The Slytherin Brave (HP x Mâle Oc)

Chapitre 1-Année 1

Année 1930

Que feriez-vous si la dernière chose que vous vouliez voir était la mort se produire sous vos yeux ? Survivre ou mourir ? C'est la question que beaucoup se pose au cours de leur existence sur Terre. C'est comme un jeu de chasse ou il faut tuer pour vivre. Bien que certaine personne préfère abattre leur proie pour se procurer seulement du plaisir. Dans notre monde, la magie est toujours mise sur le tapis, et l'univers dépend de notre pouvoir. Mais pourquoi n'ai-je pas réussi ce jour là ? Car le seul souvenir que j'ai, c'est de voir un sortilège vert et puissant sortir de la baguette de mon ennemie, me propulsant loin contre un mur. Et puis...A ce moment précis, mon cœur avait cesser de battre.

Moi, Arthur Celerier, est mort le 1er Octobre 1930 et ce, pour toujours.

-1990-

Il se faisait tard et le léger vent passer dans ses cheveux noir, les ébouriffant avec douceur. Poster au sommet de la tour de l'horloge avec la grande porte en vitrail bleu ouverte, d'où les aiguilles étaient arrêté depuis de belle lurettes se trouver ce jeune garçon à Serpentard, vêtu de sa robe noir aux couleurs verte, munie de sa baguette brune à la main droite. L'adolescent était assis au rebord du bâtiment de pierre, observant avec une immense attention le Poudlard Express qui était maintenant à l'arrêt. Il sourit avant de se lever, puis de s'étirer. Il sauta de l'encadrement avant que ses pieds atteignent le parquet en vieux bois. D'un mouvement de son bâton, l'énorme fenêtre en pendule se claqua avant d'être verrouiller.  Il s'avança, le sol grinçant sous ses chaussures noir et dépassant l'ancienne bibliothèque, les chaises et les diverses pupitres. Le noiraud empoigna la poignet de la porte et de l'ouvrir sous cet atroce grincement et la referma aussi silencieusement que possible.

Une nouvelle année aller commencer.

Jonchant les nombreux couloirs il pouvait voir a travers les carreaux les enfants qui embarquer dans les barques, dans quelques instants, ils seront tous à Poudlard et l'ado avait toujours fait l'accueille aux côtés du professeur Macgonagall. Il avait du retard et aller être sévèrement gronder, pas de sa faute si il avait dormi en haut du building, Alazan aurait pu le réveiller avec ses léchouilles.

Plusieurs minutes s'écoulèrent et enfin, il apercevait Minerva avec son principale signe distinctif, son grand chapeau de sorcière et les deux plumes qui en dépassait, mais aussi les enfants regrouper devant elle.

-Excusez-moi pour le retard, professeur. Alazan ne m'a pas réveiller. Murmura t-il en fin de phrase, mais ce fut un échec puisqu'il entendit des ricanements des premières années.

-Assez ! Assez ! Calmez-vous. S'écria calmement la femme au béret pointu, leur voix se dissipant lentement suite à cela. Elle se tourna alors vers le concerner légèrement gêner et vexer des moqueries.

-Ce n'est pas grave, Arthur. Mais la prochaine fois, soi à l'heure. Réprimande t-elle. Ouf, pas d'heure de colle, avec le temps, Minerva à dû s'y habitué avec sa manière d'arriver toujours tardivement.

-Merci, professeur. S'empressa de dire ledit Arthur. Son regard se porta sur un gamin de onze ans qui le fixer avec admiration ? Pourquoi admirer un Serpentard ? M'enfin, cela ne lui empêcha pas de sourire face à l'enfant qui parût choquer face à son aînée. Ses yeux verdâtre se portèrent sur un autre jeune aux cheveux blond gélifié qui le regarder avec la même attention que le brun, il rougit embarrassé jusqu'à ce qu'il se rende compte que tous les élèves le contempler avec émerveillement. C'était une grande première depuis toutes ces années qu'un groupe de mômes l'étudier de fond en comble. Il se racla la gorge avant de parler.

-C'est moi qui vous accueille aujourd'hui avec le professeur Mcgonagall. Présenta poliment Celerier avec une voix monotone, les portes qui sont derrière moi vont bientôt s'ouvrir et vous irez rejoindre les autres. Expliqua t-il d'un regard vide et sans émotions, les mains joint derrière le dos pour avoir une bonne posture. Les 7ème années ont toujours était inculquer à ça, les 6ème années ne faisait pas exception bien que cela soit peu important pour eux. Il fallait avoir un bon langage, les bonnes manières, se tenir droit et avoir une bonne prestation. L'exemple parfait qu'il fallait à tout prix enseigner aux générations à venir.