1930
Pour être honnête avec vous, Arthur Celerier n'a pas la moindre idée de ce qu'il allait faire pendant les 1 mois où il serait obligé de rester coincée à Poudlard. Ses amis lui avait assuré que Décembre passerait à grande allure et qu'ils seraient de nouveau à ses côtés pour le soutenir. Après tout, le noiraud traversait une période quelque peu difficile. Bien sûr, il fut soulager que certains écoliers rester à l'école durant les vacances hivernal, bien plus rassuré de savoir que des camarades de Serpentard resteraient avec lui. Bon, il avait toujours ces regards dur, peiné et terrifié qui l'observer à longueur de journée, mais c'était déjà mieux que rien.
Le jeune adolescent arpentait les couloirs vides de l'établissement, se dirigeant plus précisément vers les cahots où se trouve la salle commune des serpents. Le noirâtre descendit les grands escaliers sans fin après avoir donner le mot de passe au reptilien. Il se retrouva finalement dans une allée moins accueillante que les autres. En plus de ça, le vent siffler à l'intérieur. En fin de compte, la maison des vert et d'argent était la moins dorloté de toutes les opposantes maisonnettes.
L'ado en question était maintenant face à face avec la grande porte en bois. Il inspira un bon coup avant d'expirer, sa main tremblotante alors qu'il tournait la poignée pour la pousser, un vieux grincement pouvant se faire entendre tandis qu'il grimaçait au bruit assourdissant. L'immense pièce était déserte, pas étonnant car ses égal devaient sûrement être dans la Grande Salle, dînant tous ensemble. La seule occupante de cette pièce était cette fille; Marie Morel-Turner. C'était une jolie collégienne aux long cheveux noir, virant vers le brun foncé. Ses yeux était de couleur caramel et elle était pas plus grande que son compagnon le Poufsouffle. Dans les 1 mètre 60 un peu près. Elle était gentil et souriante, rusé comme une vraie Serpentard. Comme cette fois où elle s'était servit d'Ethan pour qu'il aille volé des ingrédients nécessiteux dans la salle des potions pour elle.
Le basané s'approcha doucement de l'étudiante qui bouquiner tranquillement, mais l'écolière ferma son livre et le posa sur la table à côté d'elle. Celle aux cheveux noir corbeau se tourna pour faire face au visage surpris du fuligineux. Et lentement, il se laissa tomber sur le canapé aux côtés de la jeune.
-Tu n'es pas rentré pour les vacances de Noël ? Demanda la voix fatiguer du fouteur de trouble, entrouvrant un œil pour regarder Marie.
-Non, mes parents ont eu quelques petits soucis pour nos vacances à Paris. Ils ont dû annuler le voyage à la dernière minute, et ils m'ont dit de rester ici. Ils étaient désolé mais je ne leur en veut pas. Répondit-elle calmement, soupirant à la fois alors qu'elle s'enfonçait plus dans le sofa pour se mettre à l'aise.
-Et toi, tu n'es pas parti ? Questionna t-elle en tournant sa tête pour observer le malicieux, qui cligna des yeux plusieurs fois avant d'y répondre.
-Disons qu'il y a quelques petits problèmes qui font que je ne peux pas quitter Poudlard pour l'instant. Dit-il, gêné en se grattant la nuque et un rougissement d'embarras prenant place sur son visage.
-Coup dur, n'est-ce pas ? Déclara la sorcière en faisant une grimace, parvenant à faire rire son interlocuteur.
-Oui, effectivement. Il riait en fin de phrase, essuyant une larme qui menacer de couler de ses yeux émeraude.
-Mais le directeur à prévenu mes parents que je ne pourrais pas venir, et ils ont été informer de ma situation. Celerier admira le sol, trouvant la vue plus intéressante que son homologue.
-Hé...Fit la fille en posant sa main sur celle gelé du fantomatique. Le concerné releva sa tête, choquer par le contact soudain.
-Peu importe que tu sois mort, tu restes mon ami et je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour que tu ailles mieux, d'accord ? Clarifia t-elle en le fixant droit dans ses yeux verdâtre. Le jeune homme déglutit, ne sachant quoi dire, mais pourtant il parvint à trouver ses mots.
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The Slytherin Brave (HP x Mâle Oc)
FantasyTout ces moments passer ensemble deviennent de simple souvenirs, et le passé s'éloigne de plus en plus. L'amitié n'est pas ce que l'on pense être et l'amour n'a jamais été aussi facile. Mais la vie à toujours été une épreuve que l'on devait défier...