Ch17: réconfort.

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N.C

𐀔

Eren s'est ramener en courant et criant comme un débile dans le couloir, ce qui lui a valut une tape derrière la tête de la part de Mikasa, celle-ci fis la moue et ce contenta de le sermonner, Avant que sa mère ne le fasse.

— Eren. Tiens toi mieux nous sommes dans un hôpital.

J'ai relevé la tête et ai jeter un regard a la brune au yeux bleu azur, la regardant passer sa main sur son visage.

J'ai doucement repoussé Carla pour me défaire de ses bras, un sourire angélique et rassurant s'était son visage. C'est fous comme sa fille lui ressemble...

— Ça va aller ?

Les yeux sûrement rougis par les quelques larmes qui on commence à irriter mes joues, j'ai acquiescé.

— j'vais aller prendre l'air.

J'ai tourné les talons et ai commencé à
Marcher en direction de la sortie de ce putain d'hôpital.

— Livaï !

Je me suis arrêté et ai tourner la tête vers l'un des médecins de l'hôpital. Une longue blouse blanche, quelques crayons dans sa poche ainsi qu'un badge, c'est..?

— Ashlynn est réveillé, mais elle ne souhaite ne voir que toi pour l'instant.

J'ai regardé les Jeager sans vraiment savoir quoi faire.
Eren arrête le médecin brun au tache de rousseur, posant ses mains sur ses épaules.

— Marco. Comment elle va ?

J'avais presque oublié qu'il était interne en médecine et qu'il bossait au liberté entre temps pour payer ses études.

— Elle est stable, un peu déboussolé et effrayé mais elle va bien, Ash nous a fait une belle crise de panique mélangez a une insuffisance respiratoire on va devoir la garder un peu avec nous, elle demande juste a voir Livaï pour l'instant.

Eren a acquiescé, avant de ce mord la lèvre inférieure, Mikasa elle, lui a pris la main en lui caressant le bras.

— Merci Marco.

le grand brun a tourné la tête vers moi et ma timidement sourit en levant son menton vers le couloir.

— Aller qu'est-ce t'attends ? Mademoiselle Jeager a demandé quelque chose.

Sous les mots du brain je me suis décidé à marcher en direction de sa chambre, je soufflé pour faire descendre mon stresse avant de prendre en mains la poignée de la porte.

J'ai doucement poussé la planche de bois, pénétrant finalement dans la pièce ou cette femme était alitée.

La belle brune a légèrement grincera, ce faisant aveugler par la lumière artificielle du couloir pénétrant peu a peu dans la pièce avec moi.

J'ai doucement refermer celle-ci derrière moi avant de m'approcher à petit pas d'elle, mon coeur ce brisait en la voyant dans cette état: un bras dans une écharpe. Je me souviens encore de son visage, coupé par les larmes de douleur qui jonchait ses joues, celle-ci rougit par cette même douleur. Ses trait déformé par sa souffrance. Tout ses cris de douleur résonne encore au plus profond de mon être. Comme un eco qui ricoche dans les parois d'un puit.

— salut toi.

A t'elle murmurer, je me suis avancé pour me retrouver face a elle. Je voyais bien dans ses yeux fatigué qu'elle attendait de moi, j'ai donc entrouvert les lèvres pour sortir un song de ma bouche. Mais rien, pas un mot même pas une octaves.

Conséquences.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant