Tu seras mienne

chapitre VIII

Cela fait plusieurs semaines que je n'ai pas vu Jaden, il fait tout pour m éviter, je l entend partir très tôt et rentrer très tard.
Hier j ai trouvé un vieil ipod, avec ses écouteurs, la liste est super.
Il fait plein soleil aujourd'hui, une petite brise légère, je met les écouteurs et commence à chanter et danser au rythme entraînant de la musique.
Mes pas m entraîne sur le balcon, je suis en short et t-shirt court et je me dandine à souhait, cela fait longtemps que je n'ai pas été en boîte, ça me manque vraiment, du coup je m en donne à cœur joie.

0o0

Une main attrapa mes cheveux et tirejusque dans la chambre.
- Tu comptes exciter tout les mecs de ma meute encore longtemps ?
Il me gifle si fort que j en ai la tête qui tourne et du sang gicle de mon nez.
Des larmes plein les yeux je hurle.
- Mais ça va pas pauvre type, j esuie le sang, je vois qu il regrette mais il y a trop de Colère en lui.
- Ne dit pas que tu n as pas vu les jeunes loups s aglutiner sous le balcon ? Si tu veux jouer les pute, ce sera sans ma meute.
Ces mots me fond plus de mal que la gifle. Ma fierté prend le dessus je dois dire quelques chose et vite.
- Et pourquoi devrais je empêcher qu ils ne me regarde, je suis jeune , jolie, et célibataire de surcroît en manque de tendresse, y a plein de beaux mecs ici pourquoi m en priver ?
Je crois qu il va exploser, tout ses musclé se tordent, il tient toujours mes cheveux dans sa main, tiré un coup, pour incliner ma tête, et ecrase sa bouche sur la mienne. Il m entraîne ainsi vers le balcon , me soulève par les fesses, j entoure mes jambes autour de sa taille, son baiser se fait plus tendre plus langoureux,
Pourquoi je me laisse faire ?
Il lâche ma bouche, descend doucement ses lèvres dans mon cou....
OMG, une douleur horrible à la base de mon cou et de mon épaule, il vient d enfoncer ses crocs et m à marqué. Je reste pétrifié, il lâche la pression, me ramène dans la chambre en me lançant
- Comme ça, tu peux toujours essayer, plus personne ne voudra de toi.
Et sort aussi vite qu il était rentré.
Je cours dans la salle de bain pour constater les dégâts, c est bleu en sang, ça fait un mal de chien.
Il va me le payer je m en fout que je ne puisse pas sortir.
J arrive sur la place du village
- Hé, mais tu croyais vraiment pouvoir me faire ça sans mon accord ?
Il avance vers moi, et le lui met un coup de pieds de toutes mes force entre les jambes, reste digne , toute sa meute est la, sans un mot, il me jette sur ses épaules comme un vulgaire sac de pomme de terre, je donne des coups de poing dans son dos ,il marmone entre ses dents et me fout une grosse claque sur les fesses, mais merde, j en ai marre de ce mec.
Sans le lâcher il dit
- J'aime quand tu joue les sauvageonne, j ai toujours aimé les rebelle.
- Lâche moi et tu verra la sauvageonne.
Il éclate de rire.- La rebelle va se calmer dans sa chambre et dire adieu à sa liberté.
- Non, non ne fais pas ça.
Il me dépose, me regarde la tête sur le côté un sourcil levé,
- Hum, la rebelle est bien suppliante.
- Tu n as pas le droit de ..
- J'ai tout les droits, tu entend tout les droits.
Je n esquive pas son regard et lui tient tête.
- Non tu t es permis de me marquer, tu as peut être tout les droits sur ta meute de chien, mais tu te trompe, tu n obtiendras jamais rien de moi, sauf par la force comme un animal que tu es.

J ai fait mouche, ses poing se ferment, il est ahuris, avance lentement, trop lentement, il caresse ma joue, je m écarte.
- Oui dit il, un animal, et désormais je te prendrais quand bon me semble tel l animal que je suis.
Ses mots sont calme,
Intérieurement je regrette mes mots , cette fois c est moi qui ne sais plus rien dire, il sort, et j entend le clic de la clé dans la serrure, ça y est j ai tout gagné.