Brisée FRAMAL

39

Avril 2023

France

PDV IDRISS

-Papa. 

Je rattrape mes deux filles qui arrivent en courant. Je me baisse et attrapent mes filles. Je souris et je les embrassent. 

-Vous m'avez manquez. 

-Toi aussi papa. dit Alya. 

-Salut Idriss. 

Ali vient dans mes bras je lui fait une accolade. Et tchec Naël. 

-C'est de la barbe? je demande. 

-T'as vu. il sourit. 

-Waw. Je vais te montrer comment on fait. 

Ils vont je ne sais ou et suit l'odeur de bonne nourriture. Ma belle Nana cuisine. Je l'entoure de mes bras, si bien qu'elle sursaute. 

-T'es rentré. elle sourit. 

-Oui m'dame. 

Elle se tourne et m'embrasse. 

-Tu m'as manquer. je chuchote. 

-Toi aussi. Je te laisse plus partir. 

-C'était un mois. 

-C'étais beaucoup trop long. 

-Je suis d'accord. Tu fais des Lasbannes? 

-Oui. 

-T'es la meilleure. 

-Je sais. Va mettre ton linge je vais faire la lessive. 

-Je vais la faire. 

Je vais faire mon sac et je reviens, les gars mettent la table. Je les aide.

-Garde papa. 

-C'est quoi? 

-Mon cahier de l'école. 

Je prend Alya dans mes bras et elle me montre tout ce qu'elle a fait à l'école. 

-Mais t'as que des très bien. je souris. T'es trop forte. 

Elle rigole sous mes bisous. 

-A table tout le monde. 

-Allez vite crapule. 

Je l'aide à aller dans son siège et fait pareil avec Lina. Tout le monde se serre, on a trainer comme d'habitude. 

-Je peux sortir demain? demande Naël. 

-Ou ça? 

-En ville. 

-Paname c'est grand. 

-Ils veulent faire un foot et manger ensemble après. 

-On devait manger chez Ken pour son anniversaire. je dis. 

-Donc non. dit Inaya. Tu reportes à une autre fois.

-Casse les couilles. 

-Langage. je dis. 

-Je parle comme je veux. 

-Certainement pas. 

-Je m'en bat les couilles de ton avis. 

-Monte dans ta chambre. dit sa mère. 

-Aussi chiante que lui. 

Il est monter et il a claquer toutes les portes qu'il a pu. Inaya baisse la tête.

-Si vous alliez vous lavez les dents. je dis. Et que vous choisissez un film? 

-Ouais. 

Ils sont parti tous les trois se préparer. Je tire la chaise de ma brune vers moi. 

-Qu'est ce qu'il y a? 

-J'y arrive pas. elle me dit en pleure. Il a était insupportable. 

-Pourquoi tu ne me l'as pas dit? 

-Parce que t'avais assez de chose à penser. Et que c'est mon fils. 

-C'est mon fils, mais il vit sous mon toit. Je dois être là pour lui. Je vais aller lui parler. 

-T'es sur? 

-Oui. Je vais lui parler. 

-Merci. 

Je suis monté jusqu'à la chambre de mon beau fils. J'ai frapper et je suis rentré après avoir eu mon accord. Je m'assois sur sa chaise de bureau, il reste allonger sur son lit, les yeux rivé sur son portable. 

-Tu te rappel quand t'es arrivé il y a un an? je demande. On avait dit que ça ne pouvait fonctionner que si on dialoguer et on était sincère. Je t'écoute. 

-Quoi? 

-Balance tout ce que tu as à dire. 

-Tout? 

-Oui.

Il reste silencieux. 

-Naël, on ne vas pas y arriver. 

-Je te déteste. 

-C'est un bon début. 

-T'es parti un mois et demi. Tu nous as laisser. Tu ne m'as pas appeler une seule fois. 

-Si. 

-Non, t'appel tu parles à Mama, aux filles à Ali. Mais pas à moi. 

Je soupire sentant que j'ai merder, mais bien. 

-C'est pour ça que tu as était insupportable avec ta mère? 

Il ne répond rien. 

-Je suis désolé. je répond. Je n'aurais pas du ne pas prendre de tes nouvelles. Je pensais que tu ne voulais pas me parlais. Mais d'un autre côté tu n'aurai pas du te comporter comme ça avec ta mère. 

-Je sais. 

-Je sais que j'ai merder. Je passe plus de temps avec ton frère. Et c'est pas normal. Honnêtement je ne sais pas comment faire avec toi. 

-Pourquoi? 

-Je ne veux pas que tu penses que je remplace ton père. 

Il sourit. 

-Mon père je le haï. Je sais ce qu'il a fait à maman, et je suis plus qu'heureux qu'il ne soit plus dans ma vie. Le remplacer c'est la meilleure chose que tu puisses faire Idriss. Pour mama, Ali et moi. 

-Alors peut être qu'on pourrai ce dire qu'on se programme une sortie à deux par semaine. 

-Ca me va. 

-Demain, on va manger chez Ken. Mais peut être que tu peux aller au foot plus tôt et on passe te prendre au retour. 

-C'est vrai? 

-Oui. Mais tu vas t'excuser au près de ta mère. 

-D'accord. 

-Est ce qu'on fait comme avec ton frère et tes soeurs? Et on se fait un câlin? 

-Oui. 

Je souris et je prend Naël dans mes bras. 

-Tu m'as manquer Idriss. 

-Toi aussi. T'es tout aussi important que les trois petits. 

-Tu m'aimes? 

-Bien sur que je t'aime. je souris. 

-Moi aussi. 

-On se regarde un film, ça te dit. 

Il est descendu avec nous, et on a regarder un film tous ensemble.