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15h05.

Je m'approche de lui et je le cogne la tête avec la poile.( nda : call me repunzel :) )

L'inconnu tombe directement au sol, inconscient. Je n'allais tout de même pas laisser quelqu'un visiter chez moi comme si c'était un endroit public ? Franchement.

Je n'allais pas le laisser par terre comme sa alors avec ma toute petite force, j'essaie de le porter et de le mettre sur une chaise, attachée bien sûr . (nda : call me repunzel pt2 :,) )

Après m'être assurer qu'il était bien attacher solidement à la chaise, je décide de lui enlever la cagoule qui m'empêcher de voir son visage.

Il est très beau, il a un visage assez sombre, ces pommettes sont rosé et ces lèvres pulpeuses, je pouvais distinguer quelques cicatrices sur son visage ainsi qu'un grain de beauté sous sa lèvre.

Sa personne sortait d'un compte pour enfant, tel un prince charmant. Malgré son visage sombre, il avait le teint si clair, des sourcils bien tracer, il avait un corps très musclé aussi et beaucoup de tatouage et de percing :: un septum, un percing au nez du côté gauche, deux percing à la lèvre.. puis des tatouages.. tout le bras est tatoué et il a aussi un papillon tatouer dans le cou. Il est tatouer ou quoi ??

18h13.

Des minutes passaient même des heures en suivaient. Il s'est finalement réveillé. Je suis devant lui mais je me suis assoupi quelque temps lorsque celui ci me réveilla.

Il était dans les vapes, il ouvrit doucement ces yeux noir et il regarda autour de lui avant de les rouvrir plus grand et de me regarder en sursautant.

Jk : qu'est-ce que... ?

Il réalisa enfin qu'il était attaché solidement à une chaise.

Jk : Je sais pas qui tu es mais libère moi immédiatement !

Moi : Ce n'ai pas comme sa qu'on parle à une magnifique femme comme moi !
Et puis, qu'est-ce que vous foutez chez moi ?

Il n'a pas eu l'audace de répondre pour me fixer dans le plus profond de mes yeux. Ces pupilles noir mélangées d'un marron se plonger en moi, un regard pleins de terreur face à moi, de surprise, de haine et plein d'autre chose.

Ce moment de silence fu courte, je décide enfin de parler.

Moi : Que fessiez vous chez moi ?

Jk : Sa se voit pas ? Je suis un putain de cambrioleur. Libérer moi avant que je vous massacre.

Je continue de le fixer mais un rire m'échappe. Oups...mais il me fait absolument pas peur, en plus je l'ai fouiller bien avant qu'il se réveille donc il ne possède aucune arme pour me « massacrée ».

Moi : Je peux vous dire quelque chose ?

Il me fait oui de la tête.

Moi : Disney a dit « croit en tes rêves princesse », continuer de croire, l'espoir fait vivre.

Jk : VOUS VOUS FOUTEZ DE MA GUEULE ? DÉTACHER MOI PUTAIN !

Je m'approche de lui avec une démarche assez sensuelle même.

Je m'assois sur ces cuisses et je le fixe dans le blanc des yeux.

Moi : Sachez que vous ne savez pas à qui vous avez à faire. Un homme comme vous ne me fait pas peur, je pourrais très bien vous tuez là maintenant sans aucunes pitié. Je vous conseillerez de vous calmez avant que je m'énerve.

Un blanc s'installa dans la pièce. Qu'est-ce que j'allais faire de lui ? Le libérer serait trop dangereux, il faudrait que je m'assure qu'il ne revienne pas avec des hommes pour me « massacrée » comme il dit. Je dois surtout le faire peur et le montrer que je ne suis pas comme toute ces femmes qui se laisse faire.

Loin de la.

Moi : Bon on va passer un marché, je vous libérerez seulement et seulement si vous ne vous vengerez pas ensuite de moi.

Le silence s'installa jusqu'à ce qu'il explose de rire.

Moi : Je peux savoir se qu'il y a de drôle ?

Jk : Excusez moi mais vous êtes vraiment trop drôle, la situation même est drôle.

Il essuie ces larmes de fou rire avant de reprendre la parole.

Jk : C'est la première fois que je me fais menacer et attaché par une femme, d'habitude c'est moi qui attache. C'est à mourir de rire.

Moi : Je vous avez prévenu, je ne suis pas comme toute les femmes, je n'ai pas peur de vous.

Jk : Certes, alors si ce n'ai que sa, j'accepte votre marché.

Moi : Comment je pourrais être sûr que vous respecterez ce marché ?

Jk : Je tiens toujours ma parole.

Moi : Très bien, mais juste pour être sûr, je vous tiendrez prisonnier jusqu'à ce que je décide de vous libérer.

Jk : Eh mais c'était pas dans le contra-

Je le laisse même pas finir sa phrase que je me lève de lui et part en claquant la porte.

Quel imbécile. Moi aussi je peux berner les hommes.

A suivre..

𝐘𝐨𝐮 II JkOù les histoires vivent. Découvrez maintenant