒 𝟸)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant