Le Duel des Gemmes - Bridgerton fanfiction

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Chapitre 15
Le prétendant

☆:::::::: Point de vue ::::::::☆

Valentina Du Peuplier  [ dernière de la fratrie Du Peuplier ]

Valentina avait passer son week-end à finir des problèmes de physique. Elle détestait al physique, c'était utile, mais tellement compliquer. Tout le monde préfère la chimie à la physique en cours de physique-chimie. C'est comme les roman d'amour, il y a toujours un favoris dans les triangles amoureux. 
Valentina préfère généralement le jeune homme gentil et généreux au méchant garçon mystérieux. Pensant à Gregory, elle sourie avant de se souvenir des paroles de son frère. Elle effaça alors Gregory de son esprit. Elle ne devait pas perdre son temps avec des fantaisies. Reprenant ces problème, elle finit celui sur la rotation du système solaire dans l'après-midi et partie se prendre une pomme. 
Trouvant son frère Ludovic entrain d'écrire sur la table de la cuisine elle lui dit bonjour. 

- Tu n'es pas censé être dehors entrain de découvrir le monde de la faunes ? 
- Si, mais il faut bien écrire cette faune pour ne pas la perdre. 
- Tu va me manquer tu sais. Tu pars réellement pour deux années entières ?
- Et oui ma petite soeur. C'est finalement le plus jeune frère qui part en premier du cocon familiale. 20 ans et j'aurais déjà plus voyager que Gilbert qui en a 32. 
- Ne te moque pas de lui, il n'aime pas se souvenir qu'il est vieux. 

Rigolant ensemble, Valentina se demanda si elle aimerait voyager aussi. Elle n'est pas très adapte de ce concept. Elle aime écouter les histoires de voyage mais elle-même tenter l'aventure demanderait une grosse prise de courage pour elle. Elle préfère prendre du temps à s'installer et à créer des choses sur place que constamment changer d'endroit et de ne jamais se stabiliser. 

- Tu va où déjà ?
- Espagne, Italie, Pologne et Hongrie. 
- Pas dans cet ordre j'espère ?
- Bien sûr que non voyons. 

Reprenant ses écrits, Valentina regarda sa plume et apprécia son style d'écriture. Ludovic est le seul artiste de la famille alors la fratrie le dorlote un peu plus. Gilbert est beaucoup dans les finances et gère le commerce qu'avait leur paternel en France. Malheureusement c'est encore compliquer car leur connard de daron ne veut pas le laisser diriger malgré qu'il soit bien plus compétent que lui. 
Antoine lui est au chômage. Pour être plus sérieux, Antoine est un "particulier" comme il s'appelait. Il saute de contrat en contrat, faisant principalement des petites courses et aides en machinerie. Il ne le semble pas, mais ce petit bonimenteur est très intelligent en terme de machinerie et ce qu'il aime le plus, c'est réparer des horloges et des montres. 
Et Valentina, veux devenir une future architecte. Faire les plans et les mesures pour construire des maisons ou bien autres. Elle veux se spécialiser dans les patrons. 
Tout un programme pour la famille Du Peuplier, et forcement Ludovic veut être naturaliste ou bien ornithologiste. Cataloguer la faune et la flore.

Voyant Gilbert rentrer par la fenêtre de la cuisine, Valentina sourit avant de voir un autre homme sortir à sa suite. Inconnu. 

- Tu attends de la visite ?
- Non, pourquoi ?
- Gilbert ramène un inconnu. 
- Peut-être un ami.
- Tu es trop rêveur Ludovic. 

Partant à la porte d'entré pour les accueillir, le garçon quelque peut plus grand que Valentina fut étonné et s'inclina devant la dame, retirant son chapeau. 

- Enchanté de faire votre connaissance. vous devez être Lady Valentina Du Peuplier ?
- Exactement, enchanté Lord ?
- Le Comte Corentin Borrow de Berryburg, Enchantée. 

Surprise d'apprendre qu'il est Comte, Valentina fut embarrassé d'avoir était si franche et Gilbert vint se mettre à ses côtés. 

- C'est le jeune homme dont je t'avais parler Valentina.
- Pardon ?
- Tu as vraiment une mémoire étrange. Elle retiens des théorèmes très complèxes mais ne peux jamais se souvenir d'une seule date d'anniversaire. 

Corentin, sourit et Valentina se dit qu'elle retiendrait celle pique là. Souriant également au Comte de Borrow, elle se tourna vers son frère.

- Peut-être devrions nous l'inviter à entrer. Plutôt que de la faire cuire sur le pas de la porte. 
- Oui, allez dans le premier salon, je vous rejoint tout de suite. 

Le Comte Borrow acquiesça d'un hochement de tête et Valentina l'amena jusqu'au salon, à l'intérieur, un serviteur fit le chaperon en attendant le retours du grand-frère.