Le Duel des Gemmes - Bridgerton fanfiction

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Chapitre 17
Amitié

☆:::::::: Point de vue ::::::::☆
Prince Phillipe IV [ sixième fils de la reine et du roi et futur roi du trône d'Angleterre ]

Se retrouvant sous un kiosque en fin de journée avec seulement Hyacinth après les événements du pique-nique, il remarqua que la jeune fille semblait prise dans ses pensées. N'osant pas la déranger, Phillipe se remémora la journée et sourit. Il avait réussit à la faire sourire et à passer un bon moment. Elle devait être aux anges. Mais pourtant il avait l'impression que ses sentiments pour elle n'avait pas réellement changés. 
Il l'apprécier mais... sans plus. 

Dame Louïsa arriva avec le thé et servit les deux avant de repartir. Coupant court aux pensées de Hyacinth, celle-ci s'excusa en se rendant compte qu'ils nageaient dans le silence depuis bien longtemps. 

- Je suis sincèrement désolé mon prince.
- Ce n'ai rien. c'était une belle après-midi, je comprend que vous vouliez vous la remémorer. 
- Belle, oui. 

Buvant sa tasse, Phillipe sentie une sorte de malaise et voulut le briser assez vite. 

- Ma mère souhaite vous invitez pour un bal très prestigieux Mercredi. Cela vous conviendrez ?
- Un bal prestigieux ?
- Il n'y aura que les plus hautes personnes de la société anglaise et quelque prince et princesse d'autres pays. C'est une simple fête. 
- Une, simple fête. Répondit Hyacinth déjà angoisser rien que d'y pensée. 

Relevant le regard vers Phillipe, celui-ci remarqua qu'elle semblait perturbée de nouveau et il lui sourit sans réellement savoir ce dont elle souhaitez parler. 

- Mon prince, trouvez-vous... euh... je ne sais pas bien comment amener cela.
- Dites ce dont vous pensez. J'aime votre franchise. 

De nouveau souriante, son expression était devenu maussade. 

- Merci. Dit-elle. Mon prince, m'appréciez-vous ?
- Oui, vous êtes très plaisante. 
- Et... m'aimez-vous ?

Réduit au silence, Phillipe la regarda sans savoir quoi pensé. C'était comme si il regardait un ciel vierge de nuages. Le ciel est beau, mais la réelle attraction et d'essayer de trouver des formes aux nuages. Hyacinth est plaisante, mais il ne ressent pas cette envie de recherche. Comme un ciel vide. 
Baissant le regard, Hyacinth sembla comprendre son silence. 

- La vérité. C'est que vous me plaisez aussi. 
- Je suis... je suis désolé. 
- Mais je ne vous aime pas. 

Surpris par ses paroles, Phillipe eut l'impression qu'un poids se retirer de son corps. 

- Vous ne m'aimez pas ?
- Non, je pense que nous serions de très bon amis. Mais... pas de très bon amants. 

Lui souriant, Phillipe répondit presque amuser. 

- Oui, je ne vous aimez pas non plus. Mais je vous apprécie ! Se dépêcha-t-il de dire. J'aimerais réellement être votre ami. Cet après-midi était... il était beau. 
- Vous vous êtes amuser ?
- Oui, je n'avez jamais réellement pus passer du temps comme ceux-ci. Je n'ai... jamais eu de réel amis. 
- Eh bien. Je serais ravi de vous accompagner en tant qu'amis. 

Se souriant mutuellement les deux amis continuèrent de parler et de rigolaient ensemble. Le soleil tombant dans le ciel, les deux allèrent se présenter à la reine ou Phillipe présenta leur situation. 

- Comment ça ?
- Je vous les dit mère, nous ne souhaitons pas nous marier, simplement rester amis. 
- Mais Lady Bridgerton, je croyais que mon fils vous plaisez.
- Oui, c'est le cas. 
- Alors qu'est-ce qui vous repousse tant ? Demandant-elle ahurit. 
- Je...
- Ce n'est pas sa faute maman, ne lui en veux pas je t'en prie. Lady Bridgerton et sa famille n'ont pas à souffrir de mon choix.
- Ton choix ? 
- Oui, Lady Bridgerton est très raisonnable et à sue être bienveillante malgré que je ne lui plaise pas. 
- Je comprend. 

Subissant le regard de la reine, Hyacinth eut l'impression de mourir d'embarras. Puis le verdict tomba. 

- Bien, j'accepte que votre union se brise. Mon diamant peux accepter d'autres prétendants.  Soit! 

Soulager, Hyacinth et Phillipe partagèrent un regard amical et le garçon l'accompagna jusqu'à chez elle. Revenant au château, Phillipe se sentit moins seul. Il n'avait pas de femme, mais une amie. Et cela était tout ce dont il avait toujours rêvé.