-Partie 4-

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*Partie corrigée *

  A'salamu Aleykum.

-Le mec : Patron c'est bon elle s'est réveillée

-Le patron : Vas-y fais la entrée, si j'entends que tu lui as fait quelque chose, je te tire une balle entre les deux yeux.

Il ouvre en grand la porte et là, je vois Karim non pas lui. Tout le dégoût du monde s'intensifie en moi . Je savais que cet homme avais un truc louche .

Les deux hommes sont partis en me laissant et ferment la porte.

-Karim : Avance je vais ap te graille. (manger)

-Moi : Je suis bien là.

-Karim : Vas-y je m'en fous avance ou je viens te chercher à ma façon.

-Moi : ( souffle d'agacement ) .

J'avance et m'assois sur la chaise devant son bureau. J'ai juste envie de lui arracher sa face de rat .

-Karim : Avant que tu me casses les c***** avec tes questions ! Tu es la car ton refré (frère) me doit de l'argent !

-Moi : Comme tu l'as dit : mon frère pas moi . Tu te trompe de combat avec moi .

-Karim : Mdr même comme as, tu arrives à faire la meuf qui s'en fou, mais en vrai, tu veux pleurer.

J'étais déçu ! Déçu de qui ? De mon frère . Ma déception n'a d'égal que ma colère .

-Moi : Avoir peur de toi ? J'ai peur que de Dieu, donc si veux me tuer fais toi plaisir .

Il se lève sort une arme et vise ma tempe. Vive la lâcheté des hommes .

-Karim : Alors comme ça sa fait la maligne.

-Moi : Bah vas-y tire juste attends je fait ça. (Chahada)

Il me regarde dans les yeux.

-Karim : Si j'avais pu, je l'aurais fait, mais j'ai dit que tu serais vivante jusqu'à que tu me donnes l'argent, mais après ça une balle perdue peut rapidement arrivée .

-Moi : Tu me feras signe quand tu feras peur.

Il m'a pris, m'a plaqué contre le bureau puis m'a fait une clé de bras.

-Karim : T'a cru que j'étais un p* pour qu'une keh me parle comme ça HEIN DONC ÉCOUTE MOI REPARLE MOI COMME AS ET TU VA VOIR !

Puis il me jette par terre ma mâchoire me faisait mal et mon bras aussi pourtant ma tristesse domine sur la douleur . Ossama pourquoi ?

-Karim : Tu va m'écouter ; tu ne restes pas avec des hommes, tu ne parles pas avec eux, tu t'habilles bien que quand t'es avec moi, tu vas dans la chambre de personne t'a besoin de quelque chose, je suis là ! Tu parles mal, je te casse ta bouche !

Je lui ai lancé le regard le plus haineux que je puisse faire ... je n'ai pas la force pour faire autre chose .

-Karim : Vas-y bouge maintenant !

-Moi : ( souffle d'agacement )

Je me relève avec difficultés , mais il me retient et me plaque contre le mur.

-Karim : Pfff encore et je te pfff ta tête.

Il me regarde avec un regard de Sheitane (diable) puis après il a commencé à regarder mes lèvres et son regard s'est adoucie ; il avait juste un petit sourire.

-Karim : Vas-y bouge sinon je vais te faire bouffer le sol.

Je n'ai rien compris donc je suis partie dans ma chambre de toute à l'heure, mais elle était fermée donc je pars au bureau de Karim mais , j'entends qu'il y a une femme  avec lui donc je suis partis visiter. C'était grand et grave classe. Comment un pouilleux comme lui peut vivre dans un lieu aussi classe ?

Lier à tout jamais à cet homme qui m'effrayait, engendrer par ce kidnapping.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant