La Luxure

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– Je n'ose imaginer ce que vous allez me raconter sur la LUXURE après tout ce que je viens d'entendre.
– Oh! Vous voulez parler du péché de la chair. Je crois avoir déjà été loquace à ce propos, prononçai-je.
Alors que je caressais mes tétons dans le but de rendre la prêtresse soumise à une continuelle excitation à travers mes histoires libertines.
– Vous avez raison. J'en ai assez entendu.
Pas du tout! J'ai un souvenir de luxure qui devrait faire l'affaire. Pa si vite ma Mère! m'exclamai-je au fond de mes pensées désireuses de savourer cet instant avec elle pendant que je continuais à appliquer des caresses solitaires sur ma poitrine.
– J'ai toujours rêvé me retrouver dans un gang bang.
– Comment? s'enquit-elle d'une voix suave.
– Oh! Je comprends que vous ne connaissez pas, ma Mère. C'est que je souhaiterais faire l'amour avec beaucoup d'hommes en même temps.
C'est dans un journal Le Nouvelliste, que j'ai lu l'annonce d'un événement où l'on proposait à des amateurs de vivre un gang bang. Il s'agissait de tourner un film avec une équipe de hardeurs.
Le jour suivant, je me suis rendue à l'adresse indiquée dans l'annonce, où j'ai été reçue par un type sympa qui m'a tout de suite mise à l'aise.
– Tu aimes faire l'amour?
– Ça oui! Il ne faut pas me pousser beaucoup pour écarter mes cuisses.
– Alors toi, être prise par plusieurs partenaires ne te dérange pas?
– Au contraire, c'est un de mes vieux fantasmes!
– Eh bien, tu acceptes la sodomie?
– J'adore!
– Tu veux bien te mettre à poil? m'ordonna-t-il.
Puis il s'assit derrière son bureau pour mater mon corps.
– Bien sûr.
– Les nichons bien plantés, un beau petit cul, la toison fournie, tu vas en faire bander plus d'un! Viens, tes partenaires vont être heureux!
– Je suis Seymour Pradel, journaliste.
– Je suis Maëva, amatrice.
Il se leva souriant pour s'introduire avec moi dans une pièce d'à-côté, où huit types superbement montés m'y attendaient, filmés par deux caméras qui tournaient déjà à plein régime.
Bon sang! Mais j'étais là pour bouffer de la queue. D'ailleurs j'en avais déjà la bave aux lèvres.
Je commençais par goûter à la queue la plus longue, mais j'aime aussi les grosses. Je les ai prises les unes après les autres. Je mouillais déjà comme une dingue en pensant déjà à ce qui m'attendait.
– Viens, empale-toi sur mon dard! m'ordonna l'un d'entre eux.
– Oh, avec le plus grand plaisir!
Une fois son sexe bien planté, un autre est venu forcer mon petit cul. J'étais tellement excitée que je n'ai même pas senti la douleur.
– Maintenant, tu vas t'occuper de la mienne avec ta petite bouche! Je n'en peux plus! me proposa un autre d'entre eux.
Bientôt mes trois orifices étaient remplies et je branlais deux beaux engins avec mes mains. J'étais complètement dingue d'autant plus que j'observais les trois autres qui se branlaient sans hésitation en attendant leur tour.
– Ah! Je viens! Je vais t'arroser les nichons.
– Oh! Oui! Donne! Donne!
– Rhaa! Prends tout!
– Oui! Oui!
Alors très vite mon corps a été recouvert par le foutre de mes partenaires qui sans cesse me faisaient jouir au plus profond de mon intimité.
Lorsque le dernier s'est libéré sur mon ventre, j'étais complètement épuisée par ce qu'ils venaient de me faire subir. C'était super mais j'étais complètement vidée. Pourtant la tradition voulait que la vedette, en l'occurrence moi, que je fasse une petite gâterie aux cameramen. Heureusement, ils se sont contentés simplement de ma bouche, car mon petit cul était douloureux.
J'ai remarqué que Pradel ne s'en tenait qu'à effectuer son travail de journaliste reporter.
– Question luxure, j'en connais un sacré rayon! Qu'en pensez-vous ma Mère? Ma mère, vous ne vous sentez pas bien?
Je suis passée de l'autre côté où se trouvait la prêtresse par un portillon positionné derrière le grillage pour m'assurer qu'elle se sentait bien.
– Voilà que vous gémissez comme un bébé, remarquai-je.
– Mes péchés, à quelques variantes près, ressemblent aux vôtres. Je me sens, alors solidaire avec vous, incapable de porter le moindre jugement négatif à votre égard, et je vis cela comme une invitation à aller, moi-même, me confesser un jour, car je n'y suis pas allée depuis longtemps, ou comme un rappel de la miséricorde de Dieu, face à mes propres péchés.
– Plus besoin de vous confesser devant ces prêtres infidèles. Je serai autant que vous la bonne personne pour être vraiment à l'écoute de ce qui me sera partagé, lui dis-je.
Je m'approchai d'elle pour toucher ses cheveux, sa tête sur mon épaule.
– J'implorais pourtant souvent l'aide de l'Esprit-Saint pour m'aider à bien écouter, à avoir une parole bienveillante et encourageante.
– Sauf que là maintenant, c'est vous que vous devez écouter.
– Je crois que seul l'Esprit-Saint peut agir à travers ces paroles d'encouragement et de pardon que vous venez de prononcer au nom de l'Église, crut-elle.
Elle se dressa pour me fixer dans les yeux avant de m'embrasser d'un baisé lingual profond. Elle me caressait avec une forte envie qu'elle commençait par me sucer depuis mes lèvres, mon cou, mes seins jusqu'à ma chatte. Elle ôtait son vêtement monacal authentique pour s'offrir à moi entièrement nue.
– Vous voilà bien ennuyée avec un beau corps pareil, ma Mère. Maintenant, laissez-moi faire. Je sais comment redonner vie à vos envies les plus enfouies.
– Je vous en prie, faites vite. On peut nous surprendre. Seigneur! Comme vous me faites du bien!
Caresses, cunnilingus, baisers. On ne dérogeait pas aux préliminaires. Je me suis attardée sur le cou et les fesses de la Prêtresse. Lors de cette partie de bonheur, ce qui m'a plu, c'est d'avoir tissé un vrai lien avec elle. Je parcourais tout son corps pour trouver ce qui la faisait craquer. Bien sûr, je caressais ses seins, ses cuisses, mais j'aimais aussi m'arrêter un peu sur des zones plus anodines, qui pouvaient pourtant être tout aussi excitantes, comme sa nuque ou ses hanches. Finalement, la cunnilingus était l'équivalent de la pénétration. Elle était assise, et je me glissais entre ses jambes. J'utilisais évidemment ma langue mais je la pénétrais aussi avec un ou deux doigts de temps en temps, pour plus de plaisir.
L'amour entre la prêtresse et moi, ça ne se passait pas vraiment comme dans mes expériences de couple hétéro: il n'y avait pas d'enchaînement préliminaires-pénétration. Les caresses, la masturbation, la pénétration, le cunnilingus, tout est mélangé, sans ordre précis. Mais c'était vraiment bon!
– Ne regarde pas Seigneur ! Je suis la victime d'une pauvre pécheresse, et c'est si bon que je ne parviens pas à lui résister.
– Ah, vous vous frottez bien à moi, je vais jouir ma Mère!
– Dieu tout puissant! Moi aussi!
Alors que je m'habillais pour rentrer chez moi, j'ai donc fait une remarque:
– Dommage que vous soyez une prêtresse, vous feriez une excellente amante.
– Attendez, je ne vous ai pas donné l'absolution, ma fille.
Je m'approchais de son oreille pour lui répondre avant de partir à la fin :
– Oh, vous m'avez donné beaucoup plus ma Mère, le plaisir du péché.
– Pauvre petite, Satan habite son corps, admit la prêtresse en courbant la tête.

Pardonnez-moi ma Mère, j'ai péchéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant