Ce que j'aimerais dire

Chapitre 6

Mettre de côté, c'est ce qui c'est passé après l'altercation avec ma mère. Je fessais comme si jamais elle avait eu, à cause de la peur. La peur de perdre encore une personne importante à mes yeux. Cette peur était constante même encore elle est avec moi mais je ne l'es jamais dis à personne, peur aussi du jugement. Mais bizarrement j'avais avancer, j'arrivais à resourir et rigoler, ma joie de vivre revenait petit à petit. Le fossé avec ma famille c'était rétréci en gros tous redevenait normal mais une fois seul, tous disparaît. Une fois seul, je redevient comme avance. En faite pour être heureux, il me faut ma famille et mes amis proches sinon jamais je m'en serais sorti. J'avais beau avoir évolué, parler de mon oncle resté quelque chose de dur et dont j'étais incapable de parler. Je reste muet, avec un visage sans expression et si on me pousse de trop, la colère me prend. Je préviens toujours les personnes qui veulent m'aider mais ça fini toujours pareil, soit je me barre sans un mot ou je m'énerve.

Mes cauchemars se font de moins en moins mais ils restent tous de même là mais j'arrive à gérer. La seule personne au courant de ses cauchemars est ma sœur, elle est là seule à le savoir mais elle ne sais rien d'autre, même avec elle j'y arrive pas. C'est techniquement impossible pour le moment mais j'espère pouvoir en parler un jour. J'aimerais le faire avec mes parents mais c'est 100 fois plus dur qu'avec les autres. Peut-être parce que c'était le frère de mon père, je sais pas.

J'avais de meilleurs notes et mes moyennes remonté. Mon arrivé en seconde fut assez solitaire. Avant le drame, j'étais assez amicale, je me fessais rapidement des amis. Mais après, j'arrivais plus à être comme ça, les gens me soûler et j'avais pas envie d'aller leur parler car j'en avais pas envie, j'étais bien seul. Mais je me suis quand même fait 4 amis avec qui je passais beaucoup de temps mais pendant les pauses, je les passes toujours avec mon meilleure ami, un peu comme un frère. Il est au courant du drame mais il ne s'est rien de ce que je vie car je lui es rien dis et je le ferais pas, je vois pas l'intérêt.

Mais pendant ma première, je sais pas ce qu'il s'est passé alors que tous ce passer bien. D'un coup tous est revenu à cause d'un seul cauchemar qui me fera on va dire replonger. Mes notes en chutes libre, c'était juste ça car en cours, ce cauchemar revenait encore et encore, j'arrêtais pas d'y penser et l'envie d'apprendre que j'avais retrouvé c'était volatilisé. Mais je me suis repris en mains au deuxième semestre.

Oui je sais c'est très tard mais au moins j'ai remonté

Presque 3 ans était passé et je pouvais toujours pas aller sur sa tombe et j'essayais de plus y penser. Mais ma mère était là pour me le rappeler ce qui m'énerva mais je ne disais rien pour peur de tous lâcher. Mais aussi peur qu'elle me déteste.

C'est ce qui arrive souvent, je sais qui si je répond, m'énerve, pleure ou quoi que ce soit, je risque de craquer et de tous dire. C'est ce que je ne veux pas à tous pris, ce serait une catastrophe si jamais un jour sa arrive. Donc je fais gaffe que ça n'arrive pas.

Arrivé en Terminale, mon "secret" toujours pas dévoilé. J'attaque une nouvelle année et 4 ans ce sont passés. Tous ce passé bien même tellement bien quand un jour, une nouvelle dispute avec ma mère à éclaté, elle voulait encore que j'en parle. J'étais de mauvaise humeur quand ma famille et la famille de la meilleure amie de ma mère partaient passé une journée à la plage alors que moi je restais chez moi pour passer ma journée avec mon meilleure amie. Mais après ils sont tous revenus chez nous pour passer notre soirée ensemble et là j'ai réappris à connaître le fils aîné de l'ami de ma mère, il s'appelle Atsumu Miya et il est gentil, amical, drôle et très très beau. On n'a passé notre soirée à parler, jusqu'au moment où ils sont dû partir et j'avais compris quelque chose, il me plaisait, pas comme mes copains précédents, lui il me plaisait vraiment et j'avais envie d'apprendre à plus le connaître. Mais bon je savais que j'avais aucune chance en voyant mon physique et l'état mental que j'avais.