Chapitre 9

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Dans une grande pièce blanche sans fenêtre se trouvait 3 jeunes enfants d'environ une dizaine d'années. Deux hommes restaient planté, arme à la main, de part et d'autre de l'unique issu de sortie, regardant les jeunes enfants d'un mauvais œil.

Les enfants de leur côté, jouaient sans réellement se soucier de la présence des deux adultes.

La plus jeune des trois portait la même blouse blanche que les deux autres, ses cheveux brun était relever en une couette désordonnée, lui donnant un air sauvage et laissant apparaître un tatouage sur son cou, présentant le chiffre « 017 »

La petite brune courrais en riant discrètement, suivit par les deux autres enfants, une fille un peu plus âgée, et un garçon qui était cette fois le plus âgé des trois individus.

La fille un peu plus âgé poursuivait la petite brune en courant, cette dernière avait une coupe très courte, ses cheveux blanc se fondait dans la pièce également blanche, sur son cou on pouvait y lire «016 ». La plus âgée pris un peu d'élan et sauta sur la brunette qui tentais tant bien que mal de contenir son rire.

Les deux jeunes filles rire, ne pouvant se retenir, rire la plus doucement possible afin de ne pas déranger les deux gardes, sous l'œil attendris du jeune garçon qui les observait. Ce garçon était comme les deux autres, vêtu de cette éternelle blouse blanche. Il avait quand à lui, la même coupe de cheveux que la plus âgé des deux filles, c'est à dire de court cheveux blanc. Sur son cou l'on pouvait y lire cette fois « 015 »

S'étant calmé, la brune pris la parole.

Brune : Ça se fait pas , t'as tricher !

La jeune fille a la touffe blanche, pris un air choquer, non pas à cause de ce qu'avait dit la brunette, mais car cette dernière avait osé parler

La jeune enfant se rendit comte de son erreur lorsque l'un des deux hommes s'approcha d'elle, arme à la main.

La petite brune s'était relever et observait ses deux camarades qui la fixait avec des yeux ronds comme des billes.

Brune : J- je suis désolé je voulais p-

Elle n'eu le temps de terminer sa phrase que la blanche plaqua sa main contre sa bouche, lui évitant de s'enfoncer dans sa connerie.

Le garde quand à lui continua à s'approcher vers les deux filles.

La blanche mis la brune derrière elle, sachant pertinemment ce qui attendait la plus jeune. Mais lorsque le garde arriva à la hauteur des deux jeunes filles, le garçon qui jusque là observait la scène se dirigea vers le garde et se mis devant les deux filles mettant ses deux mains devant lui afin de stopper l'avancée du garde.

Le second garde qui était jusque là passif, se dirigea vers son camarade voyant la scène qui pouvait vite dégénérer.

Ni une ni deux, le second garde attrapa violemment le garçon par le bras pour le dégager, lui arrachant un gémissement de douleur rapidement étouffer par sa main.

La brunette quand à elle sanglotait dans son coin, elle redoutais ce qu'il pouvait se passer, elle savait pertinemment qu'à partir de maintenant, les trois enfants ne pourrait plus se retrouver pour jouer par sa faute.

Déjà que ces moments étaient rare et précieux, et leur permettait de se retrouver et oublier quelque minute la dure réalité qui les attendaient, à cause d'elle il n'y en aurait plus aucun. De simple mot venait de briser le seul bonheur qui leur était accordé.

Tch  {Livai x oc}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant