Il détestait les femmes et l'amour, tandis qu'elle trouvait l'amour magnifique. Comment deux âmes opposées pouvaientt-il s'aimer ? Si ce n'était qu'un lourd passé les séparait.
Cataléya Valencia Diaz était une jeune fille âgée de 17 ans qui vivait à...
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Aujourd'hui
- Tu... Tu connais mon vrai prénom ?
- Oui, bien sûr que je connais ton vrai prénom.
- C'est moi et Anis qui t'avons effacer la mémoire avant que tu n'entre au lycée. C'est pour cela que la veille de ta rentrée, tu à fais cette chute dans les escaliers. Il falait que tu te cognes la tête pour que la drogue fasse effet. C'est comme ça que tu à perdu la mémoire et qu'on à pu te faire croire que tu était musulmane et que nous l'étions aussi pour que tu puise recommencer une nouvelle vie loin de tout sa . On t'a fait croire que tu t'appeller Sarah. Ton vrai prénom est trop dangereux et les ennemis pouront plus facilement te reconnaître. C'est pour cela que je t'appelle Sarah et non Cataléya.
Il y a 2 ans
CATALÉYA
- Maman, lâche-moi, tu me fais mal, criai-je.
- La ferme, ou ton père va encore te violer.
- Mes cheveux, aïe !
- Quoi, tes cheveux ? Tiens, tes cheveux ! dit-elle en coupant mes cheveux à l'aide d'un ciseau. Comme ça, tu finiras chauve, et aucun garçon ne voudra de toi. Une fille comme toi, sale et dévergondée, personne ne voudra d'une fille comme toi. Jamais, tu m'entends ? Jamais tu ne mérite pas de vivre !
- Va crever en enfer, je te déteste.
- Je n'ai pas besoin d'aller crever en enfer, tu y es déjà, ma Cataléya chérie.
Nos cris résonnaient dans toute la maison, ce qui réveillait mon père qui dormait. Il arrivait dans la cuisine, détachait la ceinture de son pantalon et m'attachait avec l'aide de ma mère. Puis il faisait ce qu'il avait à faire, c'est-à-dire abusait de moi. Comme tous les jours, je n'en pouvais plus. J'étais fatiguée physiquement, j'étais littéralement morte intérieurement.
J'étais cette âme qui errait sans but. Je n'avais qu'une envie, c'était de rejoindre mon frère.
Quelques année auparavant
- ALEXIO, LÂCHE CETTE ARME, TU VAS FINIR PAR TUER QUELQU'UN !
- Regarde, on dirait une vraie arme, Cat, me dit-il en jouant avec.
Nous étions devant notre maison, ma mère en face de moi et ,mon père à côté de moi. Il était aussi tout aussi effrayé que moi. J'essayais de calmer Alexio qui pointait une arme en ma direction. Et Hazra était bien plus nerveux, que d'abitude Alexio jouais avec le flingue et avait ces doigts sur la détente.
BOUM !!!
Hazra, l'homme que j'aimais, venait de lui tirer trois balles dans le corps : une dans le ventre et deux autres dans la tête... Il venait de buter mon petit frère.
- C'est de ta faute si ton frère est mort, Cataléya ! cria la toxicomane qui me server de mère. DE TA FAUTE !!
L'amour est un parasite, il fait souffrir alors qu'on n'a rien demandé. J'ai pas confiance en l'amour, j'aime pas l'effet qu'il a sur les gens.
