Tu seras mienne

chapitre XI

Je suis appelé par le médecin de toute urgence,  Epona c est réveillé,  toujours faible mais réveillé.
C est l artère fémorale qui a été touché,  elle doit donc rester allongée le plus longtemps possible , pour le reste , les bleu se sont estompé et ses joues ont repris un peu de couleur.
- Voilà dit le médecin,  beaucoup de repos, mon travail est fini .
- Ça ira répondais je.
Je prendrais soin d elle.
Je pris ma bien aimé dans les bras , elle souris difficilement,  avance sa bouche à mon oreille et murmure
- J'ai fini de lire le livre.
J ai envie de rire, et lui donne un baiser sur le front.
- Je suis foutu lui dis je . En la resserrant dans mes bras.
- Renforçons  le lien dit elle, je suis prête.
Je reste un moment abasourdi.
- Je veux que tu me fasse l amour.

J en avait eu tellement envie depuis des mois, tellement rêvé,  mais la, j avais trop peur, peur de lui faire du mal

- On peut faire ça en douceur dit elle, non ?

Je la fit basculer sur moi, ainsi c est elle qui mènerait la cadence.
Ce fut la plus belle nuit de ma vie,  quand nos corps se libererent ensemble en appoteose.
Je n avais jamais ressenti ça de ma vie un tel plaisir !
Elle s endormi dans mes bras,après une  longue discussion.

Au petit matin,  je parti lui préparer le petit déjeuner,  elle devait reprendre des forces,  après cette nuit intense.

Lorsque j entra dans la chambre Epona était étendue sur le sol, pale, presque transparente.  Je hurlait, la pris dans mes bras mais son âme  avait déjà quitté sont corps.

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Pendant 3 années j ai rechercher Miranda,  n ayant plus que la vengeance comme sentiment,  plus rien ne comptait , seule sa mort assouvirais ma peine.
Je n eu aucune pitié pour celle qui avait tué lâchement ma bien aimé.

Je repense souvent à notre discussion ma seule et unique véritable nuit avec mon âme sœur.
Nous nous sommes dit quelques petits secret, elle me parla de ses posters qui tapissais ses murs , ce qui je dois dire  me flatta beaucoup.
Je lui racontais le secret d Estolie,  l anagramme d étoiles, du jour où nos regards ce sont croisés de l amour qu elle avait suscité en moi.
De la déesse de la lune.
Je sais qu un jour là déesse nous réunira, en attendant une étoile de plus brille dans la nuit,  le souffle du vent m apporte le son de sa voix , je sais qu elle sera pour toujours et à jamais
MIENNE