L'Avarice

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Seigneur! Voilà que j'attends avec délectation que cette pécheresse me confie de nouvelles histoires de cul, articula la prêtresse tout bas.
– Hum! Vous avez bien été punie, madame. Si nous parlons de l'AVARICE à présent. Je suis certaine qu'à ce sujet aussi vous avez des horreurs à me confier.
– Moi, ma Mère? Comment voulez-vous qu'une fille qui se donne avec autant de générosité soit avare? Par contre, j'en ai connu un qui était près de ses gourdes, un vrai radin d'écrivain. Pour lui faire sortir son porte-monnaie, il fallait se lever de bonne heure. Cependant, il faut reconnaître que question sexe, ce poète était bien monté lorsqu'il s'agissait de bien me baiser.
On s'est parlé deux ou trois fois depuis qu'il avait emménagé dans la chambre d'à-côté, mais ça n'avait rien donné de concret. Deux minutes après, je l'ai encore vu alors que je rentrais chez moi, et il a vraiment regardé mes fesses avec insistance, j'ai pensé qu'il voulait vraiment un truc de platonique et mystique avec moi. Mais je ne savais pas, peut-être que ça se faisait pas entre voisins dans le quartier du Turgeau, peu importe, cela ne m'aurait pas dérangé, vu que j'ai toujours été une femme libertine. Soudain, ça a sonné à la porte, je suis allée voir qui c'était.
– Bonjour Madame!
– Bonjour Monsieur!
– Je m'appelle Georges Sylvain.
– Et moi, Maëva Désir.
– Je me demande si vous n'auriez pas du sucre roux pour mettre dans mon thé, demanda-t-il d'une élégance poétique.
En plus d'être attirant, il savait bouillir des feuilles médicinales!
– Entrez, lui proposai-je.
Puis je suis allée lui en chercher pendant qu'il m'attendait. Pourtant, diplomate qu'il est, il m'a suivie jusque dans la cuisine. Je sentais déjà son regard oppressant de pervers se poser sur mes fesses. Je pensais qu'il pouvait voir une partie de mes poils soyeux dans le bas de mon dos, et cela devait le rendre fou. Je suis arrivée à la cuisine, je suis montée sur un tabouret pour atteindre le placard du haut, et là j'ai senti ses mains se poser sur mes fesses!
– Qu'est-ce que vous faites? m'enquis-je.
Puis je me suis retournée l'air étonné.
Ça alors, le mec n'avait pas froid aux yeux et il ne se doutait de rien!
– Venez! Je veux vous prendre par tous les orifices, m'imposa-t-il lascivement.
– Avez-vous ce qu'il faut pour me faire jouir?
– Vous êtes une sale pute et vous allez goûter à mon gros machin d'Haïtien, déclara-t-il.
Tandis qu'il m'a pris les hanches avec ses grosses mains de savant écrivain. J'étais à sa merci. J'étais choquée d'entendre des trucs comme ça. Jamais un homme ne m'a autant insultée que ce nègre indélicat!
Il m'a posée sur le carrelage de la cuisine.
– Pipez-moi, m'ordonna-t-il.
Alors qu'il déballait un rondin vraiment énorme, et je tentais de le sucer convenablement, mais cela faisait mal à la bouche. J'avais du mal à respirer, putain quel gourdin! En plus de me parler mal, il me donnait de grosses gifles avec son sexe. Je peux vous dire que j'ai passé un sale moment, mais c'était tout de même bon.
– Léchez un peu les boules, m'ordonna-t-il.
Ensuite, je me mettais à quatre pattes. Je m'exécutais, et il arrachait mon pantalon et ma culotte. Il se rendait bien compte que je commençais à aimer ce traitement rugueux, car j'avais la raie humide comme une rivière. Je fermais les yeux et je m'attendais au pire. C'était à ce moment-là qu'il m'a enculée d'un coup sans prévenir. Putain, j'encaissais son mastodonte comme je pouvais, mais j'avais le cul qui hurlait de douleur. Il était si profond en moi que j'avais la nausée.
L'avocat me claquait le cul jusqu'au fondement et me sodomisait comme un forcené. On dirait qu'il me punissait parce que je manquais de valeurs spirituelles et morales.
– Calmez-vous un peu, lui demandai-je.
– Votre gueule! Vous n'êtes qu'une tanche, c'est tout ce que vous méritez.
Quel enfoiré! Je ne pouvais rien faire, il était vissé en moi, en plein dans mon trou, et mon anus de femme libertine souffrait d'être autant écarté. Pendant que j'essayais de ne pas trop montrer ma douleur, alors que je me concentrais pour ne pas trébucher, car il bourrinait fort, je commençais à sentir un certain plaisir qui partait de mon cul pour se disperser dans tout mon corps.
C'était ça le plaisir anal? Je crois que je commençais à le sentir. Ce n'était pas la même chose qu'un orgasme vaginal, mais c'était tout de même très appréciable.
Chaque fois qu'il me fourrait un nouveau coup de bite dans le derrière, je sentais ses grosses boules me percuter la fente. Je sentais bien qu'elles étaient pleines, et en position de combat. Elles semblaient lourdes et étaient épilées de près. Malgré le plaisir que je ressentais au niveau du cul, et les ondes orgasmiques qui commençaient à innonder mon ventre, cette baise devenait trop brutale pour moi. Je suis libertine, j'ai fréquenté des clubs pas très nets et des hommes un peu louches, mais alors lui, il m'infligeait un traitement très spécial. Heureusement pour moi, il s'est mis d'un coup à se retirer de mes fesses et à se lâcher sur mon troufion. Il gueulait comme un putois en éjaculant sa semence.
Tout son foutre coulait sur mon cul, j'en avais partout, et bien entendu il ne m'avait pas demandé mon avis. Bref, Je crois que c'était bien la dernière fois que je dépannais un voisin. Non, pour être sérieuse, j'ai bien aimé ce moment un peu violent, et je pensais que je reverrai ce mec assez vite. Côté baise, c'était une vraie bête!
Un jour, je lui ai fait signer un chèque après lui avoir taillé une pipe dans une cabine d'essayage où je mesurais une tenue de putain. Je m'apprêtais à sortir dans cette tenue avec sa queue que j'enrobais de ma main pour l'exiger un peu lorsqu'il avait hésité.
– Salope, cria-t-il.
– Putain, salope, j'ai droit à tous les noms d'oiseaux aujourd'hui chéri!
– C'est bon, rhabillez-vous et payez toutes ces saloperies! Sortons d'ici, nous avons mieux à faire, m'intima-t-il.
Une fois dehors, je l'ai laissé planté au beau milieu du trottoir. C'est vrai qu'il était une bonne affaire au lit mais je ne supportais plus sa pingrerie.
– Vous êtes toujours là madame la Curée?

Pardonnez-moi ma Mère, j'ai péchéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant