Chapitre sans titre 27

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Bon c'est bon il reste une semaine avant les grandes vacances. C'est le vendredi donc j'ai le rendez-vous avec la prof. On était la fin d'année du coup elle doit me dire la chose qui il y a dans ma tète depuis ce moment. J'arrive dans la salle je toque et je rentre. J'avais peur très peur. La prof était joyeuse comme à son habitude.

-Laure comme je te l'ai dit c'est le dernier rendez-vous qu'on ensemble donc cette chose je vais te la dire aujourd'hui. Mais avant tout si tu as des questions sur cette fins d'année si tu as peur etc...

-Oui, j'ai très peur de te quitter. J'y pense tous les soirs et je pleure. C'est vraiment bizarre car au début d'année je n'aurai jamais pu penser m'attaché à toi. Tu es un peu comme ma confidente. Je ne sais pas si je peux vraiment l'employer comme cela mais c'est ça qui va pour moi. C'est la seule chose que j'ai en mémoire mes amies ne sont pas là cet été. J'ai peur de ses grandes vacances. Je me suis fait une nouvelle amie mais elle ne me comprend pas vraiment sur le faite que je suis beaucoup attaché à vous. Sans vous je n'aurai rien réussi, grâce à vous j'ai envi de venir en cours, grâce à vous je remonte petit à petit la pente, j'essais d'voir de bonnes notes en Français car j'y ai beaucoup réfléchi et je pense que vous avez raison je veux faire ça. Je vous prends toujours comme exemple. Vous êtes un peu comme mon héroïne. C'est bizarre de dire ça devant vous mais j'ai besoin de vous le dire.

Je vois un goute couler sur sa joue.

-Je te remercie de tous ses compliments. Je n'ai même pas les mots c'est juste ce que je voulais, que tu te sentes bien au collège qui tu ais envie de venir. Moi aussi j'ai peur de ne plus t'avoir car tu es aussi comme une force pour moi. Moi la chose que je vais te dire je ne l'ai jamais dit à personne. Bon je vais commencer car j'ai quarante minutes pour t'en parler. Tu es prête ?

-Oui, je suis prête.

-Bon on va commencer. Je te fais depuis le début de toute faisons je suis obligée et quand je vais te le raconter tu vas avoir un réponse à une de tes questions.

-...

-Quand je venais d'avoir quatorze ans et j'avais aussi deux petites sœurs. Mes parents m'ont abandonné moi et mes sœurs nous nous sommes retrouvées seules. On n'avait pas d'endroit où dormir on a dû se débrouiller seuls et ça été très compliquer car mes deux petites sœurs avait sept et dix ans. Pendant trois semaines on cherchait des endroits ou se logés ou début j'allais chez des amies et après on a cherché un centre. Je suis arrivée dans le centre ils m'ont très bien accueilli et ils ont toujours fait en sorte que j'aille bien avec mes sœurs. Je n'avais pas beaucoup d'amies aussi. J'étais beaucoup isolée. Je ne sortais pas jusqu'à la dernière semaine et j'ai commencé à m'intégrer. Le premier jour dans ma nouvelle école je me fais une amie et je me suis très bien entendue avec elle. J'avais des profs incroyables. Je prenais souvent exemple sur eux. En particulier ma prof de Français. J'ai commencé à être beaucoup aimer par la prof et avec mon amie on était très proche. C'était juste nous deux personnes ne pouvaient venir dans le duo. En fin d'année elle devait changer de collège on a dû se séparer et ça été très compliquer pour moi donc je me suis beaucoup rapprochée de ma prof. Je lui ai tout dit de ma vie. De meme pour elle. Quand je vais te dire le nom de ma copine tu vas comprendre. Son nom est Delphine

-Non non et non enfin... C'est ma maman. Mais du coup tu voulais faire pareil pour moi ?

-Tu as tout compris. Je ne pouvais pas t'en parler avant. Je t'ai déjà vu deux trois fois mais tu etais vraiment toute petite.

-Tu m'as déjà vu... Mais

Je commence à pleurer toutes les larmes que j'ai. Je ne pouvais pas m'arrêter. La prof a essayé sans résultat. Je n'y arrivais vraiment pas. J'ai pleuré pendant vingt minutes sans pouvoir m'arrêter. Je voyais la prof me regarder en essayant de me dire que si elle pourra elle voudrait bien me mettre en relation avec elle mais elle n'a pas le droit. Elle m'a pris dans ses bras elle a plus parler et je ne pas vu le temps passé que ça sonne mais j'avais les yeux rouges. Elle me dit que je peux rester manger avec elle et les autres profs. Je préviens les filles. Je leur dis que je dirais tout quand je pourrai.

J'ai réussi à me calmer dix minutes plus tard mais j'avais toujours mes yeux rouges pendant le repas j'ai beaucoup rigolé avec les profs. La journée c'est très bien fini.

La réussite grâce à elleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant