86. Deux filles et un lourd passé

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- Wow je suis énormément désoler pour toi chiaraa rhabille ..rhabille toi si te plait

Elle me regarder tes traits de son visage laisant aparaitre enorement de hait et de regrett envrs mon egare elle se rhabiller toujours avec un regard noir et les sourcils froncer puis s'aporchai de moi levant sa main au ciel avant de me gifler de toute ces force .Elle venait de putain de me gifler. Pourquoi ???
Mes nerfs mes nerf Cataléya respire calme toi ne ouff ne lui éclate pas son crane contre cette magnifique table de chevet elle n'est pas bien demande lui petite ce quelle à .

- Qu'est ce qui te prend merde geulai-je

On avait dit doucement qu'il fallait dire à Valencia qu'elle devait arrêter de vouloir prendre le dessus, que ça suffisait, puis merde, que Valencia et Cataléya aillent se faire foutre, ce n'était pas deux foutues personnalités qui allaient prendre le dessus sur moi, merde. Chiara me regardait et recommençait, cette fois-ci en m'éclatant la tête sur la table de chevet sur laquelle, MOI, je voulais lui éclater la tête, non mais je rêvais là. Je prenais sa tête et l'éclatais contre la table de chevet une fois, deux fois, puis elle aussi le faisait une fois, deux fois. J'avais l'impression de jouer à un jeu, vous voyiez de quel jeu je parlais, celui où tu as un marteau et tu dois taper des têtes. Eh bien là, c'était littéralement putain de ça avec des têtes humaines. Nous continuions de faire ça pendant un bout de temps, nos crânes cognaient tellement fort contre la table de chevet que celle-ci en devenait rouge. Je sentais Chiara fatiguée, pas fatiguée de me déglinguer le crâne, hein, elle était fatiguée mentalement et moi aussi. Après au moins plus de 12 claquements contre cette table de chevet, nous nous étions toutes les deux effondrées sur le sol en larmes. Je sentais son pouls s'accélérer, elle était en train de faire une crise d'angoisse. Je prenai son corps nu  entre mes bras, que je levais pour la déposer sur le lis tenant son visage entre mes mains je disais :

— Chiara, regarde-moi, je vais te     rhabiller. N'aie pas peur, c'est Cataléya, je suis ton amie.

Je voyais son regard, un horrible regard. Je ne disais pas que son regard à elle était horrible, ce qui était horrible, c'était la souffrance de celui-ci. Son regard dégageait d'énormes traumatismes, tout aussi grands et douloureux que les miens.
Elle hochait la tête et me sourier

- Tes..tes habille dit-je en tramblant

Elle me montrer du doigts ou est ce que c'est habille était poser prenant son string noir entre mes mains et son soutif je m'aprocher d'elle et soulever sa jambe droite puis la gauche

- Acroche toi à mon cou

Elle s'aprocher à moi comme je lui avait demander son regard était vide et rempli de peine je me tourner en direction du fauteuil ou sa robe noir y était deposer et la prenait délicatement.

- Chiara tu va devoir t'acrocher à moi je vais te l'enfiler par les pieds

Elle m'écouter et s'acrocher à moi tramblotente une fois l'habilage fini je m'asesayer sur le lis ne disant aucun mots elle aussi ne parler elle me regarder seulement les yeux lorsque que je m'apreter à brisée le silence elle s'aporchait de moi me seranr fort dans ces bras.

- Je suis tellement désolé Cataléya

- Ne t'inquiète pas ce n'ést pas grave je me suis venger repondai-je en rigolant

- Venger ?

- Tu ma putain de foutu les nefs en eclatin la tête sur cette table de chevet je voulais le faire avant toi

Elle souriait à pleine dent et m'enlacer encore plus fort il ni avait vraiment que nous pour rire dans des moments comme sa , je la détacher de moi lui demandant pourquoi est ce quelle m'avait frapper

Les épines de ta rose EN PAUSE EN RÉÉCRITURE ET CORRECTION Où les histoires vivent. Découvrez maintenant