La neige venait de tomber sur la région de l'Écosse, l'herbe verte venait d'être recouverte d'une épaisse couverture blanche, et chaque élèves avait le droit à une promenade en calèche. Des chevaux blanc, tirant la carriole et laissant derrière eux leur traces de sabots dans le recouvrement neigeux. Le ciel artificiel de la Grande Salle, laisser penser que Noël approcher à grand pas, des milliers de petits flocons tombant avec un plafond bleu et noir qui avait était peint exprès pour l'occasion. Au centre, où se trouver le bureau des professeurs, un immense sapin pouvait visible, décorer de plusieurs décorations aussi farfelus les unes que les autres. De chaque côtés de la grande pièce, de plus petits arbustes, tout aussi beaux, longer le long de la salle et une petite musique était chanter en arrière-plan.
Cependant, Arthur n'était guère content de l'évènement. De la table où il était assis, Celerier regarder par-dessus son épaule pour voir le trio d'or rire de bon cœur, tandis qu'Hermione sortait de sa poche les fioles de Polynectar qui avaient été réaliser avec grand succès. La seule chose que le noiraud ne comprenait pas, était pourquoi est-ce que Harry agissait étrangement autour de lui. Ça faisait quelques jours que Potter l'éviter, et quand l'ébène voulait lui dire bonjour, le survivant trouver toujours un moyen pour s'enfuir, ou prétextant quelque chose d'idiot pour le semer. Mais son manège n'allait pas durer longtemps au jeune sorcier, le fuligineux saura de toute façon le pourquoi du comment est-ce que le garçon agit aussi bizarrement avec lui.
Finalement, la nuit était arriver et d'un moment à un autre, le fantôme saurait que les faux Crabbe, Goyle et Millicent feraient leur apparition, pendant que les trois vrai seraient entrain de dormir dans l'un des placards très probablement. La génie avait pris la peine de lui expliquer ce qui se passerait ensuite, alors que l'âme quitter la Tour de l'Horloge en compagnie de Drago qui visiblement, avait un air contrarier dessiner sur son visage. Alors que le duo tourner à une intersection, ils arrivèrent dans un autre couloir éclairé, dos aux deux Serpentard et en face, Percy qui était le préfet des Gryffondor.
-Crabbe, Goyle, où étiez-vous ? Vous avez passer tout ce temps à vous goinfrez ? Causa Malefoy en s'avançant vers les deux, pendant que Vincent hocher de la tête en signe d'accord. Cependant, le blond leva le regard vers Gregory et fronça les sourcils.
-Pourquoi tu portes des lunettes ? Interrogea t-il en arquant un de ses sourcils, pendant que son interlocuteur regarder ailleurs plutôt que son homologue.
-Oh, euh...Pour lire. Répondit Goyle en retirant de l'arrêt de son nez ses lunettes noir et ronde, tandis que l'hâlée transpirer de la tête aux pieds. Déjà au début de la mission, et ils faisaient n'importe quoi.
-Pour lire ? Tu sais lire, toi ? Le blondin haussa les sourcils et les épaules, avant de se tourner pour rencontrer Percy qui n'avait pas prononcer un mot depuis lors. Étonnement, ce n'est pas le blondit qui avait pris la parole, mais le noirâtre.
-J'peux savoir ce que tu fiches ici, Weasley ? Questionna t-il au Gyffondor. Très honnêtement, Percy était le seul Weasley de la famille composer de roux avec qui, Arthur ne s'était pas rabibocher. C'était en fait le seul membre qu'il n'arrivait pas à supporter. Il était trop "monsieur je sais tout", trop "parfait", trop "Préfet en Chef", trop "insupportable". C'était une des raisons pour les quels lui, Orion, Fred et Georges avait du mal à le toléré.
-Surveille tes manières, Celerier. Cracha le rouquin comme du venin et le noiraud pinça ses lèvres avant de le contourner, suivit de près par Drago, Crabbe et Goyle.
Après un long moment de marche, ils étaient enfin arriver dans la salle commune de Serpentard, le blondinet se laissant tomber sur le canapé, le basané prenant place sur le fauteuil en face de la cheminée, tandis que Vincent et Gregory rester debout comme des idiots.
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The Slytherin Brave (HP x Mâle Oc)
FantastikTout ces moments passer ensemble deviennent de simple souvenirs, et le passé s'éloigne de plus en plus. L'amitié n'est pas ce que l'on pense être et l'amour n'a jamais été aussi facile. Mais la vie à toujours été une épreuve que l'on devait défier...