Chapitre 11-Un air de musique

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16 Juin 1931

Il y a parfois un monde ou l'on aimerai vivre une vie ou rien de ce qu'on aurait voulu arrive. Un monde ou les gens qu'on aime sont encore là. Une vie qui n'existe que dans notre imaginaire.

Encore une fois, Arthur Celerier venait de se réveiller, tremper de sueur avec une respiration alourdie et irrégulière. Il s'assit au bord de son lit, plaçant sa main sur la moitié de son visage, observant le sol avec des yeux vide. Il avait rêver. Une fois de plus d'Alex. Son meilleur ami décédé. On dirait qu'il lui en voulait de l'avoir tuer. Le Poufsouffle avait raison de lui en vouloir.

Il fut tirer de ses pensées par son chien qui aboyer pour attirer son attention. Le noiraud releva sa tête et regarda son berger allemand quelques instants, confus avant de lui sourire tendrement pour lui enlever toute son inquiétude. Le garçon plaça sa main sur le haut de la tête d'Alazan avant de le caresser en faisant des mouvements de haut en bas.

-Ne t'en fais pas mon chien. C'est rien. Il lui chuchota d'une voix si douce, presque d'un murmure fantomatique. Silencieusement, le noirâtre se leva de son plumard et marcha vers sa porte pour l'ouvrir tout doucement, évitant de faire trop de bruit. Il faisait nuit noir et seules les lanternes de la salle commune éclairé la grande pièce. Il pivota son corps vers la grande porte après s'être assuré qu'il y avait personne dans l'endroit présent et s'y glissa avant de disparaître.

Et puis le revoilà. Assis seul dans cette pièce sombre et peu éclairé. Arthur faisait face à ce maudit miroir où il pouvait voir son ami, le jeune blond mort de l'autre côté de la glace. Celerier mépriser ce sourire que le blondit lui adresser. Comme si cet accident était jamais arriver. Il le détesté. Il se détesté pour ce qu'il avait fait.

Mais il entendit pas la porte s'ouvrir et cette petite voix douce lui parler.

-Arthur ? Appela t-elle et l'écolier se retourna, surpris de la voir ici.

-Marie ? Répéta t-il dans cet endroit si funeste. Il l'étudia d'un peu plus près et il constata que la jeune fille était à moitié cacher derrière un mur, sa main frêle drapant l'autre côté du muret. En observant son visage, il vit beaucoup d'inquiétude inscrit dans ses yeux brun caramel.

Le fantôme avala sa salive par peur et de doutes qui le consumer lentement et à petit feu.

C'est ici-même que Marie Morel-Turner avait découvert son secret. L'unique et dernière fois.

Nos rêves ont toujours une signification. On rêve parfois de ce que l'on aimerai avoir, ou bien nous rêvons de ce qui nous manquent, ce qui nous a était arracher.

Quand tu tombes amoureux de la lune, tu arrêtes de regarder les étoiles.
Et ma lune, c'était elle.

-1990-

Ce fut le lendemain matin après leur terrible escapade dans la Forêt interdite que Arthur c'était lever du pied gauche. Il avait d'affreuses cernes noir en-dessous de ses yeux verdâtre. Enfin, depuis qu'il est décédé il avait des poches noirâtres mais jamais aussi sombre ! Le pauvre garçon était tellement fatigué qu'il tenait à peine sur ses deux jambes, baillant de temps en tant. C'est avec du mal que le Serpentard suivit le trio d'or dans l'arrière-cour de Poudlard, sans faire attention à ce qu'ils disaient.

-On m'avait dit que les examens de fin d'année à Poudlard étaient effrayants. Mais moi j'ai trouvé ça très amusant ! Parla Hermione en tenant ses bouquins contre sa poitrine, le menton relever avec une note de taquin dans sa voix.

The Slytherin Brave (HP x Mâle Oc)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant