NOIR OU BLANC

ℑ𝔫𝔱𝔯𝔲

𝑪𝑨𝑴𝑰𝑳𝑨

~ Deux semaine après ~

Aujourd'hui est un jour comme un autre, remplis de vide dans mon âme recherchant la chaleur, chaleur qui m'est disparu.

Les jours devenait des semaines, ils ne venaient plus depuis deux semaines, la domestique nommée Nathalie prenait du mieux que elle pouvait, soin de moi, je ne cesse d'essayer d'échapper mais je ne peux le faire car Devon venait souvent me rendre visite.

Et chaque fois que il apparaît mon malaise revient, il me déteste car chaque fois que il m'adresse la parole il le fait avec dédain, mais moi non plus je ne l'apprécie gère.

Je n'ose même pas demander quand Seth Santonio reviendra, rien que de penser à son prénom cela me fait frémir, je ne veux pas y penser plus longtemps. Et ni me prendre la tête sachant que il n'est pas là à mon plus grand bonheur, c'est ironiquement dit, car oui, même si je suis emprisonné le faite que il ne sois pas dans les parages me laisse un peu mon de peur.

Chaque soir me reviens ce cauchemar, du sang, partout, lui étant au fond d'une pièce des plus sombres visant mon visage de son arme que je ne peux reconnaître. Chaque fois il ne se retiens en rien de tirer, sans aucune once d'hésitation qui me fait un peu plus tomber dans la frayeur, j'en est froid dans le dos et je me pince instinctivement les lèvres, désirant passer à autre chose.

La faim ne me viens plus, je m'efforce chaque fois que Nathalie me donne le repas, tout ça n'a rien à voir avec le goût, car tout est exquis ici. Les cuisiniers privé font leurs travail à merveille mais en revanche m'ont estomac rejette chaque chose que j'avale, ce qui me déroute. En réalité j'ai toujours l'estomac noué et j'ai si peur que il revienne, je désire au plus profond de moi m'enfuir loin d'ici. J'ai déjà tout essayé mais en vain( je lâche un long soupir) il me fallait admettre que je n'arriverais pas à m'enfuir maintenant.

L'ancienne domestique qui voulait s'occuper de moi, là où j'ai fais ma petite escapade. Avait complètement disparu, et grâce à Nathalie j'ai su que elle ne reviendrais jamais, cela avait fait que d'anéantir mon cœur, il se plonge dans le regret avec chaque instant qu'il passe. En réalité il n'y avais pas un seul jour ou je ne me blâmais pas, tout était de ma faute et sa me rongeais furieusement.

- Si.gra?

La voix douce de Nathalie me fit sortir de ma propre torture que j'inflige à mon cerveau.

- Oui?

Sans plus attendre elle m'incite donc à la suivre comme à peu près chaque matin vers environs 10 heure, comment le savait-je ? En demandant bien évidemment. Je me laisse faire, après tout se n'est pas comme ci j'avais le choix, et puis je ne suis pas pour la disparition d'une deuxième domestique, je m'en veux déjà assez...

J'ai très peu de relation avec l'être humain, enfin, si et c'est seulement Nathalie alors je m'accroche à ce peu de conversation que ne pouvions avoir, même ci se n'était en rien d'une conversation divertissante, sa me résonnait a ne pas tomber dans la folie de cette situation.

Nous nous retrouvâmes dans la grande salle de bain toujours aussi noir, trop noir pour moi. Ça en devient écœurant parce que le noir c'est son monde, celui dans lequel je suis. Elle me prépare, dans un silence qui se veux être plutôt calme et non dérangeant, ou plutôt presque angoissant. Je suis assise sur une chaise qui est posté devant le mur, nous sommes entouré de cette gigantesque pièce respirant la richesse. Et je me demande vraiment pourquoi il s'y trouve une douche italienne, c'est vraiment étrange. Car nous ne sommes en rien en Italie, peut-être qu'il aimait ce style de décor ? Je ne m'y attarde pas plus longtemps car elle a finit.