Le voyage scolaire qui a bouleversé ma vie ♡~Nagito x Reader~♡

♧🍀 Chapitre 64 🍀♧

Bonjoooiiir ! Si j'ai choisi cette image pour le chapitre, c'est juste qu'une fois de plus, j'ai été subjuguée par sa beauté. Simple comme bonjour. 

Bonne lecture !

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Elle sorti une clé.

(t/P) : Elle est différente de celle de nos cottage.

(Nagito) : Ça doit être celle de sa chambre au motel. 

Je crois que quelqu'un vient encore une fois e prévoir une petite intrusion dans l'espace personnel de notre chère camarade décédée...

(Nagito) : Je ne pense pas que cette clé soit un piège du tueur, car elle était trop bien caché. Si ça avait été un piège, cette clé aurait été placé plus en évidence... Décidemment, il y a beaucoup de mystère entourant le corps d'Hiyoko.

Je suis de cet avis également.

(t/P) : Bon, je vous laisse.

Je me tournai alors vers l'escabeau. 

Il est renversé... Et taché de sang. Ibuki n'ayant pas de blessures, c'est sans doute le sang d'Hiyoko.

Je reculai un peu et vis derrière mes pieds une bougie au bord de la scène. 

Elle est plutôt massive pour une bougie... Elle devait éclairer la scène. Mais je ne comprends pas pourquoi utiliser cette bougie. Il y avait des lumières autour, et des éclairages de scènes. Pourquoi ne pas les utiliser ? Et comment cette bougie s'est elle éteinte ?

Je me déplaçai désormais à gauche et observai le sac. 

C'est le sac que vendait Monokuma. C'est sans doute le sac qui recouvrait le visage de la personne sur l'appareil de communication dont parlait Hajime. Mais pourquoi vouloir cacher la tête de la personne sur la vidéo, puisque dans tout les cas nous allions finir par trouver qui c'était une fois le cadavre découvert ? Est-ce que la personne sous se sac était vraiment Ibuki ? Cette affaire est un sac de nœuds... En parlant de nœuds... 

Je m'approchai de la corde. 

Une corde tout à fait normal... Elle doit provenir du supermarché car il n'y a pas de corde dans la salle de stockage. Bon, passons au cadavre d'Ibuki... 

Je m'accroupis vers elle. 

Rien d'anormal... Sa tenue d'hôpital... Tiens, mais ses chaussons sont tachés de sang, eux aussi... Décidemment, tout est taché de sang, ici : le sol, l'escabeau, même ces chaussons. 

Je me tournai alors vers le rideau. 

Oh, il n'est pas aussi grand que la longueur de la scène. Il est noir... Une minute... Il était vraiment noir ce rideau avant ? Peut-être que ma mémoire me joue des tours, mais il me semble que non... On peut distinguer l'ancien rideau qui dépasse du noir ! Donc, c'est l'assassin qui l'a placé là. 

(t/P) : Eh, mais...

Je pris le coin du tapis et vis une inscription coloré qui disait "Pour utilisation temporaires". 

(t/P) : C'est les mêmes que ceux du supermarché. 

Mais ça doit peser une blinde ce truc... Le tueur devait vraiment en avoir besoin pour l'amener du supermarché à ici puis l'installer... 

(t/P) : Bon sang, il fait chaud, ici... 

Je regardai la température qu'affichait l'écran de contrôle de la climatisation et des radiateurs.