Ch10: indélébile.

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3h03

Je m'étais de nouveau réveillé en sursaut après un énièmes cauchemar, sans cesse le même. Comme des souvenirs qui ce reviennent a l'infini.

Je sentais déjà la crise d'angoisse arrive à grand pas, je balaye rapidement la chambre du regard, mon brain n'était pas la. Je n'avais donc pas besoin de partir me réfugier dans la sale de bains s'il n'était pas ici. J'ai donc laissé les goutes d'eau sale dévaler mes joue à la vitesse de l'éclair.

Ma respiration était devenue de plus en plus difficile, les spams avaient commencé a faire leur apparition, un torrent de larmes ce déversait maintenant sur mes joues pour terminer leur course sur les draps blanc.
Puis j'ai commencé à tousser, ma vision s'était troublée a cause des les larmes.

La lumière du couloir venait de s'allumer, faisant tomber mes chance de rester discrète avec elle.
Les rayons artificiels pénètreraient peu à peu dans la pièce au fur et a mesure que la porte s'ouvrait, une main sur le coeur j'ai tenté de me calmer, en vain, une personne rentra rapidement dans la pièce, elle alluma la lampe de chevet avant de fouiller dans mon sac a dos.
La personne brune a fini par monter sur le lit .

— He he he tout va bien, je suis la tout va bien Ashlynn.

J'ai eu du mal à entendre ses mots mais j'ai réussi à distinguer la voix de Livaï.
Il déposa délicatement sa main sur ma joue et fait basculer ma tête sur son torse. Il pris mon inhalateur et me le fourra dans la bouche pour l'activer. Livaï n'avait fait que rarement face a ce genre d'évènement, mais il avait appris avec le temps a réagir a la perfection.

— respire Ashlynn, respiré...

Merci mon chou j'y avais pas pensé. J'ai inspiré a fond, essayant de remplir mes poumons un maximum. Puis il a re appuyé sur la petite bonbonne.

— voila, doucement...

Le beau brun essuyas mes larmes à l'aide de son pouce et s'est mis a doucement me bercer.

— respire a fond.

J'ai appliqué ses instruction et ai peu a peu retrouve mon souffle. J'ai fermé les yeux et me suis enfoncé dans les bras de mon petite amie, honteuse de lui avoir fait vivre ceci.

— M- Merci...

Je suis épuisé putain... dans tout les sens du termes...

— c'est rien merdeuse, d'accord ?

J'ai secoue le tête de bas en haut pour lui confirmer que c'était finalement passé.

— C'était juste un cauchemar.

J'avais l'impression que ma tête allait explosé tant elle me faisait mal. C'était tellement épuisé, j'ai crus que sa allait duré une entérinée.

— c'était si violent que sa ?

A-t-il demandé, sentant l'inquiétude dans sa voix je lui ai assuré que non. M'englobant de ses bras pour qu'il devienne mon armure indestructible.

— pourquoi tu ne dormais pas ?

— j'avais pas sommeil et tu dormais si bien pour une fois, je voulais pas te réveiller avec mon portable.

Conséquences.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant