Le Duel des Gemmes - Bridgerton fanfiction

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Chapitre 2
L'ancienne tradition

☆:::::::: Point de vue ::::::::☆
          Valentina Du Peuplier [ dernière fille de la fratrie Du Peuplier ]

Lavant ses mains et polissant ses ongles, les servantes s'activaient à la tâche de rendre chaque parcelle du corps de Valentina élégant. Elle devait être parfaite pour le bal de ce soir.
Encore chamboulée par les compliments de la reine, elle avait du mal à regarder son reflet. Se trouvant misérable de n'avoir eu "que de simples compliments". Elle savait que la reine pouvait choisir dès cet instant son diamant. Mais c'était rare.

- Tu souhaites déjà dépenser toute notre fortune avec le premier bal ? Lui demande son deuxième grand-frère dans l'encadrement de la porte.

- Tu es Vicomte. N'es-tu pas censé être riche ?
- Tu es intelligente, n'es-tu pas censé avoir pris des classes de finances ?

Valentina roula des yeux. Son frère, Antoine, vint commencer à toucher aux éléments disposés devant la glace tout en disant cette fois-ci dans leur langue maternelle le français.

[comme la série Bridgerton se passe à Londres, les personnages parlent anglais, mais la famille Du Peuplier est française. Il sera marquer grâce aux ""  dans les dialogues quand iels parlent français et non anglais.]

- "Sérieusement Valentina, je sais que c'est important et que ton mariage serait d'une grande aide à la famille, mais n'oublie pas de penser d'abord à toi. D'accord ?"

La jeune fille de 18 ans hocha de la tête en regardant le reflet de son frère. Lui-même avait perdu l'amour de sa vie l'année dernière. Elle est tombée gravement malade et est morte au lit, mais le plus dur était de savoir qu'il ne manquait que quelques pièces de monnaie pour avoir les soins nécessaires et la sauvé. Mais les Du Peuplier n'avaient pas ces deux-pièces manquantes. 

- Où sont mes deux autres horribles frères ?
- Ludovic est dans le jardin, étude les animaux comme toujours, et notre cher grand-frère Gilbert s'est séquestrer dans son bureau. 

- "On est mal comment ?"
- "Il m'a dit à 3%, donc je dirais 20%."

Les domestiques ayant terminé avec les mains de Valentina, la cadette de la famille se leva et put mettre sa robe par-dessus sa chemise de jour. Son frère attendant sur le côté, il faillit faire tomber du maquillage.

- Comment peux-tu avoir tellement de choses à mettre sur le visage ?
- Comment ne peux-tu pas ?

Rigolant à sa réponse, il s'assit dans l'un des fauteuils de la pièce, attendant qu'elle ait fini de se préparer. Les domestiques firent alors sa coiffure, puis finir d'assortir la robe avec des bijoux de famille élégants. Habiller en rouge, Valentina se démarquer et était d'une beauté éblouissante.

- Tu crois que Gilbert pourra enfin se trouver une femme lors du premier bal ? Demande Antoine en finissant de lire le journal.
- Qu'est-ce que j'en sais, il est tellement froid d'ordinaire qu'aucune femme ne veut l'approcher.
- Peut-être que les londonièse préfère ce style d'homme ?
- Un homme qui a plus de rapports avec du papier qu'avec elle ?

Antoine explosa de rire comparer à l'embarras des servantes.

-"On n'aurait vraiment pas dû t'apprendre la sexualité petite sœur."
- Je l'aurais compris par moi-même de toute façon.

Finissant de se préparer, Valentina et Antoine arrivèrent devant l'entrée et trouvèrent Gilbert en train de terminer de signer un papier en compagnie de son majordome personnel. 

- Mon frère, tu viens au bal en notre compagnie ?
- Ai-je dit que je ne venais pas ?
- Non, mais tu étais tellement occupé, je pensais que tu resterais coller à tes papiers jusqu'en hiver.
- Très amusant Antoine, partons, nous allons être en retard sinon.

Partant dans la charrette, le trio Du Peuplier embarqua en direction le bal de la reine Margot. Arrivant à l'emplacement, Gilbert s'assura que sa sœur était bien habillée et parfaite pour son entrée. L'accompagnant par le bras, ils entrèrent tous les deux suivit d'Antoine dans la salle de bal. Certaines familles étaient déjà là et les danses avaient commençait. La reine trônait au bout de la pièce dans un grand trône entouré de ses dames de compagnies. Valentina souffla intérieurement pour calmer son angoisse. Se disant qu'elle était parfaite et qu'elle savait ce qu'elle devait faire. Avançant vers sa majesté, les trois s'inclinèrent et Gilbert, l'aîné, parla pour eux trois.