Black Swan (yoonmin)

~ Chapitre 20 ~

Tout est une évidence dans la vie, le hasard n'existe pas. C'est une concession trop importante pour que toi sois laisser au hasard.

Une femme vetut d'un hanbok déchirer dans le dos était maintenu à genoux sur le carrelage de la demeure Park. Deux hommes l'obligeait à rester dans une position dénigrante. Jihyun la regardait de toute sa hauteur, une lueur malsaine dans les yeux. La femme avait la tête baisser vers le sol, des larmes se dessinant sur ses yeux. Jihyun s'amusait à tapoter le cross de son révolver dans là paume de sa main.
Un des hommes de Jihyun maintenait la femme en appuyant sa grosse main sur sa nuque délicate. Ainsi Kimi Hong était maintenu devant le père de son fils.

- Pourquoi fais tu tous ça ? Murmurait elle d'une voie brisé.

L'homme ne répondait pas, continuant à la regarder de haut. Puis, il s'agenouillant devant elle, l'obligeant à relever la tête en lui attrapant ses cheveux. Elle lâchait alors un gémissement plaintif. Jihyun pouvait constatait que la femme d'un certain âge n'avait jamais perdu son éclat et sa beauté passé malgres qu'il en est fait une prostituée.
Jimin tenait d'elle, c'était une évidence. Les meme lèvres charnue et les meme joues rondes comme des pommes.
Kimi Hong avait toujours eu cette beauté à la fois femme et enfant. Tandis que Jimin avait la même candeur qu'elle... Jihyun avait horreur de constater que son unique descendant n'avait presque rien de lui a pard peut-être son intelligence et ses yeux.

- Pourquoi ? Redemandait elle a l'homme.

Jihyun émettait alors un sourire glacial, en se rapprochant d'elle. La femme sentait son corps frissonner à se contacte qui la révulser. Elle se demandait même comment elle avait pus aimer un tel type dans le passer...

- Car tu vois, mon fils m'échappe petit à petit... et tu es le seul moyen que j'ai pour qu'il me soit soumis. Jusqu'a maintenant il était le parfait fils que tout père rêve. Mais depuis peu... il se permet plus de liberté et ça je ne le permettrai pas ! Disait alors Jihyun.

- Tu ne peux pas le priver de sa liberté ! Répondait elle a Jihyun.

Mais la phrase n'était pas ce qu'il attendait et il la frappait alors fortement. Me coup fut si fort que la tete de la femme cogna le sol. Et quand elle releva son visage, un filet de sang couler le long de son menton à cause de la lèvre qui s'était fendu. Mais Jihyun n'en avait rien à faire. Elle ne se plaignait pas, elle ne voulais pas lui faire se plaisir. Elle priait au plus profond d'elle que Jimin puisse s'échapper, son bébé, son fils chéri et unique. Elle priait pour que Jimin ne puisse jamais connaître se qu'elle vivait.

- Je préfère mourire Jihyun mais laisse mon fils en paix. Je t'en pris... implora t'elle au bout d'un moment.

- Ton fils ? Tu es qu'une putain ! Tu es que bonne à assouvir les désirs des hommes Kimi ! Disait alors Jihyun en approchant ses mains de son cou, ou il refermait sa prise dessus.

Tout de suite, elle sentait sa trachée lui faire mal et elle n'arrivait plus à trouver son air, elle commençait à s'agiter et avant qu'elle ne puisse rendre son dernier souffle il la relâchait et la pauvre femme se mettait à suffoquer et a reprendre sa respiration même si c'était laborieux et dure pour elle.

- Installez la dans se fauteuil et attacher la bien ! Je veux que Jimin puisse la voir !

De suite sans attendre que la femme soit plus rétablie, ils s'exécutaient et la mettait sur le canapé en l'attachant fortement. Mais elle n'avait pas la force de protester. Elle faisait pitié et peine à voire tant elle était démunie et affaiblie a cause de la brutalité et de la méchanceté de son ex maris.

***

Jimin et Yoongi étaient tous deux dans le train du retour. Jimin avait expliqué la situation a Yoongi et le plus vieux avait alors réagis rapidement et c'est un jouant avec les grand moyens qu'ils avaient pus obtenir des billet de train rapidement.  Le train en direction de Seoul était pleins à craquer mais au moins ils avaient pus monter à bord.
Jimin et Yoongi n'avaient pas décrocher un seul mot. Ainsi le silence était maître autour d'eux. Seul le bruit du train venait briser le silence tendu qui reigner.